Ou la démocratie menacée par la pensée dominante
La gauche et la chasse aux sorcières
Une opposition politique n'est que rarement objective, mais la version française, particulièrement affligeante depuis la campagne présidentielle amorcée en 2006, est passée, à la faveur de son succès régional de mars 2010, du stade amer et polémique de la récrimination systématique au degré intolérable de la censure totalitaire.
Les journalistes et les media, au sens large et relâché, n'ont jamais manqué d'abuser de ces deux acquis exorbitants que sont la liberté de la presse et la liberté d'expression. Non élus et non représentatifs, ces démocrates auto-proclamés en sont en outre les propriétaires exclusifs et souverains, tandis que d'autres, les magistrats ou les policiers, sont astreints au devoir de réserve (ou ce qu'il en reste encore), et sont soumis à un conseil supérieur, un ordre ou un ministre. Mieux, des syndicats, associations et réseaux improbables les parent de toute critique, reproche et sanction. Ceux-là mêmes qui s'érigent en juges des gouvernants et des élus, qu'il s'agisse de leurs actions, telles les niches fiscales, ou de leurs personnes, tels Rachida Dati ou Eric Besson, jouissent donc du privilège d'ancien régime -pardon, soviétique- de l'agression, qu'on l'appelle campagne, rumeur ou lynchage médiatique, mais aussi de l'absolue impunité. Ces journalistes aux formations, capacités et fulgurances incertaines adhèrent de surcroît à un cercle de type mafieux, fait de solidarités et d'allégeances plus évidentes que leur supposées objectivité ou insolence. Pour donner du poids à leursdémonstrations charges, invectives et oukases, ils se déplacent en groupe sur les plateaux de télévision et apparaissent les coudes serrés dans les débats: ainsi, Gérard Miller et Frédéric Bonnaud, le Laurel maoiste et le Hardy anarchiste, laminent-ils, régulièrement les invités de Guillaume Durand, modérateur de fortune. Ensemble, ils désignent les déviants à la vindicte populaire et les vouent à la géhenne éternelle de l'opinion. Ces clercs vertueux et sévères ne recommandent ni la prévention, ni ne reconnaissent la présomption d'innocence, ni ne pratiquent la tolérance. Moines missionnaires, ils parcourent les radios, les télévisions et les salles de rédactions, en croisade perpétuelle. Ces chevaliers pointent l'Inquisition mais appartiennent à un clergé dont les croisés, laïcs et sectaires, vénèrent un maître commun: la pensée unique.
Combien de détenteurs-corrupteurs de la liberté de la presse ne sont-ils pas des usurpateurs ?
Malgré leurs excès, leurs menaces et leurs méfaits, nul pourtant ne leur conteste vraiment ce privilège, tout unique, inégalitaire et peu citoyen soit-il. Ils s'en disent les garants, mais n'en sont que les dépositaires souvent indignes, puisqu'ils ont détourné cet instrument de pouvoir pour en faire un moyen d'
Une opposition politique n'est que rarement objective, mais la version française, particulièrement affligeante depuis la campagne présidentielle amorcée en 2006, est passée, à la faveur de son succès régional de mars 2010, du stade amer et polémique de la récrimination systématique au degré intolérable de la censure totalitaire.
Les journalistes et les media, au sens large et relâché, n'ont jamais manqué d'abuser de ces deux acquis exorbitants que sont la liberté de la presse et la liberté d'expression. Non élus et non représentatifs, ces démocrates auto-proclamés en sont en outre les propriétaires exclusifs et souverains, tandis que d'autres, les magistrats ou les policiers, sont astreints au devoir de réserve (ou ce qu'il en reste encore), et sont soumis à un conseil supérieur, un ordre ou un ministre. Mieux, des syndicats, associations et réseaux improbables les parent de toute critique, reproche et sanction. Ceux-là mêmes qui s'érigent en juges des gouvernants et des élus, qu'il s'agisse de leurs actions, telles les niches fiscales, ou de leurs personnes, tels Rachida Dati ou Eric Besson, jouissent donc du privilège d'ancien régime -pardon, soviétique- de l'agression, qu'on l'appelle campagne, rumeur ou lynchage médiatique, mais aussi de l'absolue impunité. Ces journalistes aux formations, capacités et fulgurances incertaines adhèrent de surcroît à un cercle de type mafieux, fait de solidarités et d'allégeances plus évidentes que leur supposées objectivité ou insolence. Pour donner du poids à leurs
Combien de détenteurs-corrupteurs de la liberté de la presse ne sont-ils pas des usurpateurs ?
