Humiliant désaveu de la propagande d'opposition
Le suivi des entretiens franco-roumains à Paris n'a pas reçu un écho en rapport de la campagne à charge et tous azimuts de l'opposition...
Le suivi des entretiens franco-roumains à Paris n'a pas reçu un écho en rapport de la campagne à charge et tous azimuts de l'opposition...
Voici copie de l'article de L'Express daté du 26 août 2010
Le secrétaire d'Etat roumain chargé de l'intégration des Roms reconnaît des dysfonctionnement tandis que Paris vient d'expulser 250 personnes supplémentaires.
"Les Roumains ne nous ont fait aucun reproche", affirmait le ministre français de l'Immigration, Eric Besson, à l'issue d'une rencontre avec la délégation roumaine, mercredi 25 août au soir. Et à en croire [on notera au passage la malveillance de l'incrédulité affichée du journal] l'un des représentants de Bucarest, Valentin Mocanu, secrétaire d'Etat roumain chargé du dossier des Roms, il n'y a effectivement eu "aucune tension" franco-roumaine liée au dossier sensible des Roms.
S'exprimant en français lors d'un point presse, ce jeudi midi à l'ambassade de Roumanie à Paris, il a insisté sur la nécessité de "renforcer la coopération entre la France et la Roumanie, ainsi que la coopération avec l'Union européenne [ainsi mise en cause malgré l'occultation de sa co-responsabilité par les media hexagonaux] afin de trouver des solutions dans le cadre du respect des droits de l'homme, de la législation européenne et de la législation de nos deux pays".
Et s'il a donné très peu de détails sur cette "coopération" [et pour cause: autre malveillance du journal, puisque les réunions sont programmées pour les heures suivantes...] - un leitmotiv dans son discours - , c'est "parce qu'une réunion plus technique doit avoir lieu ce jeudi après-midi", affirme-t-il. D'autres entretiens sont en effet prévus avec Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes. Les discussions de mercredi ont eu lieu en présence des deux hommes, d'Eric Besson, ainsi que de Dan Valentin Fatuloiu, secrétaire d'Etat chargé de l'Ordre et de la Sécurité publique, et de Brice Hortefeux, ministre français de l'Intérieur.
La faute aux autorités locales roumaines?
La priorité affichée de la France, notamment depuis le récent durcissement de sa politique à l'égard des Roms [consécutif aux violences subies par la France: L'Express omet de le préciser], est d'améliorer leur insertion en Roumanie. Et à l'image de la France qui insiste sur les efforts à fournir au niveau de Bucarest, le gouvernement roumain pointe à son tour "les faiblesses des autorités locales roumaines".
Selon Valentin Mocanu, "le manque d'expertise et de ressources humaines" à ce niveau de l'action publique, "bloque parfois la mise en oeuvre des projets. C'est pourquoi nous avons mis en place des dispositifs mobiles pour assister les communes et les préfectures et répondre aux besoins locaux", a expliqué le secrétaire d'Etat.
[La Roumanie avoue ses propres faiblesses, là où l'opposition française accuse le gouvernement Fillon]
"Les Roumains ne nous ont fait aucun reproche", affirmait le ministre français de l'Immigration, Eric Besson, à l'issue d'une rencontre avec la délégation roumaine, mercredi 25 août au soir. Et à en croire [on notera au passage la malveillance de l'incrédulité affichée du journal] l'un des représentants de Bucarest, Valentin Mocanu, secrétaire d'Etat roumain chargé du dossier des Roms, il n'y a effectivement eu "aucune tension" franco-roumaine liée au dossier sensible des Roms.
S'exprimant en français lors d'un point presse, ce jeudi midi à l'ambassade de Roumanie à Paris, il a insisté sur la nécessité de "renforcer la coopération entre la France et la Roumanie, ainsi que la coopération avec l'Union européenne [ainsi mise en cause malgré l'occultation de sa co-responsabilité par les media hexagonaux] afin de trouver des solutions dans le cadre du respect des droits de l'homme, de la législation européenne et de la législation de nos deux pays".
Et s'il a donné très peu de détails sur cette "coopération" [et pour cause: autre malveillance du journal, puisque les réunions sont programmées pour les heures suivantes...] - un leitmotiv dans son discours - , c'est "parce qu'une réunion plus technique doit avoir lieu ce jeudi après-midi", affirme-t-il. D'autres entretiens sont en effet prévus avec Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes. Les discussions de mercredi ont eu lieu en présence des deux hommes, d'Eric Besson, ainsi que de Dan Valentin Fatuloiu, secrétaire d'Etat chargé de l'Ordre et de la Sécurité publique, et de Brice Hortefeux, ministre français de l'Intérieur.
La faute aux autorités locales roumaines?
La priorité affichée de la France, notamment depuis le récent durcissement de sa politique à l'égard des Roms [consécutif aux violences subies par la France: L'Express omet de le préciser], est d'améliorer leur insertion en Roumanie. Et à l'image de la France qui insiste sur les efforts à fournir au niveau de Bucarest, le gouvernement roumain pointe à son tour "les faiblesses des autorités locales roumaines".
