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mardi 25 septembre 2012

Hollande remet le sort des salariés de PSA aux mains du tribunal

Montebourg, sous la coupe des syndicats

Le candidat de la gauche avait pris des engagements

Le candidat Hollande leur avait fait des promesses le 2 mai : photo

Le président Hollande a entretenu l'espoir
en recevant l'intersyndicale de l'usine 
PSA Peugeot Citroën d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) à l'Elysée le jeudi 20 septembre.
Cet entretien, ajouté à l'agenda officiel du président Hollande, s'est tenu alors que les syndicats de l'usine appelaient les salariés à participer à un mouvement de grève pour manifester sous les fenêtres de  l'Elysée.

PSA a annoncé un vaste plan de restructuration prévoyant la suppression de 8 000 postes, dont les 3 000 de salariés employés en contrat à durée indéterminée à Aulnay-sous-Bois, après la fermeture du site, et 1 400 à Rennes. Mandaté par Bercy pour établir un diagnostic du groupe PSA, l'expert a jugé "inévitable" ce plan social. Les salariés en avaient appelé à François Hollande qui avait promis, au cours de la campagne électorale, de les rencontrer: promesse de Gascon.


3000 emplois menacés par la fermeture du site
Le président s'est également engagé devant les représentants de l'usine La Janais-Rennes, à "tout faire pour réduire l'ampleur des suppressions de postes" chez PSA.
Des salariés de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois ont procédéà des opérations péage gratuit à Senlis (Oise) le weekend du 15 septembre, tandis qu'une manifestation rassemblait  à Rennes de 2 500 (préfecture) à 4 000 personnes (syndicats) pour la sauvegarde de l'emploi sur le site de l'usine PSA de Rennes-La Janais.

Hollande a déçu, les espoirs sont envolés

L'avenir du plan social de PSA est entre les mains du tribunal de grande instance de Paris. Saisi par deux syndicats, Il doit rendre aujourd'hui sa décision de suspendre ou non ce plan social- 8000 suppressions de postes, fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois- pour vice de forme. La direction de PSA Peugeot Citroën n'aurait pas répondu à ses obligations légales.


Si le TGI de Paris reconnaissait le bien-fondé de la requête des syndicats ce mardi, cela ne remettrait pas pour autant en cause le plan sur le fond. 


En revanche, Montebourg accepte le plan de Sanofi

..."si les syndicats sont d'accord" !
La restructuration menace de 1200 à 2500 postes dans l'Hexagone.
Le pouvoir est passé non plus aux tribunaux seulement, mais aux syndicats, aussi !
Le gouvernement Ayrault est devenu une simple chambre d'enregistrement.

1 commentaire:

  1. C'était trop facile de faire campagne appuyé par les médias, campagne basée sur le dénigrement de l'autre, et sur des promesses faciles uniquement pour racler des voix.
    Mais prévoir, anticiper, analyser, avoir des projets précis, détaillés qui tiennent compte des réalités en France et dans le monde,... pas possible pour des cerveaux socialistes, à se demander s'ils en ont ...car

    ----- LÀ C'EST LE VIDE SIDÉRAL--------

    LES ACTIONS DU N'IMPORTE QUOI , N'IMPORTE QUAND ET N'IMPORTE COMMENT

    Un parti qui n'est pas fait pour avoir les commandes de quoi que ce soit en mains. Un parti qui n'a jamais rien fait, rien prévu, rien préparé.

    FAIRE DES PROMESSES N'IMPORTE QUEL CLAMPIN PEUT LE FAIRE

    Mais les promesses hé hé ça ne suffit pas.

    La réalité les a rattrapé sans qu'ils aient eu le temps de dire ouf

    et maintenant que vont-ils faire de tous ces problèmes à résoudre, qui ne s'arrangent pas à être en attente de solutions qu'ils ne trouvent pas.

    C'est presque le refrain d'une chanson plaintive du pauvre français qui ne voit rien venir, à part encore plus de problèmes.

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