Malgré leurs excès, leurs menaces et leurs méfaits, nul pourtant ne leur conteste vraiment ce privilège, tout unique, inégalitaire et peu citoyen soit-il. Ils s'en disent les garants, mais n'en sont que les dépositaires souvent indignes, puisqu'ils ont détourné cet instrument de pouvoir pour en faire un moyen d'
oppression idéologique et de manipulation de l'opinion. La liberté d'expression n'appartient en vérité qu'au peuple qui n'a jamais cédé les droits sur son bien. Considérant les dérives successives et les atteintes à la liberté d'expression, la question se pose du rétablissement du peuple souverain dans ses droits. Ce pouvoir est-il resté à son rang de quatrième ? Subalterne, n'a-t-il pas néanmoins outrepassé tel ou tel? Le peuple doit donc retrouver sa souveraineté qu'il n'a jamais déléguée à quiconque il n'a pas élu.
Quand la liberté de la presse opprime la liberté d'expression
Force est de constater que le quatrième pouvoir n'est pas dévoyé seulement pas ses journalistes. Certains dessins politiques et leurs auteurs ont traversé les siècles, alors qu'ils ne passent plus guère l'année aujourdhui. Les premiers ont installé leur réputation sur la qualité que le temps a patinée. Malgré les techniques nouvelles de conservation et de reproduction, leurs successeurs se satisfont médiocrité et d'éphémère, qu'ils soient fondés sur la superficialité, la provocation ou la vulgarité, mais plus sûrement des trois.
Des humoristes qu'ils apprécient, tolèrent ou ne connaissent que par les scandales qu'ils suscitent, nos contemporains les plus inconséquents ou veules n'attendent plus ni réflexion approfondie, ni drôlerie de bon aloi. Il suffit que le crayon ou leurs propos les surprennent et les défoulent de tout ce qu'ils n'ont pas osé déverser au boulot ou au volant ou la morale l'interdit: la radio et la télévision sont au mieux devenus des poubelles thérapeutiques. Qu'ils soient secs ou gras, baveux ou tranchants, leurs outils médiatiques sont réduits à autant d'exutoires du quotidien aussi mesquin soit-il. Ils ne donnent plus à penser et n'aspirent donc plus à faire accéder la masse aux causes les plus hautes, mais à satisfaire leurs rancoeurs et bassesses ordinaires. Qu'ont-ils fait des exigences de justice et de respect qui les justifiaient dans leur tâche ? L'esprit français et l'humour britannique n'étaient-ils pas jusqu'ici plus respectables ? Le sont-ils encore autant que par le passé ou sont-ils entrés dans la catégorie des espèces en voie d'extinction ? Ainsi, le besogneux Stéphane Guillon serait-il prisé au-delà du quartier bobo (?) du Marais, jusqu'au Japon, qu'on le rangerait dans la catégorie du « thon rouge ». Non pas rouge révolutionnaire, mais rouge de folie furieuse, rouge de la honte qu'il inspire, sauf à être « vertueux » de gauche.
Journalistes et humoristes dignes de ce nom étaient jusqu'ici plus ou moins justifiés par le besoin réel ou imaginaire qu'aurait la démocratie d'être défendue. Or, entre autres interrogations, on ne s'est guère posé de questions sur la qualité de ses défenseurs. Pour assurer une telle mission républicaine de salut public, les garanties semblent souvent bien minces et mériteraient d'être scrutées.
