La candidate d'origine syrienne a chanté un appel à la reconquête
L’affaire Mennel Ibtissem est un exemple de tromperie pieuse ou 'taqqiya' (taqiyya)
"Il est permis de mentir si le but à atteindre est louable" et Mennel a menti sur (presque) tout. Les Français, singulièrement les organes institutionnels, doivent apprendre à se méfier, non seulement des turbans et autres voiles, mais aussi des yeux bleux factices et des sourires enjôleurs: la taqiya se dissimule derrière le masque. Ne jamais faire confiance, surtout quand l’apparence est flatteuse.
Car, nous qui accueillons des réfugiés en tout genre et tolérons la présence de clandestins, nous restons des mécréants et, pour les musulmans intégristes, des ennemis.
La gracieuse Mennel est une ensorceleuse et tout sauf une pacifiste.
C'est une combattante de l’islam, une infiltrée islamiste. Il suffit de comprendre l’arabe et d'écouter, à la différence des jurés du concours télévisé qui gambadent et font les marioles.
Le choix par la Syrienne - de Besançon, insiste-t-elle ! - d'une chanson d'un chanteur juif et sioniste, Léonard Cohen, aurait pu intriguer et susciter des investigations. Elles auraient permis de découvrir que la sirène du prime time a modifié volontairement la chanson, adoptant les paroles d’un chanteur musulman.
Seuls ses anciens posts contre les victimes de Nice sur les réseaux sociaux ont fait polémique : lire PaSiDupes. Et les béats du multculturalisme et du droit d'asile se sont à nouveau laissés aller à leur inépuisable compassion.
Les idéologues les plus perchés se refuseront à condamner la supercherie, doublée d'une discrimination entre les Français
Sous le charme de la mélodie et des dents éclatantes de l'artiste,
les téléspectateurs européens ont vu leur confiance trahie.
Car, sur le plateau de The Voice et dans tous les foyers, ont retenti deux strophes, la première dans sa version originale anglaise et la seconde en langue arabe mais aux paroles originelles modifiées. Une tromperie que les connaisseurs auraient répérée en langue anglaise, mais dont seuls les Français de langue arabe ont pu capter le message subliminal.
Une discrimination aussi, car une partie de la chanson aux paroles trafiquées n'était ni destinée ni accessible aux pratiquants de la langue officielle du pays... Ceux-là étaient ostracisés dans leur propre territoire !
Une discrimination aussi, car une partie de la chanson aux paroles trafiquées n'était ni destinée ni accessible aux pratiquants de la langue officielle du pays... Ceux-là étaient ostracisés dans leur propre territoire !
Voici la traduction de la première strophe, en anglais, des paroles de Léonard Cohen. Avant d’entonner le refrain 'Hallelujah', Mennel évoque donc le roi David et Batsheva, mais la seconde strophe sera complètement différente devenant un message prosélytiste, comme nous devons apprendre à nous méfier dans un contexte de terrorisme islamiste.
Voici les paroles traduites due la première strophe écrite par Leonard Cohen :
Now I’ve heard there was a secret chord
J’ai entendu dire qu’il y avait un accord secret
That David played, and it pleased the Lord
Que David* jouait et qui plaisait au Seigneur
But you don’t really care for music, do you ?
Mais tu ne t’intéresses pas vraiment à la musique, n’est-ce pas?
It goes like this
Ça fait comme ça,
The fourth, the fifth
La quarte, la quinte
The minor fall, the major lift
L’accord mineur tombe et le majeur monte
The baffled king composing Hallelujah
Le roi perplexe composant hallelujah
Hallelujah…
Hallelujah..
Mennel enchaîne ensuite sur une deuxième strophe, en arabe où elle modifie les paroles de Léonard Cohen.
Elle substitue celles du Koweïtien Muhamad Al Hussayn qui a trahi cette chanson en donnant une version islamique de Hallelujah, un chant religieux intitulé "Ya illahi".
Mennel chante sans avertir le public l’histoire de quelqu’un qui a pêché et désobéi à Allah, puis décide de revenir vers lui.
Elle a remplacé 'Allelujah' pour 'Ya illahi' une sorte de retour vers l’Islam. Or, chacun sait aujourd’hui ce que représente ce 'retour', la guerre contre l’infidèle, par tous les moyens.
Voici les paroles traduite de l’arabe en français :
Dans la nuit des nuits, je ne sais pas ce qui m’est arrivé, c’est l’obscurité, je suis submergé, la terre rejoint le ciel, et mon cœur est sans lumière : Mon Dieu Mon Dieu Mon Dieu Mon Dieu Mon Dieu
J’ai pêché, et je suis prisonnier de ma douleur, restreint mon péché Seigneur, réduit ma peine : Oh, mon Dieu, pardonne je suis criminel, j’ai transgressé : mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, toi qui m’as créé.
Rahmtna et Rozktna, seront avec moi et je serai un chevalier et je marcherai sur ton chemin, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, tu m’as créé.
Mennel a par ailleurs , et de surcroît, chanté un clip de propagande, pro-palestinien "Souris Palestine".
Chez les Juifs, il y a aussi le principe de revenir vers Dieu; cela s’appelle la 'Techouva', mais celle-ci se fait à titre privé en son fore intérieur, sans l’imposer à l’autre. Malheureusement l’Islam ne voit pas ce retour vers Allah de la même façon : la solution adoptée est souvent la violence allant jusqu’aux attentats qui peuvent être imposés par les plus radicaux afin de soumettre le monde à Islam.
Le retour de l’Islam serait admissible s'il suivait des voies pacifiques respectant la liberté d’autrui ou du pays où on se trouve, mais 99,99% des attentats dans le monde d'aujourd’hui sont perpétrés aux cris de 'Allah Akbah' ('Allah est le plus grand'), un retour qui n’est pas partagé par beaucoup, à commencer par les musulmans modérés. Une faute, une erreur, un acte interdit, peuvent être pardonnés sous réserve d'engager une démarche de repentance et non pas des actes de guerre.
Le sera-t-il, en revanche, par les autorités françaises ?
on se fait bien avoir
RépondreSupprimerguy