Le Point affirme que Leymergie n'est pas l'étrangleur de France 2
La presse et les journalistes prétendent nous former car il ne leur suffit pas d'essayer de nous informer objectivement. Résultat: avec l'affaire Leymergie, nous serions plongés en pleine déformation de la vérité. Nous nous savions manipulés; nous en avons une nouvelle preuve, administrée par la CGC.
C'est Emmanuel Beretta qui l'affirme sur le site de Le Point. Nous aurions été désinformés:
La presse et les journalistes prétendent nous former car il ne leur suffit pas d'essayer de nous informer objectivement. Résultat: avec l'affaire Leymergie, nous serions plongés en pleine déformation de la vérité. Nous nous savions manipulés; nous en avons une nouvelle preuve, administrée par la CGC.
C'est Emmanuel Beretta qui l'affirme sur le site de Le Point. Nous aurions été désinformés:
Affaire Leymergie : il n'y a pas eu d'étranglement
28/09/2007-12h34 - Emmanuel Berretta - © Le Point.fr
28/09/2007-12h34 - Emmanuel Berretta - © Le Point.fr
Le Point est en mesure de reconstituer les faits qui ont conduit à la mise à pied de William Leymergie. Il apparaît que le syndicat CGC a monté cette histoire en épingle. D’abord parce qu’il n’y a pas eu d’étranglement de la part de William Leymergie sur son chroniqueur, Jean-Philippe Viaud, contrairement aux allégations de ce syndicat. Le 19 septembre dernier, à la sortie de l’émission Télématin, William Leymergie demande à son chroniqueur de lui communiquer un document. Celui-ci refuse et envoie balader son patron. Le ton monte, les deux hommes s’emportent et s’invectivent mutuellement. William Leymergie menace de licencier son collaborateur et le pousse contre une armoire. "Un coup de chaud", disent les témoins de la scène. Mais jamais William Leymergie n’a porté ses mains autour du cou de son collaborateur. L’enquête de la direction de France 2 auprès des témoins démontre qu’il n’y a pas eu coups et blessures. Le malaise de Jean-Philippe Viaud n’intervient que vingt minutes après cette altercation. C’est alors que les pompiers sont appelés au secours. S’il y a bien un lien de cause à effet entre l’échange d’invectives et le malaise de Jean-Philippe Viaud, il ne s’agit pas d’un malaise consécutif à un coup porté, et encore moins à une tentative de strangulation. Néanmoins, la direction de France 2 a estimé que William Leymergie, en tant que responsable de Télématin, n’aurait jamais dû laisser cette altercation avec un subalterne prendre de telles proportions. Elle décide de lui infliger une mise à pied de quinze jours. Les relations entre Jean-Philippe Viaud et William Leymergie se sont normalisées. William Leymergie s’est excusé auprès de son collaborateur. Le producteur de Télématin reviendra à l’antenne, après 15 jours de mise à pied, à compter du 1er octobre.
Qu'ils s'étripent n'est pas vraiment notre problème. Mais que l'opinion soit prise en otage par des journalistes militants sans scrupules qui travestissent, manipulent, diffament mais restent intouchables, au nom de leur droit exorbitant de nous mentir au nom de la liberté d'expression, c'est intolérable au regard du respect et du devoir de vérité qui nous est dû, en contrepartie de la confiance que leur accorde la loi, attachée au privilège qui leur est accordé. C'est un coup bas portée à la presse honnête, que pour le coup, ils étranglent.
Manipulés par les syndicats, nous le sommes. A quel point, nous ne le saurons jamais.
La 'défiance citoyenne' s'applique aussi aux médias menteurs.
Que revizor soit ici remercié.
RépondreSupprimerLes syndicats de certains médias n'ayant rien à se
RépondreSupprimermettre sous la main ont grossi cette affaire "les
comiques ont beaucoup ri(pas moi)
william n'est pas digne d'un chef
RépondreSupprimerd'entreprise qui doit garder son sang froid quelques soient les circonstances?