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lundi 30 octobre 2017

Enquête sur l'attentat manqué du Thalys : quatre arrestations, en Belgique

La police belge a interpellé quatre suspects d'attentat contre le Thalys Amsterdam-Paris

La police belge a été efficace, annonce le parquet fédéral de Belgique

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Le parquet fédéral de Belgique a annoncé lundi l'interpellation  de quatre individus dans le cadre de l'enquête sur l'attentat manqué du Thalys Amsterdam-Paris en août 2015
Résultat de recherche d'images pour "thalys amsterdam attaque TERRORISTE"Les policiers ont mené six perquisitions à Bruxelles et dans d'autres lieux de Belgique, mais n'ont saisi ni armes, ni explosifs.

Monté en gare de Bruxelles avec un fusil mitrailleur, le 21 août 2015, un ressortissant marocain, Ayoub el Khazzani, ouvrit le feu dans le TGV à destination de Paris.
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Après plusieurs tentatives infructueuses, le terroriste fut désarmé par deux touristes Américains, Anthony Sadler et Alek Skarlatos, et un Britannique Chris Norman , mettant fin à l‘attaque qui a fait trois blessés.

Le tueur islamiste dit avoir agi sous l'ordre direct d'Abdelhamid Abaaoud, alias Abou Omar.

Dans le bureau du juge d'instruction, le Marocain de 27 ans a précisé son parcours de la Syrie à l'Europe en passant par la Turquie.

Résultat de recherche d'images pour "Ayoub el Khazzani"
Durant leur périple, ils ont suivi les indications livrées par Bilal C. (alias Hamza, un Algérien qui sera arrêté en Allemagne en juillet 2016), chargé de partir en reconnaissance dans les Balkans pour faciliter l'infiltration de djihadistes de retour de Syrie.
Résultat de recherche d'images pour "Ayoub el Khazzani"L’avocate d’Ayoub El Khazzani, a demandé aux juges d’instruction d’organiser une reconstitution. Maître Sarah Mauger-Poliak, qui conteste la version commune des faits présentée par les militaires, souhaite ainsi déterminer le rôle exact de son client et les conditions dans lesquelles il a été maîtrisé par les jeunes militaires américains et les voyageurs présents dans le wagon. "Etait-il là pour commettre un massacre, ce qu’il réfute, ciblait-il des militaires, les armes se sont-elles [toutes] enrayées avant qu’il ne soit maîtrisé ?" Ce sont les questions qu'elle souhaite, comme les enquêteurs, élucider. Elle a également déploré les conditions de détention du djihadiste. "Il fait l’objet de fouilles intégrales cinq à dix fois par jour, alors même qu’il n’a pas quitté sa cellule, et est réveillé toutes les trois heures depuis deux ans par le personnel pénitentiaire," raconte-t-elle.

Il a reconnu 
ses liens avec le coordinateur de trois commandos distincts des attentats du 13 novembre 2015, tué dans l'assaut du Raid à Saint-Denis, après avoir fait 130 morts dans les rues, en terrasse ou en concert à Paris et à Saint-Denis (93), aux abords du Stade de France, où se jouait un match amical de football France-Allemagne, auquel assistait le président François Hollande.

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