propose d'augmenter l'impôt des plus riches d'entre nous,
soit 15% des contribuables
Les "très riches" français, tête de pont de la rigueur fiscale
Michel Pébereau, président du conseil d'administration de BNP Paribas et polytechnicien se dit favorable à une hausse des impôts des Français les plus fortunés , dans une déclaration au site d'information Rue89. C'est après avoir annoncé le 11 mai 2011 à 69 ans qu'il quittera la présidence de BNP Paribas le 1er décembre prochain.
Souvent présenté comme un conseiller officieux de Nicolas Sarkozy mais objectivement chargé en 2005 par Thierry Breton, ministre des Finances d'un gouvernement Raffarin du Président Chirac, de créer une commission chargée d'étudier la dette de la France, il rendit son rapport le 14 décembre 2005.
Le dirigeant de la première banque française est le deuxième patron d'une entreprise du CAC 40 à apporter son soutien à cette mesure, que le gouvernement devrait inclure dans son projet de budget pour 2012 pour assurer la réduction des déficits publics malgré le ralentissement de la croissance.
Mardi, après Pierre Bergé, le mécène de Désirdavenir Royal, Maurice Lévy, le président du directoire de Publicis , qui préside aussi l'Association française des entreprises privées, s'était prononcé pour "une contribution exceptionnelle des plus riches, des plus favorisés, des nantis" dans une tribune publiée par Le Monde.
La solidarité nationale vient d'en haut
Pour Michel Pébereau, "le pays traverse une période difficile. Il est impératif d'accélérer le redressement des finances publiques par un programme d'ensemble visant à maîtriser la dépense et les déficits et comportant un accroissement de l'impôt pour une période déterminée."
"Dans ce cadre, il est équitable que la fiscalité demande aux plus fortunés un effort plus important qu'aux autres", ajoute-t-il dans sa déclaration à Rue89.
Ces déclarations interviennent après l'appel lancé lundi aux Etats-Unis par le multi-milliardaire américain Warren Buffett pour une augmentation des impôts des "méga-riches".
La dette clive les plus riches
Les dix plus grandes fortunes de France
1er- Bernard Arnault, LVMH (22,7 milliards d'euros)
2e- Gérard Mulliez, groupe Auchan (19 milliards d'euros)
3e- Liliane Bettencourt, L'Oréal (17,4 milliards d'euros)
4e- Bertrand Puech, groupe Hermès (8,6 milliards d'euros)
5e- famille Louis-Dreyfus, groupe commercial (8,5 milliards d'euros)
6e- Serge Dassault, groupe industriel (6,8 milliards d'euros)
7e- François Pinault, groupe de luxe PPR (6,2 milliards d'euros)
8e- Alain Wertheimer, groupe Hermès (4,2 milliards d'euros)
9e- Jacques Servier, groupe pharmaceutique (3,8 milliards d'euros)
10e- Jean-Claude Decaux, groupe de mobilier urbain (3,3 milliards d'euros).
Parmi les 100 premières fortunes, certains nantis ne sont pas solidaires:
47e - Jérôme Seydoux et sa famille : 1 100 M€ (Pathé Cinéma), actionnaire du Nouvel Observateur où Claude Perdriel assura la conception et l’animation de l’équipe de campagne de F. Mitterrand, en avril 1974.
58e - Elisabeth Badinter et sa famille (cf. Maurice Lévy): 750 M€ (Publicis Publicité): avocate et épouse de Maître Robert Badinter, ancien Garde des Sceaux de François Mitterrand
86e - Jean-Paul Baudecroux: 548 M€ (NRJ groupe Audiovisuel) s'est lancé dans l'aventure de la radio libre à Paris après l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République en 1981, mais au moins a-t-il créé en 1999 la Fondation NRJ - Institut de France pour la recherche médicale, principalement axée sur les neurosciences.
Les socialistes nantis qui ne sont pas volontaires
49 - Philippe Louis-Dreyfus et sa famille: 1 000 M€ (Louis-Dreyfus)
Philippe est un cousin de Pierre Louis-Dreyfus (mort en 2009, 77e fortune de Suisse en décembre 2008), patron d'Adidas et de l'OM, dont la fortune est fondée sur les plus-values réalisées lors des ventes des entreprises qu'il a détenues.
211 - André Rousselet et sa famille, 200 M€ (groupe G7 et Canal+)
André Rousselet s'est chargé de rassembler les financements nécessaires à l'organisation de chacune des campagnes présidentielles de François Mitterrand. En 1981, il reste une année à l'Élysée comme directeur de cabinet avant de prendre la direction de Havas, entreprise nationalisée depuis la Libération (1982-1986).
241e - Claude Perdriel et sa famille -170 M€ (groupe Nouvel Observateur-SFA)
255 - Marin Karmitz, 150 M€ (MK2 Cinéma, vidéo)
304 - Nicolas Seydoux - 124 M€ (Gaumont),
357 - Olivier Mitterrand et sa famille : 102 M€ (Les Nouveaux Constructeurs, Immobilier)
Seraient-ils sensibles au manque à gagner pour le PS ?