La noblesse de l'opposition et de sa presse militante consiste d'ailleurs à lutter essentiellement contre les combattants de la crise plutôt que de se liguer contre elle. La vaine recherche des propositions de l'opposition a fini par lasser. La gauche en panne d'idées qui ne soient pas des négatifs harcèle le gouvernement et défigure ses propositions. A défaut, ou de surcroît, les partis et la media dévots consacrent toute leur énergie négative à l'interprétation des déclarations adverses, voire à la rumeur. A ce niveau, les Guillon font l'affaire... Cette dissection pointilleuse, et sans garantie d'asepsie, par des "décrypteurs"-maquilleurs-enfumeurs, chaque matin à jeûn, produit des gastro-polémiques en nombre, contre lesquels les doses de vaccins de la grippe A-H1NI auraient pu se trouver employées, si la pandémie de la polémique avait été correctement identifiée.
Philippe Bilger -plus dignement- s'est inscrit en faux contre cet état de fait.
La dictature de la gauche coalisée est une menace pour la liberté d'expression des citoyens, dont la liberté de la presse n'est qu'une émanation autorisée, mais dépendante et seconde.
Voici son article publié sur son blog intitulé « Justice au singulier"
Quand la liberté de la presse opprime la liberté d'expression
Force est de constater que le quatrième pouvoir n'est pas dévoyé seulement pas ses journalistes. Certains dessins politiques et leurs auteurs ont traversé les siècles, alors qu'ils ne passent plus guère l'année aujourdhui. Les premiers ont installé leur réputation sur la qualité que le temps a patinée. Malgré les techniques nouvelles de conservation et de reproduction, leurs successeurs se satisfont médiocrité et d'éphémère, qu'ils soient fondés sur la superficialité, la provocation ou la vulgarité, mais plus sûrement des trois.
Des humoristes qu'ils apprécient, tolèrent ou ne connaissent que par les scandales qu'ils suscitent, nos contemporains les plus inconséquents ou veules n'attendent plus ni réflexion approfondie, ni drôlerie de bon aloi. Il suffit que le crayon ou leurs propos les surprennent et les défoulent de tout ce qu'ils n'ont pas osé déverser au boulot ou au volant ou la morale l'interdit: la radio et la télévision sont au mieux devenus des poubelles thérapeutiques. Qu'ils soient secs ou gras, baveux ou tranchants, leurs outils médiatiques sont réduits à autant d'exutoires du quotidien aussi mesquin soit-il. Ils ne donnent plus à penser et n'aspirent donc plus à faire accéder la masse aux causes les plus hautes, mais à satisfaire leurs rancoeurs et bassesses ordinaires. Qu'ont-ils fait des exigences de justice et de respect qui les justifiaient dans leur tâche ? L'esprit français et l'humour britannique n'étaient-ils pas jusqu'ici plus respectables ? Le sont-ils encore autant que par le passé ou sont-ils entrés dans la catégorie des espèces en voie d'extinction ? Ainsi, le besogneux Stéphane Guillon serait-il prisé au-delà du quartier bobo (?) du Marais, jusqu'au Japon, qu'on le rangerait dans la catégorie du « thon rouge ». Non pas rouge révolutionnaire, mais rouge de folie furieuse, rouge de la honte qu'il inspire, sauf à être « vertueux » de gauche.
Journalistes et humoristes dignes de ce nom étaient jusqu'ici plus ou moins justifiés par le besoin réel ou imaginaire qu'aurait la démocratie d'être défendue. Or, entre autres interrogations, on ne s'est guère posé de questions sur la qualité de ses défenseurs. Pour assurer une telle mission républicaine de salut public, les garanties semblent souvent bien minces et mériteraient d'être scrutées.
