En France, elle reste une référence pour l’opposition...
Les Américains sont de plus en plus préoccupés par la politique économique de Barack Obama, notamment par l'ampleur du déficit public et l'interventionnisme de l'Etat, selon deux sondages rendus publics mercredi.
Désenchantement américain
Cinq mois après son arrivée à la Maison blanche, la cote de popularité d'Obama demeure élevée mais chute de cinq points par rapport à avril, à 56%, selon une étude NBC News/Wall Street Journal.
Mais les questions économiques mettent en exergue l'inquiétude des Américains.
Pour 58% des personnes interrogées le président et le Congrès devraient veiller à ne pas creuser le déficit public fédéral.
Le Bureau du budget du Congrès estime que le déficit atteindra 1.800 milliards de dollars cette année, un record.
Près de 70% des Américains voient d'un mauvais oeil l'intervention de l'administration dans l'économie, notamment la prise de contrôle du géant de l'automobile General Motors et le projet de réforme de la sécurité sociale. Ringarde, la gauche française réclame en revanche plus d'interventionnisme étatique...
Si 37% jugent que Barack Obama s'occupe de trop de sujets à la fois, 60% comprennent que c'est la conséquence des nombreux problèmes auxquels sont confrontés les Etats-Unis. Partout, les populations peinent à réaliser que les responsables politiques au pouvoir ont beaucoup à faire. La crise économique internationale requiert des hyper-présidents : aux oppositions restent le verbe et la critique.
Les Américains veulent néanmoins croire en lui
Un autre sondage réalisé pour CBS et le New York Times fait apparaître un décalage équivalent entre la popularité élevée du président démocrate et la perception de ses décisions, notamment en matière économique.
Les deux études montrent en outre qu'une majorité d'Américains sont hostiles à sa volonté de fermer d'ici janvier la prison militaire de Guantanamo, symbole de la "guerre contre le terrorisme" que menait son prédécesseur George Bush.
Le sondage NBC/Wall Street Journal a été réalisé entre vendredi et lundi auprès de 1.008 adultes. Celui de CBS/NYT a été conduit de vendredi à mardi auprès de 895 adultes.
Les Américains sont de plus en plus préoccupés par la politique économique de Barack Obama, notamment par l'ampleur du déficit public et l'interventionnisme de l'Etat, selon deux sondages rendus publics mercredi.
Désenchantement américain
Cinq mois après son arrivée à la Maison blanche, la cote de popularité d'Obama demeure élevée mais chute de cinq points par rapport à avril, à 56%, selon une étude NBC News/Wall Street Journal.
Mais les questions économiques mettent en exergue l'inquiétude des Américains.
Pour 58% des personnes interrogées le président et le Congrès devraient veiller à ne pas creuser le déficit public fédéral.
Le Bureau du budget du Congrès estime que le déficit atteindra 1.800 milliards de dollars cette année, un record.
Près de 70% des Américains voient d'un mauvais oeil l'intervention de l'administration dans l'économie, notamment la prise de contrôle du géant de l'automobile General Motors et le projet de réforme de la sécurité sociale. Ringarde, la gauche française réclame en revanche plus d'interventionnisme étatique...
Si 37% jugent que Barack Obama s'occupe de trop de sujets à la fois, 60% comprennent que c'est la conséquence des nombreux problèmes auxquels sont confrontés les Etats-Unis. Partout, les populations peinent à réaliser que les responsables politiques au pouvoir ont beaucoup à faire. La crise économique internationale requiert des hyper-présidents : aux oppositions restent le verbe et la critique.
Les Américains veulent néanmoins croire en lui
Un autre sondage réalisé pour CBS et le New York Times fait apparaître un décalage équivalent entre la popularité élevée du président démocrate et la perception de ses décisions, notamment en matière économique.
Les deux études montrent en outre qu'une majorité d'Américains sont hostiles à sa volonté de fermer d'ici janvier la prison militaire de Guantanamo, symbole de la "guerre contre le terrorisme" que menait son prédécesseur George Bush.
Le sondage NBC/Wall Street Journal a été réalisé entre vendredi et lundi auprès de 1.008 adultes. Celui de CBS/NYT a été conduit de vendredi à mardi auprès de 895 adultes.
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