Et c'est ignorer la nébuleuse socialiste qui pourrait souffrir d'un détournement de financement: ainsi, le club Léo Lagrange pourrait être empêché de soutenir certaines mairies et candidats socialistes.
Souvent présenté comme un conseiller officieux de Nicolas Sarkozy mais objectivement chargé en 2005 par Thierry Breton, ministre des Finances d'un gouvernement Raffarin du Président Chirac, de créer une commission chargée d'étudier la dette de la France, il rendit son rapport le 14 décembre 2005.
Le dirigeant de la première banque française est le deuxième patron d'une entreprise du CAC 40 à apporter son soutien à cette mesure, que le gouvernement devrait inclure dans son projet de budget pour 2012 pour assurer la réduction des déficits publics malgré le ralentissement de la croissance.
Mardi, après Pierre Bergé, le mécène de Désirdavenir Royal, Maurice Lévy, le président du directoire de Publicis , qui préside aussi l'Association française des entreprises privées, s'était prononcé pour "une contribution exceptionnelle des plus riches, des plus favorisés, des nantis" dans une tribune publiée par Le Monde.
La solidarité nationale vient d'en haut
Pour Michel Pébereau, "le pays traverse une période difficile. Il est impératif d'accélérer le redressement des finances publiques par un programme d'ensemble visant à maîtriser la dépense et les déficits et comportant un accroissement de l'impôt pour une période déterminée."
"Dans ce cadre, il est équitable que la fiscalité demande aux plus fortunés un effort plus important qu'aux autres", ajoute-t-il dans sa déclaration à Rue89.
Ces déclarations interviennent après l'appel lancé lundi aux Etats-Unis par le multi-milliardaire américain Warren Buffett pour une augmentation des impôts des "méga-riches".
La dette clive les plus riches
Les dix plus grandes fortunes de France
1er- Bernard Arnault, LVMH (22,7 milliards d'euros)
2e- Gérard Mulliez, groupe Auchan (19 milliards d'euros)
3e- Liliane Bettencourt, L'Oréal (17,4 milliards d'euros)
4e- Bertrand Puech, groupe Hermès (8,6 milliards d'euros)
5e- famille Louis-Dreyfus, groupe commercial (8,5 milliards d'euros)
6e- Serge Dassault, groupe industriel (6,8 milliards d'euros)
7e- François Pinault, groupe de luxe PPR (6,2 milliards d'euros)
8e- Alain Wertheimer, groupe Hermès (4,2 milliards d'euros)
9e- Jacques Servier, groupe pharmaceutique (3,8 milliards d'euros)
10e- Jean-Claude Decaux, groupe de mobilier urbain (3,3 milliards d'euros).
Parmi les 100 premières fortunes, certains nantis ne sont pas solidaires:
47e - Jérôme Seydoux et sa famille : 1 100 M€ (Pathé Cinéma), actionnaire du Nouvel Observateur où Claude Perdriel assura la conception et l’animation de l’équipe de campagne de F. Mitterrand, en avril 1974.
58e - Elisabeth Badinter et sa famille (cf. Maurice Lévy): 750 M€ (Publicis Publicité): avocate et épouse de Maître Robert Badinter, ancien Garde des Sceaux de François Mitterrand
86e - Jean-Paul Baudecroux: 548 M€ (NRJ groupe Audiovisuel) s'est lancé dans l'aventure de la radio libre à Paris après l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République en 1981, mais au moins a-t-il créé en 1999 la Fondation NRJ - Institut de France pour la recherche médicale, principalement axée sur les neurosciences.
Les socialistes nantis qui ne sont pas volontaires
49 - Philippe Louis-Dreyfus et sa famille: 1 000 M€ (Louis-Dreyfus)
Philippe est un cousin de Pierre Louis-Dreyfus (mort en 2009, 77e fortune de Suisse en décembre 2008), patron d'Adidas et de l'OM, dont la fortune est fondée sur les plus-values réalisées lors des ventes des entreprises qu'il a détenues.
211 - André Rousselet et sa famille, 200 M€ (groupe G7 et Canal+)
André Rousselet s'est chargé de rassembler les financements nécessaires à l'organisation de chacune des campagnes présidentielles de François Mitterrand. En 1981, il reste une année à l'Élysée comme directeur de cabinet avant de prendre la direction de Havas, entreprise nationalisée depuis la Libération (1982-1986).
241e - Claude Perdriel et sa famille -170 M€ (groupe Nouvel Observateur-SFA)
255 - Marin Karmitz, 150 M€ (MK2 Cinéma, vidéo)
304 - Nicolas Seydoux - 124 M€ (Gaumont),
357 - Olivier Mitterrand et sa famille : 102 M€ (Les Nouveaux Constructeurs, Immobilier)
Seraient-ils sensibles au manque à gagner pour le PS ?