La noblesse de l'opposition et de sa presse militante consiste d'ailleurs à lutter essentiellement contre les combattants de la crise plutôt que de se liguer contre elle. La vaine recherche des propositions de l'opposition a fini par lasser. La gauche en panne d'idées qui ne soient pas des négatifs harcèle le gouvernement et défigure ses propositions. A défaut, ou de surcroît, les partis et la media dévots consacrent toute leur énergie négative à l'interprétation des déclarations adverses, voire à la rumeur. A ce niveau, les Guillon font l'affaire... Cette dissection pointilleuse, et sans garantie d'asepsie, par des "décrypteurs"-maquilleurs-enfumeurs, chaque matin à jeûn, produit des gastro-polémiques en nombre, contre lesquels les doses de vaccins de la grippe A-H1NI auraient pu se trouver employées, si la pandémie de la polémique avait été correctement identifiée.
Philippe Bilger -plus dignement- s'est inscrit en faux contre cet état de fait.
La dictature de la gauche coalisée est une menace pour la liberté d'expression des citoyens, dont la liberté de la presse n'est qu'une émanation autorisée, mais dépendante et seconde.
Voici son article publié sur son blog intitulé « Justice au singulier"
Si Eric Zemmour n'existait pas, il faudrait l'inventer, il manquerait chaque jour à notre univers médiatique.
Il a encore frappé et, comme il l'espérait sans doute, des foudres judiciaires sont annoncées et on a même saisi, couronnement suprême, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) de son cas.
Dans deux émissions : Salut les terriens sur Canal + et L'Hebdo sur France O, Eric Zemmour a soutenu que "les français issus de l'immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes. C'est un fait" (nouvelobs.com).
Levée de boucliers. Indignation. Morale brandie. Quelle honte ! Consensus de la dénonciation. En réalité, du vent.
En effet, je propose à un citoyen de bonne foi de venir assister aux audiences correctionnelles et parfois criminelles à Paris et il ne pourra que constater la validité de ce "fait", la justesse de cette intuition qui, aujourd'hui, confirment un mouvement né il y a quelques années. Tous les noirs et tous les arabes ne sont pas des trafiquants mais beaucoup de ceux-ci sont noirs et arabes. Je précise car rien dans ce domaine n'est inutile : qu'il y ait aussi des "trafiquants" ni noirs ni arabes est une évidence et ne me rend pas plus complaisant à leur égard. Il n'est point besoin d'aller chercher des consolations dans les statistiques officielles dont la finalité presque exclusive est de masquer ce qui crève les yeux et l'esprit si on accepte de regarder.
Je regrette qu'Alain Jakubowicz, président de la Licra et personnalité de valeur, ait décidé de poursuivre pour ces propos Eric Zemmour et qu'il ait ajouté que ce dernier avait franchi "un cran". Je regrette que Rachid Arhab, du CSA, se soit égaré en répliquant à Eric Zemmour qu'il était "arabe, pas trafiquant mais au CSA", comme si ce dernier avait été assez stupide pour généraliser absurdement sa perception. Nous sommes tous très heureux que Rachid Arhab soit au CSA mais précisément parce qu'il n'est jamais tombé dans les travers dénoncés par Zemmour.
La Licra, le MRAP et, avec retard, le CRAN ont invité le CSA à réfléchir sur les "dérapages" d'Eric Zemmour, comme si d'une part ceux-ci méritaient d'être qualifiés ainsi et que d'autre part un éventuel avertissement à Eric Zemmour pouvait avoir un autre effet que d'amplifier le caractère infiniment "porteur" du soufre relatif distillé à intervalles réguliers par ce polémiste.
