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mercredi 7 août 2019

Permanence taggée : la députée LREM Claire O'Petit en est sa "septième plainte"...

La recrue de Macron bat tous les records !

Et Nuñes, il fait quoi ? 

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Des inscriptions regrettables, dont certains font référence au CETA, ont été taguées sur le bâtiment de la permanence de la députée La République en marche. 

Résultat de recherche d'images pour "o petit et macron affiche"Pour la septième fois depuis le mois de décembre, la députée LREM de l'Eure, département de Lecornu, Questel et Benalla, Claire O'Petit a déposé plainte auprès de la gendarmerie après que sa permanence, située dans la commune d'Etrepagny , a été taggée ce mardi 6 août. 

De couleur verte, plusieurs inscriptions comme on en prononce dans l'émission TPMP de Cyril Hanouna, dont certaines font référence au traité de libre-échange CETA, ont été inscrites sur les volets et la plaque d'entrée.
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Un panneau moins discret que celui de Guerini, le patron de LREM... 

Le degré suprême de l'incompétence ravie 

Elle ne comprend toujours pas pourquoi elle bat des records.
C'est pourtant cette chance pour LREM qui lança : "Vous pleurez parce qu'on vous enlève 5 euros"...
Mais ce n'était pas la première fois que la députée indignait les internautes. En juillet dernier, sa petite phrase sur la baisse des APL avait donné une idée de la qualité du recrutement d'En Marche!. "Ouh, ça va messieurs-dames ! Si à 18, 19 ans, 20 ans, 24 ans, vous commencez à pleurer parce qu'on vous enlève 5 euros… Qu'est-ce que vous allez faire de votre vie ?" répondit-elle alors au HuffPost dans les couloirs de l'Assemblée, pour critiquer les protestations de certains étudiants. "Cinq euros, c'est beaucoup, concède-t-elle. Mais c'est ça ou on augmente les impôts!" 

Au micro de BFMTV, la députée  de la majorité présidentielle   - pour qui Mayotte est "une ville" - dresse le bilan des dégradations. "La gendarmerie pense qu’ils devaient être au minimum deux, car il y a deux écritures différentes. On a du mal à lire exactement ce qu’ils ont mis", précise-t-elle.
 beaucoup, ça fait ma septième plainte depuis le mois de septembre", admet-elle. 

En novembre 2018, cette même permanence avait été attaquée à coups de massue, avant une nouvelle série de dégradations en mai dernier. 


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"On a le droit de ne pas être d'accord avec moi, mais pas de se livrer à de tels actes", avait-elle expliqué au moment des faits. C'est le même argumentaire que Marlène Schiappa dont elle lève le niveau.

Depuis maintenant quelques semaines, plusieurs permanences de députés LREM concentre la colère sociale
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La politique anti-sociale de Macron fait converger les luttes des agriculteurs hostiles au CETA et des Gilets jaunes réfractaires aux atteintes au pouvoir d'achat, suite aux votes des députés LREM, godillots marcheurs. 
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Inégalités de traitement
La Macronie ne s'attendait pas à des retours de bâton: le "grand" débat national a-t-il vraiment rétabli le dialogue ?

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