Et c'est ignorer la nébuleuse socialiste qui pourrait souffrir d'un détournement de financement: ainsi, le club Léo Lagrange pourrait être empêché de soutenir certaines mairies et candidats socialistes.
Lien mag2lyon
Devoir de mémoire: affaire de la MNEF, mutuelle étudiante pompe à fric du PS: Jean-Christophe Cambadelis (ancien trotskiste lambertiste de l'Organisation communiste révolutionnaire, Paris, numéro 2 du parti socialiste), Julien Dray (ancien trotskiste de la Ligue communiste révolutionnaire, fondateur de SOS-Racisme, Essonne), le sulfureux Jean-Marie Le Guen (Paris), se sont faits prendre la mai dans la caisse. En 1999, Me Claude Duval aurait avoué devant des juges d'instruction avoir transféré des fonds à l'étranger pour M. Spithakis et pour M. Julien Dray ainsi que pour M. Harlem Desir(SOS Racisme), député socialiste européen et porte-parole du PS de la Ch'tite Aubry.
Resterait la FIDL, organisationsyndicale étudiante et pompe à fric du PS ... Lien PaSiDupes
La duplicité des petites grandes fortunes médiatiques
Maurice Lévy (Pubicis, cf. Elisabeth Badinter) qui se fait buzzer arrive au 238e rang : 176 M€
Mais Maurice Levy a monnayé son départ, après un report de 5 ans de la limite de son mandat.
Maurice Lévy touchera une deuxième fois la totalité des bonus qui lui ont été versés entre 2003 et 2011, en plus d'une indemnité de non concurrence. Ce bon riche touchera donc 20 millions d' euros, 6 fois son salaire de 2010. "Faites ce que je dis mais pas ce que je fais" doit être le slogan préféré de ce pubard de Maurice Levy.
311 - Pierre Bergé : 120 M€ (services, empire de presse: le groupe La Vie-Le Monde (Le Monde, Courrier International, Télérama...), les magazines Globe et Têtu, ainsi que la chaîne Pink TV...)
Ce mitterrandolâtre, chargé du financement des arts et lettres au début du second septennat de Mitterrand, a soutenu les campagnes de Mitterrand en 1988, de Vincent Peillon en 2009 et de Marie-sEGOlène Royal en 2007 et 2012. Mais il a aussi choisi de laisser partir, hors de nos frontières, des oeuvres d'artistes français majeurs, constitutives du patrimoine artistique français. Lui qui prétend que cette vente "n’est pas une question d’argent" et a financé les campagnes présidentielles des socialistes Mitterrand et Royal, démontre là une bien curieuse conception de l’art et du socialisme.
Devoir de mémoire: affaire de la MNEF, mutuelle étudiante pompe à fric du PS: Jean-Christophe Cambadelis (ancien trotskiste lambertiste de l'Organisation communiste révolutionnaire, Paris, numéro 2 du parti socialiste), Julien Dray (ancien trotskiste de la Ligue communiste révolutionnaire, fondateur de SOS-Racisme, Essonne), le sulfureux Jean-Marie Le Guen (Paris), se sont faits prendre la mai dans la caisse. En 1999, Me Claude Duval aurait avoué devant des juges d'instruction avoir transféré des fonds à l'étranger pour M. Spithakis et pour M. Julien Dray ainsi que pour M. Harlem Desir(SOS Racisme), député socialiste européen et porte-parole du PS de la Ch'tite Aubry.
Resterait la FIDL, organisation
La duplicité des petites grandes fortunes médiatiques
Maurice Lévy (Pubicis, cf. Elisabeth Badinter) qui se fait buzzer arrive au 238e rang : 176 M€
Mais Maurice Levy a monnayé son départ, après un report de 5 ans de la limite de son mandat.
Maurice Lévy touchera une deuxième fois la totalité des bonus qui lui ont été versés entre 2003 et 2011, en plus d'une indemnité de non concurrence. Ce bon riche touchera donc 20 millions d' euros, 6 fois son salaire de 2010. "Faites ce que je dis mais pas ce que je fais" doit être le slogan préféré de ce pubard de Maurice Levy.
311 - Pierre Bergé : 120 M€ (services, empire de presse: le groupe La Vie-Le Monde (Le Monde, Courrier International, Télérama...), les magazines Globe et Têtu, ainsi que la chaîne Pink TV...)
Ce mitterrandolâtre, chargé du financement des arts et lettres au début du second septennat de Mitterrand, a soutenu les campagnes de Mitterrand en 1988, de Vincent Peillon en 2009 et de Marie-sEGOlène Royal en 2007 et 2012. Mais il a aussi choisi de laisser partir, hors de nos frontières, des oeuvres d'artistes français majeurs, constitutives du patrimoine artistique français. Lui qui prétend que cette vente "n’est pas une question d’argent" et a financé les campagnes présidentielles des socialistes Mitterrand et Royal, démontre là une bien curieuse conception de l’art et du socialisme.
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