Hollande (PS): attention au "piège" des sondages
Et de l’abstention : "Tout va se jouer au 1er tour"
Inquiet, le premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande a mis en garde mercredi contre "le piège" des sondages favorables à la gauche pour les municipales et il a appelé l'électorat à se mobiliser dès le 9 mars car "tout va se jouer au premier tour".
Ce qui est valable pour le PS l'est pour la droite.
Et de l’abstention : "Tout va se jouer au 1er tour"
Inquiet, le premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande a mis en garde mercredi contre "le piège" des sondages favorables à la gauche pour les municipales et il a appelé l'électorat à se mobiliser dès le 9 mars car "tout va se jouer au premier tour".
Ce qui est valable pour le PS l'est pour la droite.
"C'est mieux d'avoir des sondages qui vous annoncent des victoires plutôt que des défaites mais je pense qu'il y a une forme de piège", a déclaré M. Hollande sur France Inter.
La perversité des sondages peut nuire à la droite. A droite, comme à gauche, le raisonnement est le même et pose la question du pouvoir de nuisance des sondages."Le piège c'est que nos électeurs, entendant cette accumulation de victoires proclamées [c'est le mot] alors qu'ils ne se sont pas encore déplacés, se disent pourquoi y aller, c'est dimanche, on pourra peut-être attendre le dimanche 16 mars, alors que tout va se jouer au 1er tour", a-t-il averti. A Marseille ou Bordeaux, les électeurs doivent se mobiliser dès dimanche prochain, le 9 mars.
"J'ai maintenant cette conviction, depuis l'élection présidentielle de 2002 [quand Lionel Jospin avait été éliminé dès le 1er tour] qui n'a pas été démentie en 2007, que tout se décide au 1er tour", a expliqué le numéro un socialiste. "C'est la force, la dynamique qui sort du 1er tour qui permet d'engager les victoires", a-t-il insisté.
"Lorsqu'il y a cette occasion formidable dans une démocratie de fixer un bulletin de notes à l'occasion d'un bulletin de vote on l'utilise parce que sinon il est trop tard", a poursuivi M. Hollande soulignant toutefois que les municipales ne seront pas "un 3e tour de la présidentielle, tout simplement parce que Nicolas Sarkozy sera président jusqu'au terme de son mandat".
Il a fait valoir que "c'est un véritable pouvoir aujourd'hui que celui des territoires" car "la masse des investissements publics des communes, départements, régions c'est plus de deux tiers supérieur à la masse des investissements de l'Etat". Ainsi, à Marseille, républicain, démocrate de surcroît, et vertueux pour la galerie, le Conseil Régional socialiste a refusé sa participation à certains projets, ou ne l'a consentie aux citoyens de seconde zone de la cité Phocéenne qu'avec un lance-pierres...
La perversité des sondages peut nuire à la droite. A droite, comme à gauche, le raisonnement est le même et pose la question du pouvoir de nuisance des sondages."Le piège c'est que nos électeurs, entendant cette accumulation de victoires proclamées [c'est le mot] alors qu'ils ne se sont pas encore déplacés, se disent pourquoi y aller, c'est dimanche, on pourra peut-être attendre le dimanche 16 mars, alors que tout va se jouer au 1er tour", a-t-il averti. A Marseille ou Bordeaux, les électeurs doivent se mobiliser dès dimanche prochain, le 9 mars.
"J'ai maintenant cette conviction, depuis l'élection présidentielle de 2002 [quand Lionel Jospin avait été éliminé dès le 1er tour] qui n'a pas été démentie en 2007, que tout se décide au 1er tour", a expliqué le numéro un socialiste. "C'est la force, la dynamique qui sort du 1er tour qui permet d'engager les victoires", a-t-il insisté.
"Lorsqu'il y a cette occasion formidable dans une démocratie de fixer un bulletin de notes à l'occasion d'un bulletin de vote on l'utilise parce que sinon il est trop tard", a poursuivi M. Hollande soulignant toutefois que les municipales ne seront pas "un 3e tour de la présidentielle, tout simplement parce que Nicolas Sarkozy sera président jusqu'au terme de son mandat".
Il a fait valoir que "c'est un véritable pouvoir aujourd'hui que celui des territoires" car "la masse des investissements publics des communes, départements, régions c'est plus de deux tiers supérieur à la masse des investissements de l'Etat". Ainsi, à Marseille, républicain, démocrate de surcroît, et vertueux pour la galerie, le Conseil Régional socialiste a refusé sa participation à certains projets, ou ne l'a consentie aux citoyens de seconde zone de la cité Phocéenne qu'avec un lance-pierres...
Mais, bavard et raisonneur oisif, et peu cohérent, il a poursuivi en soulignant qu'il ne s'agissait pas d'entrer dans "un partage des rôles qui serait assez fatal pour la gauche où, nous on aurait la gestion du local, et puis la droite aurait la gestion des affaires nationales". Il aura envisagé toutes les hypothèses, et aura eu raison quelle que soit l'issue des scrutins !
Voilà la gauche qui se fait du souci ! Ne serait-elle plus une force tranquille ?
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