Sarkozy, pour une France réconciliée.
Nicolas Sarkozy a tenu aujourd’hui dimanche à la Mutualité à Paris un discours d'ouverture et de réconciliation."Additionner les différences pour en faire un rassemblement au service de la France", a déclaré le ministre de l'Intérieur à plus de 3.000 personnes représentant ses comités de soutien. Il a insisteé : "Nul ne doit se sentir exclu de la politique de renouveau que je veux impulser".
Il a insisté : "Nul ne doit se sentir exclu de la politique de renouveau que je veux impulser". Le président de l'UMP a réaffirmé que si ses ses valeurs étaient celles de la droite républicaine, il entendait rassembler au-delà de sa famille politique. Nicolas Sarkozy a tenu aujourd’hui dimanche à la Mutualité à Paris un discours d'ouverture et de réconciliation."Additionner les différences pour en faire un rassemblement au service de la France", a déclaré le ministre de l'Intérieur à plus de 3.000 personnes représentant ses comités de soutien. Il a insisteé : "Nul ne doit se sentir exclu de la politique de renouveau que je veux impulser".
En guise de démonstration, des personnalités de cette ouverture étaient montées à la tribune avant lui, dont le député apparenté UDF Christian Blanc et l'ex-médecin-chef de la prison de la Santé, Véronique Vasseur. Mais le plus applaudi fut André Santini (photo) , venu confirmer son ralliement à Nicolas Sarkozy. "Nous sommes quelques-uns à nous interroger sur l'avenir d'un centre qui double la gauche par la gauche", a affirmé le député-maire UDF d'Issy-les-Moulineaux, en faisant allusion au président de l'UDF François Bayrou. "Il est important que les centristes se rallient à la candidature de Nicolas Sarkozy dès le premier tour. La France a trop souffert des divisions de la droite", a-t-il poursuivi. Répondant aux critiques répétées de François Bayrou et de Dame Royal, le candidat UMP a affirmé, au nom d'une "haute idée de la France" qu'il ne serait pas, s'il était élu, "le président d'une France contre une autre", d'une "faction" ou d'un "clan". "Je veux être le président de l'union de tous les Français, je veux être le président de la réconciliation (...) Je veux être le président qui réconcilie les Français avec leur Etat, avec leur école, avec leur université", a-t-il poursuivi. "C'est parce que je suis sûr de mes convictions, sûr de mes valeurs, sûr de mon projet, que je crois à la nécessité de l'ouverture aux autres", a-t-il dit. "Je ne suis pas candidat pour rassembler uniquement ceux qui ont toujours pensé de la même façon mais pour créer les conditions d'un immense rassemblement au service de la France parce que la France a besoin de l'énergie de tous ses enfants."
Voulant aborder des sujets rarement débattus lors d'une campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a évoqué dimanche une éventuelle légalisation de l'euthanasie. "La politique doit réapprendre à parler de la vie, à comprendre la vie, y compris sur (...) des questions difficiles où tant de mes amis me disent, 'sois prudent'", a-t-il souligné. "Sur ces questions de la vie et de la mort, j'ai souvent dit le respect que j'avais pour les grandes religions de France mais je veux simplement qu'on aborde ces questions en partant moins des principes et plus de la souffrance", a-t-il ajouté. "On ne peut pas rester les bras ballants devant la souffrance d'un de nos compatriotes qui appelle à ce que ça se termine, tout simplement parce qu'il n'en peut plus."
Voulant aborder des sujets rarement débattus lors d'une campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a évoqué dimanche une éventuelle légalisation de l'euthanasie. "La politique doit réapprendre à parler de la vie, à comprendre la vie, y compris sur (...) des questions difficiles où tant de mes amis me disent, 'sois prudent'", a-t-il souligné. "Sur ces questions de la vie et de la mort, j'ai souvent dit le respect que j'avais pour les grandes religions de France mais je veux simplement qu'on aborde ces questions en partant moins des principes et plus de la souffrance", a-t-il ajouté. "On ne peut pas rester les bras ballants devant la souffrance d'un de nos compatriotes qui appelle à ce que ça se termine, tout simplement parce qu'il n'en peut plus."
Santini, à raison la droite c'est la droite, mais le centre c'est le centre mon cher André. Bon vent
RépondreSupprimer"Si nous pensons tous la meme chose c'est aue nous ne pensons plus rien" Bayrou@Toulouse2002