En plein délire de persécution, Martine Aubry libère son agressivité
Retranchée dans son cercle étroit de courtisans, elle est clairement coupée des réalités
La sexagénaire n'a pas assez morflé
Bien qu'elle se dise "salie" et "abimée" (et quoi encore ?), Martine Aubry a-t-elle tellement souffert ? N'aurait-elle pas profité, le 8 août dernier, de ses droits à la retraite, si elle exerçait pleinement le métier à risques qu'elle dit. Elle est donc toujours là, humour lourd et face écarlate.
VOIR et ENTENDRE - Mission: découvrir les propositions de son projet ... Nous n'en sommes pas à un chiffrage !
Chacun notera l'inconséquence de l'oratrice fielleuse. Dans l'instant où elle accuse le pouvoir d'amalgames, la rempailleuse du PS met dans le même panier d'osier les Rom (qu'elle refoule à Lille: voir et entendre dans PaSiDupes la déclaration indignée de François Fillon sur le comportement de la maire de Lille envers les Rom) et les gens du voyage.
Les derniers sont des Français qu'elle assimile (ni vu ni connu, j't'embrouille) à des Rom sans papiers d'origine bulgare ou roumaine...
Chacun notera l'inconséquence de l'oratrice fielleuse. Dans l'instant où elle accuse le pouvoir d'amalgames, la rempailleuse du PS met dans le même panier d'osier les Rom (qu'elle refoule à Lille: voir et entendre dans PaSiDupes la déclaration indignée de François Fillon sur le comportement de la maire de Lille envers les Rom) et les gens du voyage.
Les derniers sont des Français qu'elle assimile (ni vu ni connu, j't'embrouille) à des Rom sans papiers d'origine bulgare ou roumaine...
Le PS n'en est nulle part
De leur université d'été de La Rochelle, les socialistes ont envoyé des cartes postales d'unité, tandis qu'Aubry vitupérait contre le Chef de l'Etat, pour au total ne faire aucune proposition. Les présents n'ont pas été deçus; ils n'en espéraient aucune.
Ils ont en revanche été perfusés à la haine socialiste jusqu'à l'overdose.
Ils repartent chargés, mais comme ils sont venus, avec leurs a priori désespérés, leurs mauvais sentiments nihilistes et le cynisme de leurs critiques populistes.
La "gauche de progrès" stagne et régresse donc.
En régressant, l'opposition conservatrice tire le pays vers le bas
Ses critiques et insultes permanentes pèsent sur le moral des Français. Ses entraves et blocages malveillants retardent la sortie de crise: une responsabilité, dont la gauche devra rendre compte devant l'Histoire.
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