Selon Valentin Mocanu, "le manque d'expertise et de ressources humaines" à ce niveau de l'action publique, "bloque parfois la mise en oeuvre des projets. C'est pourquoi nous avons mis en place des dispositifs mobiles pour assister les communes et les préfectures et répondre aux besoins locaux", a expliqué le secrétaire d'Etat.
[La Roumanie avoue ses propres faiblesses, là où l'opposition française accuse le gouvernement Fillon]
Interrogé sur le manque de suivi des dossiers et sur le non-versement des 3600 euros d'accompagnement promis par la France aux Roms rapatriés qui auraient un projet de création d'entreprise en Roumanie, Valentin Mocanu a placé le dysfonctionnement au niveau local [c'est-à-dire roumain, en clair...], encore une fois: "Nous [état roumain] allons soutenir les autorités locales [roumaines] dans ces dossiers". A commencer par les dossiers des Roms renvoyés en Roumanie cet été.
"Discrimination positive"
Le secrétaire d'Etat, qui a multiplié les rencontres avec les ONG et les administrations roumaines depuis sa nomination fin juillet, a déclaré avoir remis un mémo au Premier ministre roumain. Sa stratégie: "Mêler des politiques globales en matière économique et sociale, et l'accompagnement des individus et de leur famille, au cas par cas".
Il a assuré que "la liste des personnes de retour a été transmise aux localités et aux agences locales pour l'emploi qui sont priées de les contacter et de leur proposer des pistes". Une démarche qu'il qualifie de "discrimination positive", alors que la crise économique affecte gravement l'ensemble de population roumaine, et un peu plus encore les Roms en matière d'accès à l'emploi, au logement ou à l'éducation.
Mise en garde contre la xénophobie
"Aucune tension" entre la France et la Roumanie, donc, a affirmé le représentant roumain. Seul point, et non des moindres, sur lequel Valentin Mocanu a mis en garde Paris, le risque [potentiel] de dérive vers le racisme et la xénophobie. "J'ai insisté auprès des autorités françaises pour qu'il y ait une meilleure communication sur ce sujet, afin d'aider la société civile française à avoir une meilleure compréhension de la situation" des Roms.
Au même moment, ce jeudi, Paris affrétait deux nouveaux avions spéciaux pour Bucarest, avec à leur bord des Roms candidats au retour volontaire, selon [malveillance coutumière] les autorités françaises. Celui en provenance de Lyon est arrivé en début d'après-midi, avec un groupe de 125 personnes. 158 autres sont attendus plus tard, en provenance de Paris. Selon un sondage CSA, 48% des Français [près d'un Français sur deux] approuvent cette vague d'expulsions. [combien seront-ils quand ils seront totalement et honnêtement informés ?]
"Discrimination positive"
Le secrétaire d'Etat, qui a multiplié les rencontres avec les ONG et les administrations roumaines depuis sa nomination fin juillet, a déclaré avoir remis un mémo au Premier ministre roumain. Sa stratégie: "Mêler des politiques globales en matière économique et sociale, et l'accompagnement des individus et de leur famille, au cas par cas".
Il a assuré que "la liste des personnes de retour a été transmise aux localités et aux agences locales pour l'emploi qui sont priées de les contacter et de leur proposer des pistes". Une démarche qu'il qualifie de "discrimination positive", alors que la crise économique affecte gravement l'ensemble de population roumaine, et un peu plus encore les Roms en matière d'accès à l'emploi, au logement ou à l'éducation.
Mise en garde contre la xénophobie
"Aucune tension" entre la France et la Roumanie, donc, a affirmé le représentant roumain. Seul point, et non des moindres, sur lequel Valentin Mocanu a mis en garde Paris, le risque [potentiel] de dérive vers le racisme et la xénophobie. "J'ai insisté auprès des autorités françaises pour qu'il y ait une meilleure communication sur ce sujet, afin d'aider la société civile française à avoir une meilleure compréhension de la situation" des Roms.
Au même moment, ce jeudi, Paris affrétait deux nouveaux avions spéciaux pour Bucarest, avec à leur bord des Roms candidats au retour volontaire, selon [malveillance coutumière] les autorités françaises. Celui en provenance de Lyon est arrivé en début d'après-midi, avec un groupe de 125 personnes. 158 autres sont attendus plus tard, en provenance de Paris. Selon un sondage CSA, 48% des Français [près d'un Français sur deux] approuvent cette vague d'expulsions. [combien seront-ils quand ils seront totalement et honnêtement informés ?]
Par Marie Simon, publié le 26/08/2010
Ni vu, ni connu, j't'embrouille
On comprendra (?) donc que le PS et ses organes de presse - aussi insolents qu'amoraux - soient subrepticement passés à autre chose.
Désirdavenir Royal demande pardon pour ses camarades de la gauche
Si elle ne l'a pas fait, elle ne va pas tarder !
Toutes les excuses, ou 'regrets' d'"humanistes" sont les bienvenus...
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