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vendredi 8 juin 2012

Raphaëlle Duchemin débat avec Christian Jacob: législatives et premières mesures coûteuses de Ayrault-Zéro

Jean-Marc Ayrault, "entre  mépris et  peur", selon Christian Jacob

Christian Jacob dénonce le refus du  Premier ministre de s'exprimer devant le Parlement sur ses premières mesures.


J.-M. Ayrault,
sympathique, blond, regard métallique:

froideur hautaine



Jean-Marc Ayrault navigue "entre le mépris et la peur", a estimé le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale: "Un exécutif qui refuse de s'expliquer devant la représentation nationale, je pense que c'est du jamais vu", a-t-il souligné sur France Info.

Christian Jacob explique que Jean-Marc Ayrault se situe entre "le mépris de la représentation nationale, le mépris du Parlement et la peur de la vérité des chiffres" sur le financement des mesures annoncées ces derniers jours.

Christian Jacob s'inquiète du coût d'un retour partiel à la retraite à 60 ans qui, bien que le nombre des bénéficiaires soit à la marge,  sera très coûteux.


Le responsable UMP pointe également l'"augmentation du coût du travail puisqu'on augmente les cotisations patronales et une baisse du pouvoir d'achat", en raison de l'augmentation des cotisations salariales


Et de conclure que cette mesure gouvernementale, "c'est 7% d'augmentation de cotisations sociales patronales [...] et salariales".


VOIR et ENTENDRE Christian Jacob "débattre" avec Raphaëlle Duchemin, une journaliste sectaire et cassante, aigre et sifflante, aux limites de l'agressivité :




Christian Jacob a assuré d'autre part que les élections législatives sont "gagnables" pour son camp.
Il explique que "Nicolas Sarkozy a fait une formidable campagne" en partant de très loin pour terminer la course à l'Elysée très proche de François Hollande. Selon lui, il a manqué "un point et demi pour franchir l'obstacle". Et Christian Jacob de conclure : "Sur ces cinq semaines de campagne législative, je pense qu'on peut franchir cet obstacle".


Interrogé sur les
possibilités de triangulaires PS-UMP-FN au second tour, le responsable s'est déclaré assuré qu'il n'y en aura pas une centaine.

Il a clairement écarté tout accord de l'UMP "avec l'équipe de direction (du Front national). 
Ca n'a jamais été le cas et ça ne le sera pas demain".
"Nous n'avons jamais cherché la complicité avec l'équipe dirigeante du FN, comme l'a cherchée la gauche", a-t-il dénoncé.

"Ce qui est inacceptable, c'est de recevoir en permanence des leçons de morale de cette gauche qui s'allie sans vergogne avec l'extrême gauche", a-t-il conclu , non sans villipender Jean-Luc Mélenchon  (noter son doigté délicat, ci-contre) et Philippe Poutou qui tiennent des "propos dangereux"Quand on entend les propos d'un Monsieur Mélenchon qui dit 'Quand vous croisez un riche, vous lui faites les poches', ça veut dire quoi ? ", s'indigne Christian Jacob. Entre autres gracieusetés citoyennes, le "it Boy" de Michou Drücker et des media bien-pensants avaient aussi traité un journaliste-stagiaire de " petite cervelle " et qualifié David Pujadas de " laquais".

Le député UMP évoque ensuite les élections législatives gagnées par le PS mené par Lionel Jospin pour rappeler que "si la gauche a été majoritaire en 1997, c'est avec la complicité de l'extrême droite"

Il ajoute enfin que François Hollande a reçu au second tour de la présidentielle des voix venant d'électeurs qui avaient choisi Marine Le Pen au 1er tour.
Le candidat Hollande a d'ailleurs revendiqué une part du vote d'extrême droite 
"Il y a l'électorat de Le Pen, dont une part vient de la gauche et devrait se retrouver du côté du progrès, de l'égalité, du changement, de l'effort partagé, de la justice, parce qu'il est contre les privilèges, contre la mondialisation financière, contre une Europe défaillante." 
(Entretien avec "Libération", le 24 avril 2012)
"Nous avons la tête haute", a pu conclure Christian Jacob.

2 commentaires:

  1. Décidément Flamby mange à tous les râteliers sans vergogne, est-ce là le président dont nous avions besoin, prêt à tout et n'importe quoi pour gagner.

    Ce n'est qu'un président socialiste, sans ouverture, qui oublie totalement que l'autre moitié des électeurs sont aussi des français

    entouré de gens comme lui, c'est à dire :

    -qui ne connaissent pas le monde du travail

    -qui n'ont aucune notion d'économie, ils ont toujours bien vécu avec l'argent des contribuables
    sans obligation de rendement, assurés de leurs rentrées financières.

    -qui ignorent les affres du chômage (ils ne risquent rien)

    -qui ne sauraient pas se débrouiller avec de maigres revenus

    -qui seraient perdu sans avion, chauffeurs de service etc

    -qui n'ont tout simplement pas idée comment vivent la majorité de leurs concitoyens

    METTRE TOUS LES POUVOIRS ENTRE LEURS MAINS ( PAS TOUJOURS TRÈS PROPRES À EN JUGER PAR LES AFFAIRES CONCERNANT CERTAINS D'ENTRE EUX), EST IMPOSSIBLE À ENVISAGER .

    UMP...UMP...UMP...UMP...UMP...UMP...UMP...UMP

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  2. Pour ma part, je trouve qu'Ayrault a tout à fait le physique pour jouer un nazi pur et dur, comme on en voit dans les films, il a une carrière possible pour l'après politique. Il a la même expression en prime.

    Toutes leurs décisions sont des décisions bien trop onéreuses par les temps de disette qui courent et le contribuable n'a pas de quoi pouvoir être ponctionné de telles sommes, les riches n'étant pas assez nombreux,
    les classes moyennes sont déjà moins que moyennes, et étaient depuis peu heureuses de souffler un peu, les autres ne pourront pas rendre toutes les aides sans couler complètement.

    Ils ont des idées ( tout le monde en a) mais pas les recettes adéquates, rien ce jour, rien à l'horizon.

    Quand à nous, il ne reste que les législatives,
    alors, à vos marques, prêt à partir droit vers les urnes, on y est presque, courage

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