Ca vous la coupe?
Le zizi est tabou : on ne fait pas de pédagogie avec ces choses
Un enfant de 9 ans peut, en pleine salle de classe, le montrer aux petites filles, que ce soit pour les amuser ou les traumatiser, mais l'adulte ayant autorité n’a pas le droit, dans ce sanctuaire, de mettre un terme à un acte d’exhibitionnisme précoce, fût-ce en dédramatisant le geste et la situation.
Le 26 septembre 2008, dès le premier jour de son remplacement dans une école primaire, des élèves se plaignent à leur instituteur que Julien, agitateur de 9 ans, offre son zizi à la vue des petites filles. «Les enfants sont venus me dire qu'il n'arrêtait pas de montrer son zizi. Je l'ai fait venir à mon bureau, j'ai pris un cutter dans mon cartable et, pour ramener le calme, je lui ai dit sur le ton de la plaisanterie: je coupe tout ce qui dépasse», raconte l’instituteur. Qui n’a pas en effet entendu prononcer ces mots à un enfant qui tire la langue ? Et quel psychologue osera prétendre que la différence est dans le réalisme du cutter que n’aurait pas le zizi ?… Le petit était puni par où il avait fauté. Mais ce n’est pas de la psycho-pédagogie estampillée IUFM.
La gendarmerie prendra connaissance de l’affaire deux mois plus tard.
Le maître, Jean-Paul Laligant, écope alors d’une garde à vue de «neuf heures», pour commencer, et d’une suspension immédiate de quatre mois par son autorité hiérarchique, avec maintien du traitement, car, s’il n’est pas psy, son inspecteur d’académie est social !
C’est à se demander si, au bout du compte, l’exhibitionniste ne serait pas l’instit … Le jeune perturbateur a dû trembler pour son appendice !
La pédagogie est un art exigeant, mais rendre la justice l’est-il tout autant ?
Comment ne pas évoquer le cas du juge Fabrice Burgaud dans l’affaire
Un enfant de 9 ans peut, en pleine salle de classe, le montrer aux petites filles, que ce soit pour les amuser ou les traumatiser, mais l'adulte ayant autorité n’a pas le droit, dans ce sanctuaire, de mettre un terme à un acte d’exhibitionnisme précoce, fût-ce en dédramatisant le geste et la situation.
Le 26 septembre 2008, dès le premier jour de son remplacement dans une école primaire, des élèves se plaignent à leur instituteur que Julien, agitateur de 9 ans, offre son zizi à la vue des petites filles. «Les enfants sont venus me dire qu'il n'arrêtait pas de montrer son zizi. Je l'ai fait venir à mon bureau, j'ai pris un cutter dans mon cartable et, pour ramener le calme, je lui ai dit sur le ton de la plaisanterie: je coupe tout ce qui dépasse», raconte l’instituteur. Qui n’a pas en effet entendu prononcer ces mots à un enfant qui tire la langue ? Et quel psychologue osera prétendre que la différence est dans le réalisme du cutter que n’aurait pas le zizi ?… Le petit était puni par où il avait fauté. Mais ce n’est pas de la psycho-pédagogie estampillée IUFM.
La gendarmerie prendra connaissance de l’affaire deux mois plus tard.
Le maître, Jean-Paul Laligant, écope alors d’une garde à vue de «neuf heures», pour commencer, et d’une suspension immédiate de quatre mois par son autorité hiérarchique, avec maintien du traitement, car, s’il n’est pas psy, son inspecteur d’académie est social !
C’est à se demander si, au bout du compte, l’exhibitionniste ne serait pas l’instit … Le jeune perturbateur a dû trembler pour son appendice !
La pédagogie est un art exigeant, mais rendre la justice l’est-il tout autant ?
Comment ne pas évoquer le cas du juge Fabrice Burgaud dans l’affaire
dite d’Outreau, «machine à appliquer le droit » voulu par Sa Cynique Majesté Royal. Ministre déléguée à l’Enseignement scolaire de Lionel Jospin, elle s'attacha à la défense des droits de l'enfant et à la lutte contre la violence à l'école (loi de juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles, ainsi qu'à la protection des mineurs).
De la part de Julien, ne s’agissait-il pas d’une agression sexuelle?
De la part de Julien, ne s’agissait-il pas d’une agression sexuelle?
Ce juge ne condamne pas les exhibitionnistes
Sans doute appartient-il à un réseau Sarkozyste !...
Le samedi 12 janvier 2008, à Saint-Brieuc pour son premier déplacement des municipales de mars, Désirdavenir Royal a en effet déclaré : "On a un président désinvolte, un président qui improvise, un président exhibitionniste" dont l’attitude jure avec "la France authentique" où domine "une forme de pudeur".
Le samedi 12 janvier 2008, à Saint-Brieuc pour son premier déplacement des municipales de mars, Désirdavenir Royal a en effet déclaré : "On a un président désinvolte, un président qui improvise, un président exhibitionniste" dont l’attitude jure avec "la France authentique" où domine "une forme de pudeur".
on ne parle effectivement pas de la sorte a ce petit garcon car c'est une sugetion de castration a lors que l'enfant est peut etre sujet a cette problematique .merci cette fois ci au juge au moins pour ce jugement car l instututeur n'est pas du tout psycologue mais en plus il menace et encore plus pervers surement en rigolant ce qui peut aussi creer un autre probleme celui et d une certaine culpabilite et un autre encore celui de l'humiliation.merci a ce juge quoi qu'on en pense que cela soit politique ou pas on n'agit pas de la sorte
RépondreSupprimer