Campagne socialiste de dénonciation des blogueurs fichés à droite
Sur son compte Twitter, SOS Racisme, l’officine socialiste de recrutement et de ré-éducation des Français, a lancé une série de menaces contre les internautes classés à droite qui ne seraient pas 'politiquement corrects' selon les critères de l’ordre moral socialiste.
Cette campagne coïncide avec les rafles de Rom illégaux par Valls
SOS Racisme tente ainsi de redorer l'image du PS qui s'applique à associer racisme avec extrême droite, en dépit de la réalité de l'action gouvernementale.
Mais il ne s'agit plus d'un simple rideau de fumée
Le PS pourrait avoir honte de Valls, sans s'en prendre à toute la droite pour la 'salir' dans son ensemble, procédant sans nuance par amalgame pour se désolidariser des expulsions de Lille et de Lyon commandées par Valls, couvert par la justice et avec la nécessaire complicité des maires PS respectifs, la Ch'tite Brochen-Aubry et Gérard Collomb.
Bien qu'exploitée au-delà de toute mesure par l'hystérique Touraine, apparue sur tous les media, volubile et yeux exorbités, comme si les services n'avaient jamais été sensibilisés chaque année depuis 2003, la canicule du mois d'août n'avait pas réussi à assoupir la vigilance des media désoeuvrés, alors les rafles n'étaient pas passées inaperçues.
Le PS eut donc recours à une autre agression
Afin de faire comprendre aux internautes " de droite " que l’ordre moral serait rétabli, par priorité sur la réduction de la dette et des destructions d'emplois, l’association SOS Racisme de Julien Dray a publié sur son compte Twitter des intimidations aux libres penseurs, qui finiront derrière les barreaux s’ils sont assez simples pour se croire intouchables sur internet et continuent à contester sur le web les choix du PS.
Oubliées les Pussy Riot
avec toute sa finesse, le mouvement anti-raciste à géométrie invariable cible exclusivement la " fachosphère ", à l'exclusion des activistes de l'extrême gauche ou de ces enfants de choeur qui ont pour nom Black blocks.
Sur Twitter, les internautes sont scandalisés par de tels propos de jésuites médiévaux et ces méthodes d’inquisition pour museler l’opposition "normale". « @SOS_Racisme Vs êtes de gds malades ! « L’heure du gd coup de filet approche », et après c’est exécution sommaire ? en place publique ? » s’indigne ainsi un twitto.
Voici donc quelques exemples de prose haineuse et injuste et de menaces.
On y voit la brutalité, l'aveuglement idéologique et le parti-pris de cet organisme de propagande socialiste :
SOS Racisme portera plainte et fera condamner (avec l’aide des juges militants et des procureurs devenus indépendants), tous ceux qui feraient de la résistance et ne partageraient pas les positions de Christiane Taubira et d’Harlem Desir.
SOS Racisme se promet de tondre quiconque sur Internet s'oublierait en blagues sur les homosexuels, les lesbiennes et les trans, les Noirs, les Gris et les Jaunes, les nains et les prognathes, les roux, les blondes et les surdoué(e)s, les femmes et les hermaphrodites, les moches et les beaux, les handicapés, les trisomiques et les autistes, les obèses et les anorexiques, les frontistes de gauche, les moustachus et les imberbes, les Portugais et les Rom, sur les bébés éprouvettes ou les gauchers et les gauchistes.
Et SOS Racisme en passe et des meilleurs.
Il sera désormais permis de rire uniquement des hommes blancs de taille et de corpulence 'normales', mais exclusion faite des ventripotents escortés de leurs concubines collantes.
Il y a longtemps que SOS racisme n'est plus une association crédible, mais une officine de militants socialistes.
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