En France, on se fait tabasser pour un café pendant le ramadan
"Jésus n'est pas le Fils de Dieu;
c'est un prophète de l'Islam" (trad.)
Un 'bon Français', d'abord pris à partie par plusieurs individus à la terrasse d'un bar, se retrouve ensuite à l'hôpital.
c'est un prophète de l'Islam" (trad.)
Sera-ce le stigmatiser que de préciser qu'il est non seulement d'origine sénagalaise, mais musulman ? Nous retirons ces précisions à caractère racial, voire raciste, si encore ça ne rappelle pas à certains « les heures les plus sombres de notre histoire »...
Les « humanistes » y verront-ils donc un déchaînement de violence ?
Les « humanistes » y verront-ils donc un déchaînement de violence ?
Les laïcs et les libres-penseurs s'indigneront-ils? Le accusations contre le gouvernement vont-elles pleuvoir. Trop de videosurveillance ou pas assez d'effectifs: l'opposition n'a que l'embarras du choix. Mais la LDH ne manquera pas de stigmatiser Brice Hortefeux, en charge des cultes.
Déjà qu'elle est noire et musulmane, la victime ne respecte pas la «tradition» du jeûne.
Déjà qu'elle est noire et musulmane, la victime ne respecte pas la «tradition» du jeûne.
Heureusement que, dans son malheur, elle n'est pas une femme, car elle serait lapidée. C'est un père de famille de 45 ans, un Lyonnais qui de surcroît apprécie sans doute le saucisson de Lyon...
Alors c'est bien fait pour sa pomme si, bien que les courageux individus s'y soient mis à plusieurs, Hamara Diarra s'est fait tabasser par plus vertueux que lui, alors qu'il buvait tranquillement un café en terrasse avant le coucher du soleil, rapportait lepoint.fr mardi. Motif : le ramadan a démarré le 11 août dernier.
En France, pour un café, on se fait tabasser pendant le ramadan
Ainsi donc, le vendredi 13 août, ce mécréant dut s'expliquer dans un lieu public du centre-villede notre république islamique.
L'intéressé tenta bien de se justifier en fonction de ses croyances personnelles, mais ce ne fut pas du goût de son juge, qui appella aussitôt au moins trois frères en renfort, tous «d'origine maghrébine», ose préciser la police.
Le quadragénaire fut alors copieusement roué de coups.
Frappé à l'arrière du crâne par une chaise et une bouteille en verre, autorisés en plein ramadan, Hamara Diarra fut terrassé. Les pompiers durent transférer d'urgence l'infortunée victime à l'hôpital. L'hôpital public effectua une trépanation et le trou dans la boîte crânienne fut financé par le trou de la Sécurité sociale. Deux semaines après son agression, l'impur ne peut être interrogé: il est toujours étendu et son état reste stationnaire.
La police court toujours après les individus
L'agression a pourtant bien été filmée par une caméra de surveillance, mais à Lyon, ville socialiste, la qualité d'image est trop mauvaise pour permettre de les identifier. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire et les enquêteurs ont lancé un appel à témoins.
Par peur de représailles, le gérant du café pourrait décider de témoigner sous X, mais, comme chacun sait depuis le procès de Villiers-le-Bel (9.3), les témoins sous X préfèrent finalement se désister plutôt que de risquer l'hôpital. C'est sans nul doute ce que l'amer Mamère dénonce épisodiquement en le qualifiant de 'république bananière', mais nous ne sommes pas sûrs de le comprendre, ni quoi que ce soit d'ailleurs, puisqu'à droite.
Le recteur de la Grande mosquée de Lyon a condamné cette agression
Responsable de l'enseignement religieux, le recteur est dépassé.
A l'évidence 'humaniste', il ne semble pourtant pas que ce religieux ait eu un seul mot pour la victime clouée sur son lit d'hôpital. Il ne se serait donc soucié que de la "tache" sur l'image de Mahomet, comme dirait l'autre.
En France, pour un café, on se fait tabasser pendant le ramadan
Ainsi donc, le vendredi 13 août, ce mécréant dut s'expliquer dans un lieu public du centre-ville
L'intéressé tenta bien de se justifier en fonction de ses croyances personnelles, mais ce ne fut pas du goût de son juge, qui appella aussitôt au moins trois frères en renfort, tous «d'origine maghrébine», ose préciser la police.
Le quadragénaire fut alors copieusement roué de coups.
Frappé à l'arrière du crâne par une chaise et une bouteille en verre, autorisés en plein ramadan, Hamara Diarra fut terrassé. Les pompiers durent transférer d'urgence l'infortunée victime à l'hôpital. L'hôpital public effectua une trépanation et le trou dans la boîte crânienne fut financé par le trou de la Sécurité sociale. Deux semaines après son agression, l'impur ne peut être interrogé: il est toujours étendu et son état reste stationnaire.
