Hollande fait le désespoir de ses hagiographes mais le bonheur des observateurs
Parce que, selon ses dévots désespérés, il aime le verbe et manie l’humour comme un bouclier,
François Hollande se penche souvent sur son cas dans ses interventions officielles par le biais de fréquentes références à sa situation politique et les flatteurs valorisent désormais les travers et bulles qualifiés de couacs et quand ils ridiculisaient les bourdes de son ex-concubine mortifiée. L'une est arrogante, l'autre ridicule, mais la presse aux ordres a désormais pour mission de rattraper les bulles présidentielles et de les parer de couleurs irisées.
"Rien ne se passe comme prévu", avait noté François Hollande face aux journalistes avant de devenir un candidat par défaut de la gauche, suite à la "défaillance" de Dominique Strauss-Kahn. Il taclait ainsi les commentateurs, les pronostiqueurs et les rivaux politiques de son propre camp, mais ses courtisans en firent de l'humour, si grinçant fût-il. Ainsi ne fallait-il pas sous-estimer le président qui était le fruit du hasard !
Du coup, Hollande se verrait bien en David contre Goliath. En prononçant son discours au cimetière américain de Colleville-sur-Mer samedi, le succédané de DSK a salué l’ "énergie infatigable " des soldats alliés qui ont mené "un affrontement acharné, incertain, décisif " face à des "nazis sûrs d’eux". C'est dit: tout opposant à sa politique, aussi "déterminée" qu'incertaine soit-elle depuis deux logues années, est un nazi. Le hasard s'acharnant, un bus de 50 touristes a versé au fossé au retour d'une visite à ce cimetière de Colleville-sur-Mer, ce 7 juin 2014, précisément... Mais, histoire de hausser Hollande au niveau de l'illustre DSK et de l'effacer dans ce qu'il a de plus glorieux, les alcôves du pouvoir, à défaut de puissance, la presse révèle que Pépère continuerait de butiner de ci- de-là...
"Gouverner, c’est pleuvoir", avait-il lâché, en pleine affaire Cahuzac, citant le Maréchal Lyautey lors d’une visite d’Etat au Maroc.
"Du noir surgit la lumière", a-t-il déclaré la semaine dernière, récitant sa fiche, après avoir admiré les Outrenoirs de Pierre Soulages et avant de préciser, fataliste : " la lumière, nous la cherchons." De quoi galvaniser les foules dans le marasme !
Et Hollande a encore brillé lors de la célébration des 70 ans du D-day de 1944
Le président Hollande aurait commis deux bavures républicaines dès son accueil de la reine Elisabeth II.
Le très strict protocole anglais ne l'autorisait pas à tendre la main le premier pour saluer la reine, ni à s'asseoir avant elle dans la voiture qu'ils partageaient. S'il fallait bien que la souveraine s'attendît à subir les manières socialistes, mais elle était en revanche en droit d'attendre le respect dû à son âge, fusse par un rustre sans culotte envers une dame. Le très basique président lui aura peut-être néanmoins épargné la vue de sa braguette ouverte...
Elégance à la française: Hollande, exception culturelle
La récep- tion de la souve- raine à l'Elysée aura encore été un grand moment de honte:
le président socialiste portait encore un pantalon trop grand pour lui, dans un effort désespéré pour se donner une certaine stature internationale.
Pépère peine parmi les grands de ce monde.
Voyez-moi ça, derrière le même pupitre que Barack Obama. On ne peut décidément rien pour lui !
Le très strict protocole anglais ne l'autorisait pas à tendre la main le premier pour saluer la reine, ni à s'asseoir avant elle dans la voiture qu'ils partageaient. S'il fallait bien que la souveraine s'attendît à subir les manières socialistes, mais elle était en revanche en droit d'attendre le respect dû à son âge, fusse par un rustre sans culotte envers une dame. Le très basique président lui aura peut-être néanmoins épargné la vue de sa braguette ouverte...
Elégance à la française: Hollande, exception culturelle
La récep- tion de la souve- raine à l'Elysée aura encore été un grand moment de honte:
le président socialiste portait encore un pantalon trop grand pour lui, dans un effort désespéré pour se donner une certaine stature internationale.
Pépère peine parmi les grands de ce monde.
Voyez-moi ça, derrière le même pupitre que Barack Obama. On ne peut décidément rien pour lui !
Toast des républicains à la démocratie |
Il pensait donc plutôt à la situation française et à sa propre impuissance face à la résistance du patronat et de la CGT, comme au mépris de l'opposition et aux défis de sa majorité présidentielle déboussolée...
Son "Rien ne se passe comme prévu" ne cesse de raisonner comme le constat de l'échec du changement qu'il annonçait.
Pour compléter le tableau, vous auriez pu mettre la photo du hollandais le soir de la réception en l honneur de la reine.................le pantalon trop large et trop long de 20 centimètres qui tombait sur les chaussures dans la cour de l'Elysée ..............une honte de mec de a à z.............ridicule de chez ridicule mais rien ne l'atteint..........il vit dans sa grosse bulle et traque nicolas Sarkozy son ennemi héréditaire
RépondreSupprimerNous avons pris un plaisir non dissimulé à accéder à votre requête. Merci pour ce signalement.
SupprimerNous avons d'autres documents à venir que les services de com' de l'Elysée n'ont pu escamoter... A bientôt. Cordialement.