En réalité - et ce n'est pas la première fois -, personne n'a pris la peine d'examiner le fond du propos. L'indignation quasi unanime n'a donc pas été suscitée par la teneur de l'appréciation ni son éventuelle vérité ou fausseté mais par le simple fait qu'Eric Zemmour avait OSE DIRE cela. Comment quelqu'un avait-il pu aborder de front une telle matière sans prendre les précautions d'usage et en n'ayant pour obsession que de rendre acceptable par et pour tous ce que la nudité cruelle de l'exactitude précisément n'aurait pas permis ! Eric Zemmour n'est pas en tort pour avoir exprimé ce qu'il a déclaré mais pour s'être affranchi de la censure qui interdisait d'aborder clairement un tel sujet. Il doit être puni pour cause d'audace et non pour mensonge. Il n'a pas franchi "un cran" mais dépassé une ligne que la bienséance et l'hypocrisie considèrent comme absolue.
Qu'Eric Zemmour ne se rassure pas trop vite : d'autres dangers le guettent, dont Renaud Dély, dans Marianne, a pointé le principal dans un lucide portrait. Celui d'être aujourd'hui "ingurgité", absorbé par le système qu'il prétend subvertir grâce à une parole libre et apparemment inconoclaste. En effet, Eric Zemmour est devenu "un trublion officiel", "un fou des médias" comme il y a eu des "fous du roi", avec cette conséquence subtile mais perceptible qu'un léger contentement de soi semble l'habiter (Voici). De plus en plus, il y a dans sa démarche une alliance contradictoire entre une aspiration affichée au dialogue et un ton péremptoire. La liberté de pensée qu'heureusement il s'octroie ne va plus tout à fait jusqu'à supporter celle des autres. Dorénavant il s'écoute plus qu'il n'écoute, trop facilement ravi par sa propre mécanique. J'avais perçu des indices de cette solitude satisfaite, dans sa volonté à plusieurs reprises de "judiciariser" les réactions d'autrui quand il les estimait intolérables. Il se serait honoré, à mon sens, en les prenant pour l'inévitable rançon d'une expression qui ne s'assignait pas de limites. Attention, danger !
D'autant plus que ce n'est pas lui qui a gagné. Eric Naulleau, moins omniprésent, est plus épargné mais tout de même affecté par cette défaite. Comme il était prévisible à la longue, l'hilarité promotionnelle de Laurent Ruquier, sur France 2, a étouffé le miracle de ces deux intelligences caustiques et souvent pertinentes qui croyaient pouvoir réaliser ce rêve d'une télévision digne et vraie au milieu d'un océan de rires et de saillies programmés, d'hyperboles ridicules. Le bas, à force, s'approprie le haut et le dénature.
A mon sens, Eric Zemmour est à la croisée des chemins. Aujourd'hui, son discours et ses écrits - c'est le risque fondamental de la liberté : si elle se répète, elle meurt - sont marqués du sceau du prévisible. On peut les imaginer par avance parce que "le style Zemmour" est devenu une sorte de marque déposée. Mais rien ne vaut la modestie d'une parole qui se cherche, s'invente et parfois même s'étonne. Rien ne vaut les jaillissements de l'imprévisible, les surgissements d'une pensée capable, quand il le faut, de se battre autant contre elle-même que contre les opinions majoritaires, les surprises qu'une personnalité veut bien offrir à ceux qui ont besoin d'elle dans un monde planifié.
A l'évidence, pour et par toutes les bonnes consciences avides de stéréotypes. Qu'au moins les esprits libres tentent d'échapper à cette malédiction !
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Tout a été dit, grâce à la multitude de réponses, sur ce billet consacré à Eric Zemmour. Aussi vous me pardonnerez d'estimer que le débat est clos et donc de fermer l'accès aux commentaires sur ce post précis. Pas de censure, juste un afflux impossible à gérer sauf à y passer jour et nuit.
D'autres lectures invitent à la réflexion et au retour à la raison
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Tout a été dit, grâce à la multitude de réponses, sur ce billet consacré à Eric Zemmour. Aussi vous me pardonnerez d'estimer que le débat est clos et donc de fermer l'accès aux commentaires sur ce post précis. Pas de censure, juste un afflux impossible à gérer sauf à y passer jour et nuit.
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