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mercredi 4 octobre 2017

Brexit : les bons comptes font les bons amis, selon Macron...

"We want our money back", lance Le Maire aux Britanniques

Le Royaume-Uni doit trouver un accord financier avec l’Europe
 
C'est un préalable aux négociations sur les autres aspects du Brexit car "nous voulons (récupérer) notre argent", a déclaré mardi le ministre français de l’Economie, Bruno Le Maire. "Vous avez lancé un certain nombre de politiques, vous avez promis de payer, maintenant il faut payer", a insisté B. Le Maire sur CNews. 

Reprenant à son compte la célèbre formule de l’ancienne première ministre britannique Margaret Thatcher, qui "ne cessait de répéter 'I want my money back' ", 
Bruno Le Maire, le 3 octobre 2017 à l'Assemblée nationalele ministre français (ci-contre à gauche) a affirmé que "nous, Européens, disons aux Britanniques: 'We want our money back'. Nous voulons récupérer notre argent". "C’est comme si vous alliez au restaurant: vous commandez le plat, vous consommez, puis vous partez au milieu du plat en disant: 'Finalement je ne paie pas la note'. Ce n’est pas possible", a-t-il expliqué.

Le patron de Bercy a apporté son soutien au négociateur en chef de l’Union européenne

Résultat de recherche d'images pour "Le Maire : We want our money back"le Français Michel Barnier, ci-contre, dont il appuie "totalement la démarche (…) qui consiste à dire (que) tant qu’on n’a pas réglé ce problème (…) on ne peut pas avancer sur les autres sujets".
"Trouvons d’abord un accord, peut-être pas à l’euro près, sur ce règlement financier et ensuite on pourra ouvrir les prochaines étapes", a insisté Le Maire. La facture du divorce – le reste à charge pour les projets sur lesquelles Londres s’est engagé – fait débat.


A Bruxelles, on estime la facture à au moins 60 milliards d’euros 
tandis que la presse britannique a évoqué un montant de 45 milliards d’euros que Londres serait prêt à payer, chiffre démenti par le gouvernement britannique.

Le ministre de l’Economie a par ailleurs estimé que
les banques françaises "ne jouent pas assez” le jeu, malgré leur promesse de relocaliser "environ 1.000 emplois" de Londres vers Paris, à l’occasion du Brexit. "Je les invite avec fermeté à rapatrier le maximum d’emplois en France", a-t-il insisté.


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