Yoyo s’oppose à Sarko sans se rallier à Ségo.
Jospin reste foncièrement trotskiste ! L’ancien premier ministre socialiste battu en 2002 conserve une volonté certaine de nuisance sans parvenir à 
construire quoi que ce soit. La gauche anti-libérale et radicale ne réussit pas à s’unir, mais se retrouve pour casser. Ainsi, Jospin soutiendra Miss Boulettes, du bout des lèvres et par intermittence [un temps partiel de plus !] , mais sans se rallier, surtout: c’est sa façon d’être ‘libre’. En revanche, lorsqu’il s’agira de casser du Sarko, on pourra compter sur lui ! C’est sa façon d’être ‘positif’…
Ecoutez Lionel Jospin déclarer aujourd’hui: "Parce que l'enjeu est important, j’interviendrais de temps en temps" en faveur de la campagne présidentielle de Marie-sEGOlène
Royal "de façon positive" et "librement".
Le chef socialiste déchu entend jouer le rôle du vieux sage et se prend encore « de temps en temps » pour l’oracle socialiste intermittent, un sémaphore falot, inconscient d’avoir perdu tout crédit depuis la victoire socialiste annoncée en 2002 qui a viré à la déshonorante déroute que l’on sait.
« De façon positive » ? C’est à voir ! Sa cuisante défaite lui laisse en effet une douleur sourde dans le bas des reins qui se réveille à intervalles réguliers. Il éprouve alors l’impérieux besoin de nuire. C’est donc Sarkozy qui servira d’exutoire à toutes ses souffrances personnelles, ses blessures mal fermées et suintantes.
Yoyo croit encore que la gauche a le monopole du social et, pourquoi pas, des ouvriers ! Les icônes laïques Jaurès et Blum, c’est pour Yoyo… Et puisqu’il affirme que ses interventions se feront "de façon positive", il s’indigne aussitôt que Sarkozy s’adresse à tous les Français et il juge même les références de Nicolas Sarkozy aux travailleurs, considérant que son "numéro dépasse les limites de la décence et du sérieux". Il n’a pas aimé ceci en particulier: "Je l'ai entendu
dire que la vraie gauche, la gauche de Blum (...) aimait le travail, la gauche d'aujourd'hui de Royal parle de statut, fait les 35 heures parce qu'elle n'aime pas le travail". Mais lorsque le trotskiste du XIX° siècle lance : "Le statut représente la sécurité et la stabilité: les ouvriers, les employés, les enseignants, les cheminots n'ont pas de parachute doré [démagogique, non ? et malheureux dans le cas de son ex-sous-ministre Pierret recyclé chez Accord...], leur parachute, leur sécurité c'est le statut", l’archaïque socialiste sur le retour, pour qui rien ne doit changer dans un monde qui change sans lui, n’arrange peut-être pas les affaires de Dame Royal, la révolutionnaire nouvelle, qui veut « tout casser » !
Enfin M. Jospin a cru noter dans les charges de Sarkozy contre les 35 heures, que le candidat de l'UMP "procède à trois mystifications". "Il fait comme si c'était le salarié qui décidait de son temps de travail et il parle travail mais il ne parle jamais emploi". Or, dans son projet, Sarkozy propose précisément que le travailleur négocie désormais son temps de travail ! Yoyo fait un blocage ou n’écoute –ou n’entend- pas bien, car Sarkozy a développé les grands axes du changement en matière d’emploi. "La troisième mystification: il ne parle jamais des salaires, du pouvoir d'achat, de hausse de salaires". C’est exactement le contraire, puisque Sarkozy a dit et redit qu’il souhaite que les travailleurs puissent gagner plus en travaillant plus : Yoyo a dû s’endormir dans son canapé…
Et Lionel Jospin de conclure qu'"il nous fait autour du travail le coup de la fracture sociale que nous avait fait Chirac il y a 12, 13 ans maintenant". Nous y voilà : Chirac l’obsède et hante sa retraite. Il déclenche chez lui des spasmes douloureux qui lui brouillent l’esprit. Il a gardé, là, une barre, des aigreurs persistantes comme au lendemain d’une fête qui a mal tourné et donc un jugement faussé !
