Emploi des seniors : les régions françaises à la traîne de l'Europe
Majoritairement dirigées par des socialistes, les régions ne remplissent pas leurs obligations
Les laboratoires de gouvernance socialiste sont encore loin des attentes du processus de Lisbonne qui visait pour 2010 un taux d'emploi des 55-64 ans de 50 %. Nos socialistes vertueux favorisent les jeunes , émeutiers potentiels, et négligent les seniors, quantités négligeables tant qu'ils ne pilleront pas les magasins et ne brûleront pas des pneus.
La gabegie des irresponsables socialistes en région n'est donc pas le seul grief que les Français adressent à la gauche: lien Richard Mallié
Poitou-Charentes est
Royal-(e)ment
dans les choux.
Seule l'Ile-de-France
sort du lot.
Plus de dix ans ( 2000) après que les pays européens se sont engagés à limiter les conséquences du vieillissement de la population active dans le cadre de la stratégie de Lisbonne, la situation de l'emploi des seniors ne s'est pas améliorée aussi bien en France qu'ailleurs en Europe. Les membres de l'U.E. ont fixé pour 2010 l'objectif à atteindre : un taux d'emploi de 50 % chez les seniors (55-64 ans).
La France qui frôle les 40 %, d'après la note de conjoncture de juillet du centre d'observation de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (Crocis), est donc loin d'avoir tenu sa promesse. Malgré sa progression de 10 points en une décennie, la France se place au vingtième rang en Europe, laquelle gagne 8 points et avoisine les 46 %.
En tête des 22 régions métropolitaines, l'Ile-de-France n'a toujours pas un actif sur deux chez ses seniors. Mais proche de l'objectif (46,7 %), elle fait figure de bon élève. Elle devance de 6 points la deuxième région, Rhône-Alpes, et creuse l'écart avec les derniers du classement, le Nord-Pas-de-Calais, dirigé par la Ch'tite Brochen-Aubry (32 %) et le Poitou-Charentes vanté par Sa Cynique Majesté Royal (30 %).
Cette avance en trompe-l'oeil de la région parisienne s'explique essentiellement par la corrélation entre le taux d'emploi des seniors et le niveau d'éducation, selon l'auteur de la note. Or, si ce niveau est particulièrement élevé dans la région capitale, la réussite francilienne doit toutefois être relativisée. De nombreux seniors partent en effet en province une fois parvenus à l'âge de la retraite, ce qui augmente artificiellement leur taux d'emploi en Ile-de-France. A l'inverse, les régions qui attirent les jeunes retraités voient leur taux s'abaisser. Ainsi, les régions Languedoc-Roussillon ou la Bretagne, au niveau d'éducation élevé, selon Eurostat, sont classées seulement 14 e et 19 e.
En tête des 22 régions métropolitaines, l'Ile-de-France n'a toujours pas un actif sur deux chez ses seniors. Mais proche de l'objectif (46,7 %), elle fait figure de bon élève. Elle devance de 6 points la deuxième région, Rhône-Alpes, et creuse l'écart avec les derniers du classement, le Nord-Pas-de-Calais, dirigé par la Ch'tite Brochen-Aubry (32 %) et le Poitou-Charentes vanté par Sa Cynique Majesté Royal (30 %).
Cette avance en trompe-l'oeil de la région parisienne s'explique essentiellement par la corrélation entre le taux d'emploi des seniors et le niveau d'éducation, selon l'auteur de la note. Or, si ce niveau est particulièrement élevé dans la région capitale, la réussite francilienne doit toutefois être relativisée. De nombreux seniors partent en effet en province une fois parvenus à l'âge de la retraite, ce qui augmente artificiellement leur taux d'emploi en Ile-de-France. A l'inverse, les régions qui attirent les jeunes retraités voient leur taux s'abaisser. Ainsi, les régions Languedoc-Roussillon ou la Bretagne, au niveau d'éducation élevé, selon Eurostat, sont classées seulement 14 e et 19 e.
La région parisienne s'est singularisée rapidement du reste de la France en atteignant à mi-parcours, en 2004, un taux élevé (47,7 %). Proche de l'objectif en 2009, elle réagira relativement mal à la crise l'année suivante. Mais la première région française a su profiter de l'action gouvernementale et mieux résister que ses homologues européennes telles que le Grand Londres travailliste ou les régions socialistes espagnoles de Barcelone et Valence qui ont vu leur niveau d'emplois des seniors se contracter fortement ces deux dernières années.
Les Länder, premiers de la classe
En Europe, l'Ile-de-France reste cependant à la traîne. C'est du côté de l'Allemagne que l'on trouve les bons élèves. Les Länder allemands ont tous réussi à respecter l'objectif fixé en partant d'une situation similaire à celle des régions françaises en 2000. La performance a été particulièrement remarquable dans la région de Cologne, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, qui a vu son taux passer de 35 % à plus de 55 % en l'espace d'une décennie. Ou encore la région de Stuttgart (Bade-Wurtemberg) et de Munich (Bavière), qui ont atteint 64 % et 59 % respectivement.
Ce décalage pourraient s'expliquer par des différences de structures du marché du travail mais aussi par le dynamisme des PME-PMI allemandes. Les stratégies de promotion de l'emploi vers les seniors avec le relèvement de l'âge à la retraite ont en effet été semblables dans les deux pays. Quant aux campagnes d'information et de sensibilisation pour valoriser le travail des plus anciens, elle n'ont pas eu tellement d'effet dans aucun des deux pays.
Les Länder, premiers de la classe
En Europe, l'Ile-de-France reste cependant à la traîne. C'est du côté de l'Allemagne que l'on trouve les bons élèves. Les Länder allemands ont tous réussi à respecter l'objectif fixé en partant d'une situation similaire à celle des régions françaises en 2000. La performance a été particulièrement remarquable dans la région de Cologne, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, qui a vu son taux passer de 35 % à plus de 55 % en l'espace d'une décennie. Ou encore la région de Stuttgart (Bade-Wurtemberg) et de Munich (Bavière), qui ont atteint 64 % et 59 % respectivement.
Ce décalage pourraient s'expliquer par des différences de structures du marché du travail mais aussi par le dynamisme des PME-PMI allemandes. Les stratégies de promotion de l'emploi vers les seniors avec le relèvement de l'âge à la retraite ont en effet été semblables dans les deux pays. Quant aux campagnes d'information et de sensibilisation pour valoriser le travail des plus anciens, elle n'ont pas eu tellement d'effet dans aucun des deux pays.
nuit gravement
aux Français
En attendant, si Londres était la seule grande région européenne à dépasser le seuil en 2000, elles sont nombreuses aujourd'hui à l'imiter.
Or, aucune région de France ne fait partie du club : totalement consacrée à son auto-promotion, la présidente de la région Poitou-Charentes est visiblement restée les "bras ballants" en matière d'emplois des seniors et Tartine Aubry, responsble des 35 heures, est un flagrant contre exemple en région des bienfaits de sa politique.
Le démagogue premier secrétaire du PS en disponibilité s'assure la paix sociale en faisant les yeux doux aux jeunes ( lien PaSiDupes ) , mais c'est au détriment des seniors.
Elle considére que les seniors votent à droite...
La double peine, c'est aussi ça !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):