PS : c’est elle ou eux…
Qui connaissait Rebsamen et Batho avant que Royal ne les embobine tous?
Les vassaux de la Damoiselle Royal montent au créneau. Après la salve de critiques des derniers jours émanant de ténors du PS, dont Laurent Fabius parmi tant d’autres, quelques partisans de la candidate battue ont cru bon de dénoncer des "procès" à l’encontre de l’ « innocente » du PS, qui veut faire sa loi et sème la zizanie partout où elle passe, depuis son enfance, dans sa vie privée, dans sa région et dans son parti.
Le débat participatif, c’est fini… Frère François Rebsamen, son ancien codirecteur de campagne, qui signe pourtant le calendrier PS de Flamby 1er, n'en veut pas et s'indigne en effet jeudi dans un communiqué : "Il faut que cessent les procès intentés à notre candidate". Il s'en prend clairement, mais sans le nommer, à Laurent Fabius qui, dans un entretien au journal Le Monde publié jeudi, épingle le "triple déficit" de la candidate socialiste défaite, "présidentialité, crédibilité, collégialité".
Les grands maux appellent les grands mots… Le clan Royal a pris l’habitude de parler au nom des électeurs. Pourquoi s’arrêterait-il ? C’est tellement pratique de s’intituler porte-parole des anonymes ! "Les procès en crédibilité sont une injure faite à 17 millions d'électeurs. Les procès en présidentialité ne sont que l'expression de l'amertume personnelle créée par le choix fait par les 250.000 militants socialistes", réplique Frère Rebsamen, qui confond électeurs et militants, manifeste bien peu de respect pour le système représentatif et cherche à confisquer le pouvoir des députés élus, au profit, non pas des électeurs, ni même des militants, mais de la Damoiselle, vous savez, la 'femme debout', avec des étais pourris.
Et maintenant, on va se pincer ! Rebsamen, qui craint que sa tête ne tombe, poursuit en outre : "Les procès en collégialité sont difficiles à admettre venant de ceux qui se sont affranchis de nos règles collectives". Vous pouvez relire et relire ces propos, ils ont bien été tenus par le co-directeur de la campagne de Royal à la présidentielle. Une allusion, certes, à la décision de Laurent Fabius de défendre le "non" à la Constitution européenne en 2005, alors que les militants socialistes avaient choisi le "oui" lors d'un référendum interne. Ce n’est pourtant pas aussi simple, ni l'exception, dans l’entourage immédiat de la Damoiselle. En attendant Rebsamen donne un exemple de 'musique' que récuse Batho. Vous ne connaissez pas Batho? Ce n'est pas grave, et ce n'est rien dans l'histoire socialiste, mais vous allez en entendre parler plus bas...
Il faut que cesse les débats au sein du PS ! Pour son entourage, le débat devient en effet ‘attaques’, dès lors que Sa Cynique Majesté est contestée. "L'analyse des résultats de l'élection présidentielle de 2007 doit être faite dans sa perspective historique pour préparer l'avenir. Elle le sera", promet Rebsamen, le maire fantôme et gestionnaire calamiteux de Dijon. Mais il faut que "cessent les attaques individuelles et les règlements de compte aussi partiels que partiaux". Au moins la Présidentielle leur a-t-elle appris la différence entre ‘partial’ et ‘partiel’, que confond Marie-sEGOlène Royal.
Le débat participatif, c’est fini… Frère François Rebsamen, son ancien codirecteur de campagne, qui signe pourtant le calendrier PS de Flamby 1er, n'en veut pas et s'indigne en effet jeudi dans un communiqué : "Il faut que cessent les procès intentés à notre candidate". Il s'en prend clairement, mais sans le nommer, à Laurent Fabius qui, dans un entretien au journal Le Monde publié jeudi, épingle le "triple déficit" de la candidate socialiste défaite, "présidentialité, crédibilité, collégialité".
Les grands maux appellent les grands mots… Le clan Royal a pris l’habitude de parler au nom des électeurs. Pourquoi s’arrêterait-il ? C’est tellement pratique de s’intituler porte-parole des anonymes ! "Les procès en crédibilité sont une injure faite à 17 millions d'électeurs. Les procès en présidentialité ne sont que l'expression de l'amertume personnelle créée par le choix fait par les 250.000 militants socialistes", réplique Frère Rebsamen, qui confond électeurs et militants, manifeste bien peu de respect pour le système représentatif et cherche à confisquer le pouvoir des députés élus, au profit, non pas des électeurs, ni même des militants, mais de la Damoiselle, vous savez, la 'femme debout', avec des étais pourris.
Et maintenant, on va se pincer ! Rebsamen, qui craint que sa tête ne tombe, poursuit en outre : "Les procès en collégialité sont difficiles à admettre venant de ceux qui se sont affranchis de nos règles collectives". Vous pouvez relire et relire ces propos, ils ont bien été tenus par le co-directeur de la campagne de Royal à la présidentielle. Une allusion, certes, à la décision de Laurent Fabius de défendre le "non" à la Constitution européenne en 2005, alors que les militants socialistes avaient choisi le "oui" lors d'un référendum interne. Ce n’est pourtant pas aussi simple, ni l'exception, dans l’entourage immédiat de la Damoiselle. En attendant Rebsamen donne un exemple de 'musique' que récuse Batho. Vous ne connaissez pas Batho? Ce n'est pas grave, et ce n'est rien dans l'histoire socialiste, mais vous allez en entendre parler plus bas...
Il faut que cesse les débats au sein du PS ! Pour son entourage, le débat devient en effet ‘attaques’, dès lors que Sa Cynique Majesté est contestée. "L'analyse des résultats de l'élection présidentielle de 2007 doit être faite dans sa perspective historique pour préparer l'avenir. Elle le sera", promet Rebsamen, le maire fantôme et gestionnaire calamiteux de Dijon. Mais il faut que "cessent les attaques individuelles et les règlements de compte aussi partiels que partiaux". Au moins la Présidentielle leur a-t-elle appris la différence entre ‘partial’ et ‘partiel’, que confond Marie-sEGOlène Royal.
L’illustre Batho, ancienne conseillère par défaut de la candidate, est également montée au front. On se croirait au MJS, pour le niveau de réflexion. "Il faut faire un exercice sérieux d'analyse de la séquence (...), mais ça ne peut pas se résumer à des caricatures et des mises en cause qui reprennent la même musique qu'on a entendue pendant la primaire" au PS, a déclaré sérieusement -gravement même- à l'AP la toute nouvelle députée socialiste -imbue de sa mission- à peine sortie des urnes dans les Deux-Sèvres, non pas pour ses qualités et sa compétence, mais parce que Royal avait besoin d’un prête-nom, d’une potiche, donc. Quelle est sa qualification, hormis qu’elle a été placée là où elle est par la femelle dominante du PS ? Une cooptation et hop ! je fais la leçon à quiconque se met en travers du chemin des blancs-becs. "C'est un peu court comme analyse", déclare encore Batho, la godille, péremptoire! Pour l’"analyse sérieuse", la donzelle, conseillère de la Cynique susnommée par la grâce Royal, n’a pas eu -en son temps- assez de la pré-campagne et de la campagne pour élaborer un pacte présidentiel qui tienne la route.
On comprend donc l’état de saturation des socialistes sérieux et chevronnés.
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