DSK vs Marie-sEGOlène Royal.
C’est dès MAI 2006 que Dominique Strauss-Kahn a ouvert les hostilités visant la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue, en soulignant qu’elle peut être plus conservatrice que le président de l'UMP.
Sur RMC, il nuança sa pensée en déclarant que cela pouvait « dépendre des sujets ». « Je pense que tout homme et toute femme sont des composés complexes de progressisme et de conservatisme et qu'on peut trouver chez chacun d'entre eux, souvent, un sujet sur lequel le plus conservateur n'est pas celui qu'on croit.», a t-il ajouté.
Déjà il stigmatisait aussi ses petites phrases attrape-tout. L’ancien ministre de l’Economie ironisait déjà sur le nouveau slogan de la candidate socialiste préférée des sondeurs-truqueurs, qui dit vouloir instaurer une «République du respect». « C'est bien le moins », a-t-il assuré. « Si la République n'était pas le respect, qu'est-ce que ce serait que la République ? » « C'est bien dans le débat politique d'avoir des formules choc comme ça, qui recouvrent des concepts auxquels chacun peut adhérer », a-t-il ajouté. « Il faut aussi qu'on en passe les uns et les autres à des éléments plus concrets, à la façon dont on résout les problèmes quotidiens des Français - le chômage, la précarité, les questions de pouvoir d'achat.» On ne peut pas dire qu’il a tort…
Tout cela pour nous dire que DSK pensait déjà que Dominique Strauss-Kahn est le seul que les socialistes pourront choisir, car il est « celui qui sera le plus apte à résoudre le problème de la France aujourd'hui […] la situation économique ». Il pourrait incarner cette personne grâce à « l'expérience, de ce côté-là, (qui) est plus chez moi que chez d'autres ».
Personne ne parle aussi bien de lui que lui-même et on notera que ce n’est pas la modestie qui l’étouffe !
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