Le sommet bilatéral de l'amitié franco-espagnole

Si RFI le dit, on peut croire ces opposants du service public!
« Nicolas Sarkozy, accompagné de son épouse, a entamé ce lundi une visite d'Etat de vingt-quatre heures en Espagne. Après la visite lundi après-midi du musée du Prado et le dîner d'Etat pour les couples présidentiel et royal au Palais de la Zarzuela, l'essentiel des entretiens politiques aura lieu mardi lors de la réunion bilatérale qui réunira Nicolas Sarkozy et José Luis Zapatero. »
Après avoir admis que l'ambiance était « plus qu'amicale », comme l'ont noté Paris et Madrid, la radio prétend que les acteurs étaient « soucieux tous deux de faire oublier la polémique sur des propos attribués au chef de l'Etat français sur le président du gouvernement espagnol José Luis Zapatero ». France Info avait même affirmé, avant l'arrivée du président, que son souci était de s'expliquer sur la désinformation du journal d'opposition français, Libération.

Le président Sarkozy étrille les âne et ânesse socialistes

François Fillon avait peu avant déclaré que la visite d'Etat de Nicolas Sarkozy en Espagne constituait "une formidable gifle aux élucubrations de Ségolène Royal". Le chef du gouvernement s'exprimait pendant la réunion du groupe UMP à l'Assemblée nationale, selon plusieurs participants.
La crapoteuse Royal trouvera là l'occasion de se traîner à nouveau sur les genoux.
Coup de sabot de l'âne bâté
Libération titrait le 28 avril 2009: Carla - Letizia : Barbie première dame contre Barbie princesse ?
Les préférences monarchistes de Libération surprendront (peut-être) ses lecteurs, mais indigneront certainement les républicains français. Sur le sujet de la volonté polémiste du canard, nous ne nous étendrons pas.
Nous nous permettrons seulement de lui faire observer que la princesse espagnole qu'ils plébiscitent est une roturière.
Si elle avait été d'origine aristocratique, Carla Bruni-Sarkozy aurait-elle remporté les suffrages des incohérents de Libération?

« Posant pour les photographes juste avant un déjeuner au palais de la Zarzuela lundi 27 avril, les deux femmes [dames ?] ont misé sur un look de Barbie, les cheveux légèrement lâchés, des robes on ne peut plus convenables, sans décolleté, dans des tons sobres, une tenue Dior bleue pour la Française et un ensemble prune pour l'Espagnole. », ce que contredisent les photos ci-dessus.
Autre détail de ces spécialistes du Gotha:

Or, les manants n'ont pas appris dans leur école régionale de journalisme que les écharpes, sur lesquelles ils font une fixation, sont des cordons: comme nous avons le «grand cordon de la Légion d'honneur », les Espagnols ont le « collier de l'ordre royal de Carlos III », la plus haute distinction civile espagnole (ci-contre) , qu'ils ont remis à leurs amis Français.
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