Voyez d'ailleurs comment
elle est touchée par la grâce des urnes
elle est touchée par la grâce des urnes
Le site ségolénien préfère renvoyer ensuite à Marianne2...
Un site de droite pourrait-il être aussi cruel?
« Quant au parti socialiste, sa défaite est sans doute la sanction méritée de ses divisions, de son absence dramatique d’idées et de la grisaille technocratique qu’incarne si bien Martine Aubry, grisaille si judicieusement pointée du doigt par Emmanuel Todd dans un essai récent. Au demeurant comment le parti de Guesde et de Jaurès ne paierait-il pas le prix fort, en pleine crise économique internationale, d’être devenu celui de Strauss-Kahn et de Lamy [bras droit de la Ch'tite Aubry], les deux papes [laïcs ?] du capitalisme mondialisé ?
Pourtant, s’agissant du PS, ces résultats ne préjugent en rien de la suite [comme de bien entendu]: considérant que ni Cohn-Bendit ni Mélenchon et encore moins Besancenot ne représentent une alternative crédible à gauche, il est à ce scrutin une gagnante qu’on ne saurait négliger : Ségolène Royal qui voit Martine Aubry affaiblie en interne et François Bayrou en externe. Or on ne voit pas comment le président Sarkozy, la crise et l’usure du pouvoir aidant, pourrait reconquérir les 88,5 % d’électeurs qui n’ont pas daigné voter pour les listes UMP aux européennes [mais l'ont-ils fait pour le PS ?...]. [Les ségoléniens sont lucides et clairvoyants, comme chacun sait]
La présidente de Poitou-Charentes risque ainsi d’apparaitre, le moment venu, non seulement comme la candidate naturelle du PS, mais aussi, sauf fait nouveau à ce jour imprévisible, comme l’unique moyen pour les Français de sanctionner le président sortant, sachant qu’en démocratie - ce scrutin vient de le confirmer par le truchement des abstentions - on vote - plus souvent contre que pour. »
Bilan de cet article malencontreux:
Un site de droite pourrait-il être aussi cruel?
« Quant au parti socialiste, sa défaite est sans doute la sanction méritée de ses divisions, de son absence dramatique d’idées et de la grisaille technocratique qu’incarne si bien Martine Aubry, grisaille si judicieusement pointée du doigt par Emmanuel Todd dans un essai récent. Au demeurant comment le parti de Guesde et de Jaurès ne paierait-il pas le prix fort, en pleine crise économique internationale, d’être devenu celui de Strauss-Kahn et de Lamy [bras droit de la Ch'tite Aubry], les deux papes [laïcs ?] du capitalisme mondialisé ?
Pourtant, s’agissant du PS, ces résultats ne préjugent en rien de la suite [comme de bien entendu]: considérant que ni Cohn-Bendit ni Mélenchon et encore moins Besancenot ne représentent une alternative crédible à gauche, il est à ce scrutin une gagnante qu’on ne saurait négliger : Ségolène Royal qui voit Martine Aubry affaiblie en interne et François Bayrou en externe. Or on ne voit pas comment le président Sarkozy, la crise et l’usure du pouvoir aidant, pourrait reconquérir les 88,5 % d’électeurs qui n’ont pas daigné voter pour les listes UMP aux européennes [mais l'ont-ils fait pour le PS ?...]. [Les ségoléniens sont lucides et clairvoyants, comme chacun sait]
La présidente de Poitou-Charentes risque ainsi d’apparaitre, le moment venu, non seulement comme la candidate naturelle du PS, mais aussi, sauf fait nouveau à ce jour imprévisible, comme l’unique moyen pour les Français de sanctionner le président sortant, sachant qu’en démocratie - ce scrutin vient de le confirmer par le truchement des abstentions - on vote - plus souvent contre que pour. »
Bilan de cet article malencontreux:
l'amère Royal ne doit pas être candidate !
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