Jospin reste foncièrement trotskiste ! L’ancien premier ministre socialiste battu en 2002 conserve une volonté certaine de nuisance sans parvenir à 
construire quoi que ce soit. La gauche anti-libérale et radicale ne réussit pas à s’unir, mais se retrouve pour casser. Ainsi, Jospin soutiendra Miss Boulettes, du bout des lèvres et par intermittence [un temps partiel de plus !] , mais sans se rallier, surtout: c’est sa façon d’être ‘libre’. En revanche, lorsqu’il s’agira de casser du Sarko, on pourra compter sur lui ! C’est sa façon d’être ‘positif’…
Ecoutez Lionel Jospin déclarer aujourd’hui: "Parce que l'enjeu est important, j’interviendrais de temps en temps" en faveur de la campagne présidentielle de Marie-sEGOlène
Royal "de façon positive" et "librement".Le chef socialiste déchu entend jouer le rôle du vieux sage et se prend encore « de temps en temps » pour l’oracle socialiste intermittent, un sémaphore falot, inconscient d’avoir perdu tout crédit depuis la victoire socialiste annoncée en 2002 qui a viré à la déshonorante déroute que l’on sait.
« De façon positive » ? C’est à voir ! Sa cuisante défaite lui laisse en effet une douleur sourde dans le bas des reins qui se réveille à intervalles réguliers. Il éprouve alors l’impérieux besoin de nuire. C’est donc Sarkozy qui servira d’exutoire à toutes ses souffrances personnelles, ses blessures mal fermées et suintantes.
Yoyo croit encore que la gauche a le monopole du social et, pourquoi pas, des ouvriers ! Les icônes laïques Jaurès et Blum, c’est pour Yoyo… Et puisqu’il affirme que ses interventions se feront "de façon positive", il s’indigne aussitôt que Sarkozy s’adresse à tous les Français et il juge même les références de Nicolas Sarkozy aux travailleurs, considérant que son "numéro dépasse les limites de la décence et du sérieux". Il n’a pas aimé ceci en particulier: "Je l'ai entendu
dire que la vraie gauche, la gauche de Blum (...) aimait le travail, la gauche d'aujourd'hui de Royal parle de statut, fait les 35 heures parce qu'elle n'aime pas le travail". Mais lorsque le trotskiste du XIX° siècle lance : "Le statut représente la sécurité et la stabilité: les ouvriers, les employés, les enseignants, les cheminots n'ont pas de parachute doré [démagogique, non ? et malheureux dans le cas de son ex-sous-ministre Pierret recyclé chez Accord...], leur parachute, leur sécurité c'est le statut", l’archaïque socialiste sur le retour, pour qui rien ne doit changer dans un monde qui change sans lui, n’arrange peut-être pas les affaires de Dame Royal, la révolutionnaire nouvelle, qui veut « tout casser » !
Enfin M. Jospin a cru noter dans les charges de Sarkozy contre les 35 heures, que le candidat de l'UMP "procède à trois mystifications". "Il fait comme si c'était le salarié qui décidait de son temps de travail et il parle travail mais il ne parle jamais emploi". Or, dans son projet, Sarkozy propose précisément que le travailleur négocie désormais son temps de travail ! Yoyo fait un blocage ou n’écoute –ou n’entend- pas bien, car Sarkozy a développé les grands axes du changement en matière d’emploi. "La troisième mystification: il ne parle jamais des salaires, du pouvoir d'achat, de hausse de salaires". C’est exactement le contraire, puisque Sarkozy a dit et redit qu’il souhaite que les travailleurs puissent gagner plus en travaillant plus : Yoyo a dû s’endormir dans son canapé… 
Et Lionel Jospin de conclure qu'"il nous fait autour du travail le coup de la fracture sociale que nous avait fait Chirac il y a 12, 13 ans maintenant". Nous y voilà : Chirac l’obsède et hante sa retraite. Il déclenche chez lui des spasmes douloureux qui lui brouillent l’esprit. Il a gardé, là, une barre, des aigreurs persistantes comme au lendemain d’une fête qui a mal tourné et donc un jugement faussé !
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