Les syndicats mobilisent faiblement pour le statu quo sur les retraites
La gauche échoue contre le bon sens des Français dont seulement 56% seraient encore contre un allongement de la durée de cotisation. Près de 5 Français sur dix se prononcent pour l’adaptation de la durée de cotisation et réformer le système des retraites et ne sont pas hostiles à un recul de l'âge légal de départ à la retraite, indique un sondage Ifop à paraître demain dans Ouest France.
Partis et syndicats de gauche veulent absolument ignorer les données nouvelles de la société dans laquelle ils militent selon une idéologie et des comportements du siècle passé. Comment la gauche fait-elle pour se fermer au monde d’aujourd’hui et aux informations accessibles à tous ? Arc-boutés sur leurs schémas traditionnels et leur idéologie sclérosée, ils cherchent à tenir la population dans l’ignorance. Malgré les blocages de cette gauche, les Français réalisent quant à eux que l'espérance de vie a progressé depuis 2003, année où la canicule a fait 15.000 victimes et que plus de 20 000 centenaires vivent aujourd'hui en France.
La gauche échoue contre le bon sens des Français dont seulement 56% seraient encore contre un allongement de la durée de cotisation. Près de 5 Français sur dix se prononcent pour l’adaptation de la durée de cotisation et réformer le système des retraites et ne sont pas hostiles à un recul de l'âge légal de départ à la retraite, indique un sondage Ifop à paraître demain dans Ouest France.
Partis et syndicats de gauche veulent absolument ignorer les données nouvelles de la société dans laquelle ils militent selon une idéologie et des comportements du siècle passé. Comment la gauche fait-elle pour se fermer au monde d’aujourd’hui et aux informations accessibles à tous ? Arc-boutés sur leurs schémas traditionnels et leur idéologie sclérosée, ils cherchent à tenir la population dans l’ignorance. Malgré les blocages de cette gauche, les Français réalisent quant à eux que l'espérance de vie a progressé depuis 2003, année où la canicule a fait 15.000 victimes et que plus de 20 000 centenaires vivent aujourd'hui en France.
Un gouvernement responsable et prévoyant peut-il s’aligner sur la démagogie de son opposition ? En effet, selon l'étude de l'INED (Institut national d'études démographiques) publiée vendredi 28 mars, l'espérance de vie des femmes en 2007 s'élève à 84,5 ans, alors qu’entre 1994 et 2002, elle était de 83,7 ans. L'écart, en revanche, est moindre pour les hommes, puisque sur la période, leur espérance de vie est passée de 77,2 à 77,6 ans.
Les centenaires pourraient être 60 300 en 2050, selon l'INED, car l'espérance de vie ne cesse de progresser. En 2007, l'espérance de vie a fait un véritable bond. Cette amélioration serait en partie «due à la canicule, car depuis, la surveillance s'est renforcée», avance France Meslé, directrice de recherche à l'Ined.
Il faut que la gauche intègrent les chiffres nouveaux. Les centenaires qui n'étaient qu'une centaine en 1900 et quelque 3 760 en 1990, sont désormais, plus de 20 000 selon les chiffres divulgués cette semaine par l'Institut national d'études démographiques (Ined) dans son portrait annuel de la population française. Au cours des prochaines décennies, leur progression sera freinée, car des classes d'âge moins nombreuses gagnent les sommets de la pyramide. Mais les centenaires restent promis à un bel avenir. Mais qui financera ces retraites ? « Veux pas savoir ! », répond la gauche.
Que l'opposition le veuille ou non, les conditions de vie et de travail s’améliorent. Les progrès de la médecine et la qualité de l’encadrement ouvrent des perspectives de longévité inédites. L'Insee prévoit que 16,6 % de la population aura plus de 75 ans en 2050 (contre 8 % aujourd'hui). Heureusement, les années gagnées semblent se dérouler en meilleure santé (l'espérance de vie sans incapacité augmente elle aussi), même si la fin de vie varie largement selon les catégories socioprofessionnelles. Faut-il prendre en compte ces avancées ou manipuler l’opinion ? Les Français appelés à manifester aujourd’hui apportent une réponse à la gauche.
Il faut que la gauche intègrent les chiffres nouveaux. Les centenaires qui n'étaient qu'une centaine en 1900 et quelque 3 760 en 1990, sont désormais, plus de 20 000 selon les chiffres divulgués cette semaine par l'Institut national d'études démographiques (Ined) dans son portrait annuel de la population française. Au cours des prochaines décennies, leur progression sera freinée, car des classes d'âge moins nombreuses gagnent les sommets de la pyramide. Mais les centenaires restent promis à un bel avenir. Mais qui financera ces retraites ? « Veux pas savoir ! », répond la gauche.
Que l'opposition le veuille ou non, les conditions de vie et de travail s’améliorent. Les progrès de la médecine et la qualité de l’encadrement ouvrent des perspectives de longévité inédites. L'Insee prévoit que 16,6 % de la population aura plus de 75 ans en 2050 (contre 8 % aujourd'hui). Heureusement, les années gagnées semblent se dérouler en meilleure santé (l'espérance de vie sans incapacité augmente elle aussi), même si la fin de vie varie largement selon les catégories socioprofessionnelles. Faut-il prendre en compte ces avancées ou manipuler l’opinion ? Les Français appelés à manifester aujourd’hui apportent une réponse à la gauche.
Les manifestations à l'appel de la CGT, de la FSU et de Sud-Solidaires ont été clairsemées samedi. Où étaient FO et la CFDT? Cette faible mobilisation pour la hausse des pensions et contre l'allongement de la durée de cotisation des retraites est qualifiée de "mise en jambes" par Bernard Thibault. La CGT, qui avait fait état d'une centaine de défilés et de rassemblements à travers toute la France, a comptabilisé entre 80.000 et 100.000 personnes au niveau national. A Paris, le plus gros défilé de la journée a rassemblé 4.600 personnes selon la police, 12.000 de source syndicale. Ce désaveu les conduit à multiplier par trois leurs estimations…
La CGT se comporte en conservatrice de musée.
A Paris, les protestataires -essentiellement des militants de la CGT- ont défilé dans l'après-midi derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire: "Oui à la revalorisation des pensions et des retraites. Non à l'allongement de la durée des cotisations. Stop à la casse de nos retraites". C’est vendeur, mais est-ce réaliste ?
Reconnaissant la faiblesse de la mobilisation, le secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) située à gauche et partagée entre socialistes et communistes, Gérard Aschieri qui n'a rien su négocier pour les profs, déclare aujourd'hui –comme les lycéens de la FIDL jeudi !- qu'il s'agissait d'un "début de mouvement qui a le mérite de commencer à poser le débat", bien que le ministre du Travail Xavier Bertrand ait entamé des consultations avec les partenaires sociaux sur cette deuxième phase de la réforme des retraites, jeudi dernier. Le Parlement des représentants du peuple ne comorte donc plus d' interlocuteurs aussi valables et légitimes que les élus de quelques travailleurs encore syndiqués?
Quant au communiste Thibault, il estime toujours que "les entreprises sont exonérées d'efforts". Les charges sociales leur sont trop légères et l'emploi n'en souffre pas... Et de réclamer sur le dossier des retraites une "vraie négociation interprofessionnelle" -patronat, syndicats, gouvernement- au lieu de simples "consultations".
Les députés peuvent rentrer à la maison ?
Tout se passe dans la rue...
La rentrée sociale de septembre à septembre, et on recommence ?
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