En compétition avec Emmanuelle Béart et Sophie Marceau, Catherine Deneuve a été distinguée pour le film "Cyprien" de David Charhon, Cali pour son rôle dans "Magique" de Philippe Muyl. Visiblement éprouvée, il ne lui restait plus qu'à en griller une et quelques autres.
Il a décroché son prix pour la reprise du rôle de Lino Ventura dans "L'Emmerdeur" de Francis Veber.
Francis Huster a mérité le Gérard du réalisateur ou de l’acteur qui parle de son film comme si c’était le dernier Fellini, alors que même toi tu fais mieux avec ton Nokia et trois copains bourrés, pour Un Homme et son chien.
L'humoriste Gad Elmaleh a été récompensé par le "Gérard de la feignasse qui recycle un de ses vieux sketches en film d'une heure et demie" pour son long-métrage "Coco".
Egalement au "palmarès", Agnès Jaoui a remporté le "Gérard du réalisateur qui fait toujours le même film, mais en un peu moins bien à chaque fois" pour "Parlez-moi de la pluie".
Une nouvelle fois, Arielle Dombasle (ci-dessous)a été distinguée, à l'unanimité du jury, par le "Gérard de l'actrice qui bénéficie le mieux des réseaux de son mari" pour "La possibilité d'une île" de Michel Houellebecq.
A noter pour la première fois, la présence d’un réalisateur, en l’occurrence David Charhon qui est venu chercher son parpaing en or.
Les Gérard, c’est quoi ?
Ces trophées humoristiques dévoilés la veille du Festival de Cannes récompensent le "pire du cinéma français", depuis 2006. Ils sont l'équivalent des Razzie Awards, parodie des Oscars créée en 1980 aux Etats-Unis.
Le jury réunit une vingtaine de journalistes de magazines très marqués à gauche, dont le malfaisant Marianne, le puant Monde des Livres, le très gauche caviar Nouvel Observateur et Technikart, dont le fondateur, Guillaume de Roquemaurel, 40 ans, est gérant de sociétés de presse.
Les Gérard, c’est quoi ?
Ces trophées humoristiques dévoilés la veille du Festival de Cannes récompensent le "pire du cinéma français", depuis 2006. Ils sont l'équivalent des Razzie Awards, parodie des Oscars créée en 1980 aux Etats-Unis.
Le jury réunit une vingtaine de journalistes de magazines très marqués à gauche, dont le malfaisant Marianne, le puant Monde des Livres, le très gauche caviar Nouvel Observateur et Technikart, dont le fondateur, Guillaume de Roquemaurel, 40 ans, est gérant de sociétés de presse.
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