Brian Joubert est devenu champion du monde. Le Français, qui rejoint Alain Giletti et Alain Calmat, n’a pas craqué. Il a devancé le Japonais Tarakashi et le Suisse Stéphane Lambiel.
Quarante-deux ans que le patinage français attendait ça. Jamais, depuis Alain Calmat en 1965, un Français n’était monté sur la plus haute marche du podium des Championnats du monde. Auteur d’un programme court record la veille, avec 83,64 points, Brian Joubert avait donc l’occasion d’entrer dans l’histoire jeudi sur la patinoire de Tokyo. Numéro un mondial, vice-champion du monde la saison passée à Calgary au Canada et double champion d’Europe depuis le mois de janvier dernier, le Poitevin, remis en quelques semaines d’une blessure à un pied, avait toutes les cartes en main pour y parvenir. Restait cependant à ne pas commettre d’erreurs.
Le jeune élève (22 ans) de Jean-Christophe Simond se savait d’ailleurs particulièrement attendu. Tout en se montrant d’une étonnante sérénité. « Je suis confiant, lançait-il après le court. J'ai fait une très bonne saison et je veux continuer sur ma lancée. Pour gagner jeudi, il faut rester concentré et faire mon travail. » Ce qu’il fit parfaitement. Auteur d’un programme propre, Joubert a surtout voulu éviter la chute. L’image du Suisse Stéphane Dambiel, tombé la veille, était d’ailleurs dans toutes les têtes. Le tenant du titre distancé, le Français devait conserver son avance sur ses deux autres concurrents : le Canadien Jeffrey Buttle et le Japonais Daisuke Takahashi, respectivement deuxième et troisième du programme court.
Joubert pouvait exulter au côté d'un Alain Calmat particulièrement heureux. « Cela me fait énormément plaisir qu’il soit là, lançait Joubert au bord des larmes. Il était déjà venu à Budapest et j’avais gagné mon premier titre de champion d’Europe en 2004. Il vient au Japon et je gagne mon premier titre de champion du monde. C’est un porte-bonheur. »
« Brian est le meilleur patineur du monde depuis plusieurs années et il le mérite, lançait Calmat. C’est vraiment un grand bonheur. »
Quarante-deux ans que le patinage français attendait ça. Jamais, depuis Alain Calmat en 1965, un Français n’était monté sur la plus haute marche du podium des Championnats du monde. Auteur d’un programme court record la veille, avec 83,64 points, Brian Joubert avait donc l’occasion d’entrer dans l’histoire jeudi sur la patinoire de Tokyo. Numéro un mondial, vice-champion du monde la saison passée à Calgary au Canada et double champion d’Europe depuis le mois de janvier dernier, le Poitevin, remis en quelques semaines d’une blessure à un pied, avait toutes les cartes en main pour y parvenir. Restait cependant à ne pas commettre d’erreurs.
Le jeune élève (22 ans) de Jean-Christophe Simond se savait d’ailleurs particulièrement attendu. Tout en se montrant d’une étonnante sérénité. « Je suis confiant, lançait-il après le court. J'ai fait une très bonne saison et je veux continuer sur ma lancée. Pour gagner jeudi, il faut rester concentré et faire mon travail. » Ce qu’il fit parfaitement. Auteur d’un programme propre, Joubert a surtout voulu éviter la chute. L’image du Suisse Stéphane Dambiel, tombé la veille, était d’ailleurs dans toutes les têtes. Le tenant du titre distancé, le Français devait conserver son avance sur ses deux autres concurrents : le Canadien Jeffrey Buttle et le Japonais Daisuke Takahashi, respectivement deuxième et troisième du programme court.
Joubert pouvait exulter au côté d'un Alain Calmat particulièrement heureux. « Cela me fait énormément plaisir qu’il soit là, lançait Joubert au bord des larmes. Il était déjà venu à Budapest et j’avais gagné mon premier titre de champion d’Europe en 2004. Il vient au Japon et je gagne mon premier titre de champion du monde. C’est un porte-bonheur. »
« Brian est le meilleur patineur du monde depuis plusieurs années et il le mérite, lançait Calmat. C’est vraiment un grand bonheur. »
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