Le double-jeu des activistes
Des troupes hostiles ont librement passé les frontières et convergé de l’Europe entière sur Strasbourg et Baden-Baden, à l’occasion du sommet de l’OTAN qui réunissait les 28 chefs d’état et de gouvernement des pays les plus puissants du monde, y compris pourtant ceux de pays émergents comme la Chine, l’Inde ou le Brésil.
A chacun son style
La diversité de leurs stratégies a surpris les Français, car les envahisseurs se sont présentés comme des pacifistes, alors que leurs comportements violents terrorisaient les habitants et stupéfiaient les spectateurs de la télévision. Certains jouaient les sympas et inoffensifs, en consciences du monde ; d’autres cherchaient le contact, encagoulés et armés, en justiciers.
Les éveilleurs de conscience
Les premiers ont tenté de créer un no man’s land entre zone noire, à risque, des anarchistes et anti-républicains déterminés à l’affrontement , et une zone rouge, sécurisée, tenue par les force anti-émeutes à Strasbourg. Leur objectif n’était pas de réussir à séparer les forces en présence, mais à donner le change. Leur positionnement ne faisait pas de doute. Ils se disaient en effet pacifistes authentiques, mais victimes des forces de répression du capitalisme. Leur mission consistait à démontrer que malgré leurs manières bon enfant, ils étaient empêchés de s’exprimer.
Dans la petite ville thermale allemande, seules quelques centaines de manifestants pacifistes ont pu défiler. En tête de cortège, sous haute surveillance policière, ils brandissaient une banderole proclamant “L’OTAN fait naufrage”...
La diversité de leurs stratégies a surpris les Français, car les envahisseurs se sont présentés comme des pacifistes, alors que leurs comportements violents terrorisaient les habitants et stupéfiaient les spectateurs de la télévision. Certains jouaient les sympas et inoffensifs, en consciences du monde ; d’autres cherchaient le contact, encagoulés et armés, en justiciers.
Les éveilleurs de conscience
Les premiers ont tenté de créer un no man’s land entre zone noire, à risque, des anarchistes et anti-républicains déterminés à l’affrontement , et une zone rouge, sécurisée, tenue par les force anti-émeutes à Strasbourg. Leur objectif n’était pas de réussir à séparer les forces en présence, mais à donner le change. Leur positionnement ne faisait pas de doute. Ils se disaient en effet pacifistes authentiques, mais victimes des forces de répression du capitalisme. Leur mission consistait à démontrer que malgré leurs manières bon enfant, ils étaient empêchés de s’exprimer.
Dans la petite ville thermale allemande, seules quelques centaines de manifestants pacifistes ont pu défiler. En tête de cortège, sous haute surveillance policière, ils brandissaient une banderole proclamant “L’OTAN fait naufrage”...
Ainsi, après avoir parodié une négociation en brandissant des plumeaux multicolores ou des pistolets en plastique, les clowns ont dû faire demi-tour, repoussés par des canons à eau et des gaz lacrymogènes….
VOIR et ENTENDRE : l’armée des clowns dans la Pink zone mimaient une infiltration terroriste...
Des clowns déclarent une «pink zone» par dna_web
VOIR et ENTENDRE : l’armée des clowns dans la Pink zone mimaient une infiltration terroriste...
Des clowns déclarent une «pink zone» par dna_web
VOIR et ENTENDRE (lien)
Nudistes et pacifiques envoyé par LePostfr
Vendredi, les responsables du contre-sommet et du village anti-OTAN ont donc pu déplorer les mesures de sécurité qui les ont empêchés de manifester en masse, à Strasbourg comme à Baden-Baden.
Les activistes musclés
Les seconds pratiquaient plutôt la manière forte que l’agit-prop.
Les images du pacifisme révolutionnaire valent mieux que tous les discours.
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