Les activités pédophiles de chanteur contribueront manifestement à la construction de sa légende dans le public amateur de glauque. Les politiques adressent vraisemblablement leurs hommages à l’artiste, mais certains gardent un silence lourd de sous-entendus.
Christine Lagarde a dit non
Les gauchistes soixante-huitards et leurs vertueux héritiers en sont tout retournés : le ministre de l’Economie n’est pas dévastée par la mort de cette star planétaire !
Christine Lagarde, invitée de LCI, fut invitée à verser un pleur entre deux questions économiques : « Avez-vous été touchée par la disparition de Michael Jackson ? ».
Et Christine Lagarde de répondre aussi clairement que laconiquement : « Non ».
Les media s’interrogent aussi sec sur les conséquences d’une telle franchise chez un responsable politique: Christine Lagarde a-t-elle eu raison d’exprimer sa conviction? Faudrait-il en plus qu’elle se justifiât ?
Christine Lagarde a dit non
Les gauchistes soixante-huitards et leurs vertueux héritiers en sont tout retournés : le ministre de l’Economie n’est pas dévastée par la mort de cette star planétaire !
Christine Lagarde, invitée de LCI, fut invitée à verser un pleur entre deux questions économiques : « Avez-vous été touchée par la disparition de Michael Jackson ? ».
Et Christine Lagarde de répondre aussi clairement que laconiquement : « Non ».
Les media s’interrogent aussi sec sur les conséquences d’une telle franchise chez un responsable politique: Christine Lagarde a-t-elle eu raison d’exprimer sa conviction? Faudrait-il en plus qu’elle se justifiât ?
-> Pour valider sa prise de position, l’économiste devra-t-elle se lancer dans un Moonwalk sur les trottoirs de Bercy ?
En effet, les abords de la Bourse du Travail ne sont pas accessibles. Ils n’ont pas encore été libérés de leurs sans papiers refoulés par les syndicalistes de la CGT, dès qu’ils n’ont plus eu besoin de leur vote, au lendemain des élections professionnelles ?
Or, ils s’indignent, les suiveurs de media sponsorisés par les multinationales du disque, qui pensent qu’un artiste de la trempe de Michael Jackson mérite au moins un petit hommage, même hypocrite.
Mais les idolâtres laïcs se sont tus tout à coup, à l’annonce de l’éloge enthousiaste de Barack Hussein 1er, le métis qu’on dit noir, à la mort du Noir qui se voulait cul-blanc.
Et qu’a donc déclaré le frère-président ?
C’était «un artiste spectaculaire, une icône de la musique», déclara Robert Gibbs, porte parole de la Maison Blanche. Plus compassionnel, tu meurs. Oh, pardon !
Comme si le Président avait mieux à faire, le porte parole s’y est collé et s’est même étendu sur le sujet Mickael Jackson. «Tout le monde se souvient d’avoir entendu ses chansons, de l’avoir vu danser le Moonwalk à la télé pendant le 25e anniversaire de la Motown», a-t-il ajouté.
Oh, sacrilège !
Le porte-parole d'Obama n'élude pas certains aspects «plus tristes et tragiques», et d’exprimer ses condoléances envers la famille Jackson et les fans qui sont en deuil.
Silence complice de Cohn-Bendit et Bayrou
Mais si unlicencié licencieux-ès-attouchements, de l’envergure de Dany-le-Rouge, reste prostré dans son Neverland intime, la presse caniveau a du souci à se faire.
Jusqu’au Zorro béarnais des bonnes mœurs qui se fait complice du vice contre la vertu !
Véritable séisme dans l’histoire de la musique, à la disparition de Michael une élue démocrate de Californie a souligné «les talents multiples» de Michael Jackson, qui «distrayait le monde». Tout le monde, les grands et les petits, sans que Cohn-Bendit et Zizou-Bayrou ne s’en émeuvent.
Et rassurez-nous ! L'amère Noël a bien dû se répandre aussi sur le sort de Bambi et des bamins orphelins , n'est-ce pas ?
En effet, les abords de la Bourse du Travail ne sont pas accessibles. Ils n’ont pas encore été libérés de leurs sans papiers refoulés par les syndicalistes de la CGT, dès qu’ils n’ont plus eu besoin de leur vote, au lendemain des élections professionnelles ?
Or, ils s’indignent, les suiveurs de media sponsorisés par les multinationales du disque, qui pensent qu’un artiste de la trempe de Michael Jackson mérite au moins un petit hommage, même hypocrite.
Mais les idolâtres laïcs se sont tus tout à coup, à l’annonce de l’éloge enthousiaste de Barack Hussein 1er, le métis qu’on dit noir, à la mort du Noir qui se voulait cul-blanc.
Et qu’a donc déclaré le frère-président ?
C’était «un artiste spectaculaire, une icône de la musique», déclara Robert Gibbs, porte parole de la Maison Blanche. Plus compassionnel, tu meurs. Oh, pardon !
Comme si le Président avait mieux à faire, le porte parole s’y est collé et s’est même étendu sur le sujet Mickael Jackson. «Tout le monde se souvient d’avoir entendu ses chansons, de l’avoir vu danser le Moonwalk à la télé pendant le 25e anniversaire de la Motown», a-t-il ajouté.
Oh, sacrilège !
Le porte-parole d'Obama n'élude pas certains aspects «plus tristes et tragiques», et d’exprimer ses condoléances envers la famille Jackson et les fans qui sont en deuil.
Silence complice de Cohn-Bendit et Bayrou
Mais si un
Jusqu’au Zorro béarnais des bonnes mœurs qui se fait complice du vice contre la vertu !
Véritable séisme dans l’histoire de la musique, à la disparition de Michael une élue démocrate de Californie a souligné «les talents multiples» de Michael Jackson, qui «distrayait le monde». Tout le monde, les grands et les petits, sans que Cohn-Bendit et Zizou-Bayrou ne s’en émeuvent.
Et rassurez-nous ! L'amère Noël a bien dû se répandre aussi sur le sort de Bambi et des bamins orphelins , n'est-ce pas ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):