La police court toujours après les individus
L'agression a pourtant bien été filmée par une caméra de surveillance, mais à Lyon, ville socialiste, la qualité d'image est trop mauvaise pour permettre de les identifier. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire et les enquêteurs ont lancé un appel à témoins.
Par peur de représailles, le gérant du café pourrait décider de témoigner sous X, mais, comme chacun sait depuis le procès de Villiers-le-Bel (9.3), les témoins sous X préfèrent finalement se désister plutôt que de risquer l'hôpital. C'est sans nul doute ce que l'amer Mamère dénonce épisodiquement en le qualifiant de 'république bananière', mais nous ne sommes pas sûrs de le comprendre, ni quoi que ce soit d'ailleurs, puisqu'à droite.
Le recteur de la Grande mosquée de Lyon a condamné cette agression
Responsable de l'enseignement religieux, le recteur est dépassé.
A l'évidence 'humaniste', il ne semble pourtant pas que ce religieux ait eu un seul mot pour la victime clouée sur son lit d'hôpital. Il ne se serait donc soucié que de la "tache" sur l'image de Mahomet, comme dirait l'autre.
Ces individus «ne sauraient se prévaloir de la pratique ou non du jeûne de ramadan», a commenté Kamel Kabtane. Découvrant, mais un peu tard, l'impact de l'enseignement de ses imams sur les plus primitifs de ses extrémistes, il prêche dans le bled français : «Cette agression n'est en aucun cas compatible avec les principes religieux que professe l'islam. La Mosquée de Lyon rappelle que la religion demeure de la responsabilité du musulman face à son créateur et que lui seul a le pouvoir de juger chacun d'entre nous pour ces actes et sa pratique religieuse. Nul homme n'a le pouvoir de se substituer à lui». Puissent les imams y trouver du grain à moudre.
Lepoint.fr stigmatise une partie de la population
L'hebdomadaire aurait-il lancé une "véritable guerre nationale" contre la criminalité en pointant du doigt "certains" intégristes. Les rom ont actuellement une sacrée cote, mais les musulmans sont notamment visés.
Le Point ose « stigmatiser » une catégorie de Français
Au risque d'être accusé d'amalgame ou de suppôt de la politique sécuritaire du gouvernement, alors qu'il s'est illustré par ses attaques du couple Woerth, l'hebdomadaire se permet en effet de rapporter une autre agression du même type, survenue quelques jours plus tard à Toulouse. Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Délit de faciès...
Une jeune femme a porté plainte après avoir été agressée dans une grande surface. Deux adolescents -des jeunes sans histoire (peut-être) scolarisés par l'école laïque de la République et de la FSU (s'ils ne sont pas absentéistes)- probablement membres de la police islamique, lui auraient reproché d'acheter de la nourriture en plein ramadan. La mère de famille, n'a toutefois pas présenté ses papiers mais aurait alors expliqué être de confession non pas musulmane, mais juive, ce qui n'a fait que redoubler l'agressivité des deux jeunes antisémites.
Un bon gros vigile, dont il est interdit de préciser la confession religieuse, a assisté à la scène, mais n'est pas intervenu. Interrogé par les enquêteurs sur les raisons de sa passivité, l'homme a indiqué qu'il respectait le ramadan et qu'il était donc pressé de partir « pour pouvoir s'alimenter, dès le coucher du soleil ».
La question se pose donc de savoir si la « police » de proximité observe le ramadan dans l'exercice de ses fonctions et si elle justifie son salaire par 28 jours de cette efficacité à toute épreuve.
Délit de faciès...
Une jeune femme a porté plainte après avoir été agressée dans une grande surface. Deux adolescents -des jeunes sans histoire (peut-être) scolarisés par l'école laïque de la République et de la FSU (s'ils ne sont pas absentéistes)- probablement membres de la police islamique, lui auraient reproché d'acheter de la nourriture en plein ramadan. La mère de famille, n'a toutefois pas présenté ses papiers mais aurait alors expliqué être de confession non pas musulmane, mais juive, ce qui n'a fait que redoubler l'agressivité des deux jeunes antisémites.
Un bon gros vigile, dont il est interdit de préciser la confession religieuse, a assisté à la scène, mais n'est pas intervenu. Interrogé par les enquêteurs sur les raisons de sa passivité, l'homme a indiqué qu'il respectait le ramadan et qu'il était donc pressé de partir « pour pouvoir s'alimenter, dès le coucher du soleil ».
La question se pose donc de savoir si la « police » de proximité observe le ramadan dans l'exercice de ses fonctions et si elle justifie son salaire par 28 jours de cette efficacité à toute épreuve.
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