Allocation versée aux salariés portée à 75% du salaire brut
L'Unedic a approuvé mercredi le projet d'amélioration de l'indemnisation du chômage partiel en France, annonce le ministère de l'Economie et de l'Emploi.
"Conformément à l'annonce du président de la République à l'issue du sommet social du 18 février, cette convention va permettre de mieux indemniser l'activité partielle, en portant l'allocation versée aux salariés à 75% du salaire brut (contre 60% actuellement) soit 90% à 95% du salaire net", peut-on lire dans un communiqué de Christine Lagarde et Laurent Wauquiez.
Le financement
L'Etat prendra en charge le surcoût moyen engendré par cette majoration pendant les 50 premières heures et l'Unedic prendra le relais au-delà.
"La participation de l'assurance chômage se justifie car l'activité partielle permet d'éviter des licenciements", soulignent la ministre de l'Economie et le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi.
En contrepartie de ce soutien financier, les entreprises et les branches devront s'engager à maintenir l'emploi et mettre en place des formations.
Que va encore dénoncer le PS ?
Les bénéficiaires seront-ils convaincus que « le compte n’y est pas » ?...
L'ascenseur social C’est toujours mieux que rien, le 5e ciel…
L'Unedic a approuvé mercredi le projet d'amélioration de l'indemnisation du chômage partiel en France, annonce le ministère de l'Economie et de l'Emploi.
"Conformément à l'annonce du président de la République à l'issue du sommet social du 18 février, cette convention va permettre de mieux indemniser l'activité partielle, en portant l'allocation versée aux salariés à 75% du salaire brut (contre 60% actuellement) soit 90% à 95% du salaire net", peut-on lire dans un communiqué de Christine Lagarde et Laurent Wauquiez.
Le financement
L'Etat prendra en charge le surcoût moyen engendré par cette majoration pendant les 50 premières heures et l'Unedic prendra le relais au-delà.
"La participation de l'assurance chômage se justifie car l'activité partielle permet d'éviter des licenciements", soulignent la ministre de l'Economie et le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi.
En contrepartie de ce soutien financier, les entreprises et les branches devront s'engager à maintenir l'emploi et mettre en place des formations.
Que va encore dénoncer le PS ?
Les bénéficiaires seront-ils convaincus que « le compte n’y est pas » ?...
En janvier, le gouvernement avait dit qu'il piocherait dans l'enveloppe de 500 millions d'euros de son "plan de relance" pour financer ses mesures sur le chômage partiel, au cas où le budget initial serait dépassé. Trois mois après, c'est à l'assurance chômage de contribuer au "plan de relance", donc à la protection sociale des salariés de servir de vache à lait. Une honte !
RépondreSupprimerSophie