Marie-sEGOlène Royal, odieuse, comme à son accoutumée.
Elle se répand en aigreurs et rend les médias responsables des baffes qu'elle cherche... et reçoit.
Vous noterez ainsi que l'invitée prend la parole et ne veut plus la lâcher, qu'il est interdit de mentionner les 'ballottages défavorables' en cas de difficultés socialistes et avec quel mépris elle réplique de façon cavalière avec un 'une seconde!' qui laisse le courtois Pujadas sans voix.
On se prend à pousser un soupir de soulagement à l'idée qu'elle aurait pu réglementer la liberté de la presse...
Accuser France-Télévisions, il fallait oser!
Elle s'est révélée telle qu'en elle-même sur France 2
Elle est sur la défensive et au bord de la crise: c'est "fatigant, à la fin!"
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