Une chronique de France Info dynamite la para socialiste
On n'est pas obligé de croire Jean-Pierre Gauffre, qui, habituellement, se gauffre plus souvent qu'à son tour sur France-Info.
On n'est pas obligé de croire Jean-Pierre Gauffre, qui, habituellement, se gauffre plus souvent qu'à son tour sur France-Info.
Or, une illuminée, qu'il n'est plus besoin de nommer, l'a stimulé notablement le 20 avril 2009. PaSiDupes se fait un plaisir de vous livrer ses réflexions sarcastiques sur la para-socialiste: 'para', en ce qu'elle se situe à la frange du PS, sans qu'elle sache si c'est à sa droite ou à sa gauche, mais 'para' aussi en ce qu'elle saute sur tout ce qui bouge, couteau entre les dents et grenade au poing. La béret vert a donc une prédilection pour le président hyper-actif qui l'a étrillée à la présidentielle.
Bonne lecture donc de la chronique en question:
Pardon pour tout
La contrition pour les actes des autres devenant une nouvelle ligne de conduite politique, je voudrais, à mon tour, demander un certain nombre de pardons...
Croyez-moi ou pas, mais je voudrais demander pardon à tous les auditeurs de France Info, et à travers eux, à beaucoup de Français, pour le temps qu’il va faire aujourd’hui… En effet, on prévoit des passages nuageux importants et des pluies éparses sur un secteur s’étendant des pays de la Loire jusqu’à la région parisienne… Je l’avoue, c’est une météo qui n’est pas à l’honneur de la France… Une météo indigne de notre pays, qui est pourtant le pays des droits de l’homme et de la météo tempérée… Mais en raison de l’action gouvernementale et des effets encore inefficaces du Grenelle de l’environnement, le temps va rester maussade sur une bonne partie de la France… Alors, pour tous les Français qui vont, malgré tout, devoir subir ce temps pourri, alors qu’ils n’y sont strictement pour rien, qu’ils ne l’ont pas décidé, je leur demande vraiment et sincèrement pardon…
Je voulais aussi demander pardon à tous ceux qui ont acheté du rôti de bœuf, hier dimanche, à la boucherie qui fait l’angle du boulevard du Montparnasse et de la rue Patrick-Bruel, à Paris… Le rôti était, semble-t-il, immangeable, parce qu’en raison de l’incurie gouvernementale, la faiblesse des subventions reçues par l’éleveur du bœuf ne lui a pas permis de donner à son animal une nourriture suffisamment équilibrée pour produire une viande à la tendreté irréprochable… Pardon, sincèrement pardon aux consommateurs…
Je voulais aussi demander pardon aux usagers de TGV Bordeaux-Paris de 6 h 10, car on m’a appris, il y a quelques instants, que le wagon bar était en rupture de jus de pamplemousse, ce qui constitue, de la part de ce gouvernement sans foi ni loi, une atteinte intolérable aux droits fondamentaux du petit déjeuner… Les hommes naissent libres et égaux en droits, ils peuvent légitimement prétendre à pouvoir commencer leur journée, lorsqu’ils voyagent en TGV entre Bordeaux et Paris, par un jus de pamplemousse… Et face à ce gouvernement qui ne sait pas prendre ses responsabilités pour assurer un approvisionnement suffisant en jus de pamplemousse dans les wagons bars du Bordeaux-Paris, eh bien, je demande pardon à tous les usagers…
Et puis surtout, je voudrais demander pardon aux infirmiers de l’asile psychiatrique, dont j’ai échappé quelques instants à la surveillance, pour venir faire cette chronique en ce lundi pluvieux… C’est une chronique qui n’honore ni la France, ni le service public de l’audiovisuel… Mais elle est surtout le résultat de l’indigence gouvernementale, qui ne permet pas de procéder à des embauches supplémentaires dans le secteur de la surveillance des grands malades mentaux… Alors, pardon de vous infliger de si bon matin une chronique aussi indigne de la France… Je vous promets, demain, de ne pas essayer de sortir de ma cellule capitonnée… Mais évidemment, vous n’êtes pas obligés de me croire…
Bonne lecture donc de la chronique en question:
La contrition pour les actes des autres devenant une nouvelle ligne de conduite politique, je voudrais, à mon tour, demander un certain nombre de pardons...
Croyez-moi ou pas, mais je voudrais demander pardon à tous les auditeurs de France Info, et à travers eux, à beaucoup de Français, pour le temps qu’il va faire aujourd’hui… En effet, on prévoit des passages nuageux importants et des pluies éparses sur un secteur s’étendant des pays de la Loire jusqu’à la région parisienne… Je l’avoue, c’est une météo qui n’est pas à l’honneur de la France… Une météo indigne de notre pays, qui est pourtant le pays des droits de l’homme et de la météo tempérée… Mais en raison de l’action gouvernementale et des effets encore inefficaces du Grenelle de l’environnement, le temps va rester maussade sur une bonne partie de la France… Alors, pour tous les Français qui vont, malgré tout, devoir subir ce temps pourri, alors qu’ils n’y sont strictement pour rien, qu’ils ne l’ont pas décidé, je leur demande vraiment et sincèrement pardon…
Je voulais aussi demander pardon à tous ceux qui ont acheté du rôti de bœuf, hier dimanche, à la boucherie qui fait l’angle du boulevard du Montparnasse et de la rue Patrick-Bruel, à Paris… Le rôti était, semble-t-il, immangeable, parce qu’en raison de l’incurie gouvernementale, la faiblesse des subventions reçues par l’éleveur du bœuf ne lui a pas permis de donner à son animal une nourriture suffisamment équilibrée pour produire une viande à la tendreté irréprochable… Pardon, sincèrement pardon aux consommateurs…
Je voulais aussi demander pardon aux usagers de TGV Bordeaux-Paris de 6 h 10, car on m’a appris, il y a quelques instants, que le wagon bar était en rupture de jus de pamplemousse, ce qui constitue, de la part de ce gouvernement sans foi ni loi, une atteinte intolérable aux droits fondamentaux du petit déjeuner… Les hommes naissent libres et égaux en droits, ils peuvent légitimement prétendre à pouvoir commencer leur journée, lorsqu’ils voyagent en TGV entre Bordeaux et Paris, par un jus de pamplemousse… Et face à ce gouvernement qui ne sait pas prendre ses responsabilités pour assurer un approvisionnement suffisant en jus de pamplemousse dans les wagons bars du Bordeaux-Paris, eh bien, je demande pardon à tous les usagers…
Et puis surtout, je voudrais demander pardon aux infirmiers de l’asile psychiatrique, dont j’ai échappé quelques instants à la surveillance, pour venir faire cette chronique en ce lundi pluvieux… C’est une chronique qui n’honore ni la France, ni le service public de l’audiovisuel… Mais elle est surtout le résultat de l’indigence gouvernementale, qui ne permet pas de procéder à des embauches supplémentaires dans le secteur de la surveillance des grands malades mentaux… Alors, pardon de vous infliger de si bon matin une chronique aussi indigne de la France… Je vous promets, demain, de ne pas essayer de sortir de ma cellule capitonnée… Mais évidemment, vous n’êtes pas obligés de me croire…
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