Un sondage CSA désavoue les extrémistes des universités
Un sondage qui contredit le matraquage médiatique
D’ailleurs, le saviez-vous ?
La moitié des Français (51%) veut maintenir les examens dans les conditions normales, en réaction au mouvement de contestation qui perturbe les universités depuis plus de trois mois, selon un sondage CSA pour Le Parisien publié lundi 4 mai.
Une petite majorité d’étudiants (52%) est en revanche pour une simplification des examens de fin d'année.
Seulement 4 % des étudiants estiment qu’il faut supprimer les examens et valider automatiquement le semestre pour tous les élèves.
Seuls 11% des sondés souhaite la suppression des examens et la validation automatique des semestres perturbés, que la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, ne peut décemment pas approuver.
Dans un entretien au Journal du Dimanche, V. Pécresse se doit d'être "garante de la qualité des diplômes". "Il est temps pour tout le monde de rattraper les cours", estime-t-elle.
"Il n'est pas question de valider automatiquement des semestres alors que les enseignements n'auraient pas été délivrés normalement", dit-elle. "Si on s'y met dès maintenant, on pourra passer les examens avant l'été", ajoute la ministre.
Le fonctionnement d'une vingtaine de facultés est affecté par la fronde universitaire, soit quelque 400.000 étudiants qui ne sont pas assurés de pouvoir passer leurs examens.
Le sondage a été réalisé par téléphone les 28 et 29 avril auprès d'un échantillon représentatif de 1.015 personnes.
Un sondage qui contredit le matraquage médiatique
D’ailleurs, le saviez-vous ?
Une petite majorité d’étudiants (52%) est en revanche pour une simplification des examens de fin d'année.
Dans un entretien au Journal du Dimanche, V. Pécresse se doit d'être "garante de la qualité des diplômes".
"Il n'est pas question de valider automatiquement des semestres alors que les enseignements n'auraient pas été délivrés normalement", dit-elle. "Si on s'y met dès maintenant, on pourra passer les examens avant l'été", ajoute la ministre.
Le fonctionnement d'une vingtaine de facultés est affecté par la fronde universitaire, soit quelque 400.000 étudiants qui ne sont pas assurés de pouvoir passer leurs examens.
Le sondage a été réalisé par téléphone les 28 et 29 avril auprès d'un échantillon représentatif de 1.015 personnes.
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