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vendredi 23 mars 2007

Royal se méfie des journalistes, et de nous tous…

Royal ne s’aime pas et pas davantage le genre humain.
Sa froideur souriante et son absence de naturel masquent mal la permanence de son malaise. Elle ne se sent pas bien avec les autres. Sa méfiance d’autrui expliquerait-il tant de dédain, comme rempart à ses propres complexes. Elle peut bien s’en défendre, elle en est non seulement consciente, mais consacre toute son énergie à se prouver qu’elle ne serait pas si nulle qu’il y paraît. D’où cette hypersensibilité et cette morgue !
Arrêts sur Image , l’émission de Daniel Schneidermann sur France5 s'intéressait le 18 février 2007 aux rapport de Marie-sEGOlène Royal avec les journalistes: elle ne copine pas, la froide candidate socialiste, au sourire large mais jamais naturel, parfois moqueur, même tordu, et toujours glacial, voire carnassier. Celle qui se veut ouverte au dialogue et proche du peuple–dont elle se distingue , ne se livre pas et s’accapare les idées qui se présentent comme on gobe un œuf : c’est la pratique du serpent. Etonnez-vous (si jamais) qu’elle paraîsse si peu humaine et vraie, malgré ses efforts et ses propos.
Cet extrait (11:02 édifiantes ) de l’’émission nous montre un "off" pendant l'investiture du PS. Il vous amènera sans doute à la même conclusion : nous n’en ferions pas notre confidente et certainement pas une amie. Pourquoi en ferions-nous notre présidente ?

Peut-on lui faire confiance?

On ne la sent pas,

à moins que d'être ségogol...

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