Des "pistes" ? Touraine parle beaucoup pour ne rien dire
l'envoyer à la Santé ?
Marisol Touraine tergiverse
La ministre des Affaires sociales et de la Santé, a évoqué quelques pistes permettant de faire évoluer le financement de la protection sociale, tout en avouant qu'elle n'a toujours rien arbitré, puisque "aucune" n'est "privilégiée" dimanche à Frangy-en-Bresse.
"A l'évidence, nous ne pouvons éviter de faire évoluer le financement de notre modèle social, qui pèse aujourd'hui principalement sur le travail".
"Réformer le financement de notre modèle social, c'est aussi faire contribuer d'autres revenus que le travail. On ne peut pas d'un côté expliquer qu'il y a trop de cotisations sur le travail et de l'autre refuser la mise à contribution des revenus du capital".
"A l'évidence, nous ne pouvons éviter de faire évoluer le financement de notre modèle social, qui pèse aujourd'hui principalement sur le travail".
"Réformer le financement de notre modèle social, c'est aussi faire contribuer d'autres revenus que le travail. On ne peut pas d'un côté expliquer qu'il y a trop de cotisations sur le travail et de l'autre refuser la mise à contribution des revenus du capital".
Rien n'est décidé, tout reste à faire
Mais elle assure que "c'est cela le changement que nous avons engagés", a-t-elle prétendu, à la tribune de la Fête de la Rose.
Les entrepreneurs devront tout faire: innover, produire, investir et financer l'action gouvernementale.
"Plusieurs pistes s'offrent à nous et aucune n'est privilégiée. Mais il est normal de se demander si une taxe écologique ne serait pas utile alors que l'impact de l'environnement sur notre santé est chaque jour confirmé", selon elle.
"Il n'est pas anormal que l'industrie pharmaceutique contribue à la politique de santé, alors que les médicaments occupent une place trop importante. Et il n'est pas anormal que l'industrie du tabac contribue elle aussi à notre politique de santé, alors que 73.000 personnes par an meurent à cause du tabac, ce qui coûte 18 milliards d'euros à la Sécurité sociale".Des jugements de valeur et des stigmatisations !
"Plusieurs pistes s'offrent à nous et aucune n'est privilégiée. Mais il est normal de se demander si une taxe écologique ne serait pas utile alors que l'impact de l'environnement sur notre santé est chaque jour confirmé", selon elle.
"Il n'est pas anormal que l'industrie pharmaceutique contribue à la politique de santé, alors que les médicaments occupent une place trop importante. Et il n'est pas anormal que l'industrie du tabac contribue elle aussi à notre politique de santé, alors que 73.000 personnes par an meurent à cause du tabac, ce qui coûte 18 milliards d'euros à la Sécurité sociale".Des jugements de valeur et des stigmatisations !
Par ailleurs, la question des retraites est "un des enjeux importants de l'année qui vient", a-t-elle déclaré pour ne rien dire.
Rien de plus en somme que ce que Hollande a promis voilà plus de 100 jours. Opposant l'espérance de vie entrecadres supérieurs (qui échappent à la crise cardiaque avant cinquante ans) et ouvriers, elle a affirmé: "nous devons faire en sorte que les conditions de départ en retraite ne soient pas les mêmes pour tous. De ce point de vue là, la durée du travail est un critère plus juste que le seul critère de l'âge". Des lois inégalitaires sont donc en préparation.
Les médecins devront contribuer
La ministre n'innove en rien, puisqu'elle a indiqué -sans plus de précisions- qu'elle mettrait "dans quelques semaines en place une expérimentation, qui permettra -un jour peut-être- de redonner confiance dans la médecine de proximité, en valorisant le travail d'équipe dans les maisons de santé, par exemple (...), en mettant fin à la seule tarification à l'acte pour valoriser la rémunération forfaitaire", censée renforcer la prévention.
La ministre de la santé dévalorise les médecins
"Je ne suis pas certaine qu'il faille être médecin pour faire tout ce que l'on demande aux médecins. Il y a des infirmières, des kinés, des sages-femmes", a-t-elle souligné, "qui sont pleinement engagées et dont le rôle peut être renforcé". La ministre ne fait pas du redressement positif mais du nivellement vers le bas du secteur médical.
"Je ne suis pas certaine qu'il faille être médecin pour faire tout ce que l'on demande aux médecins. Il y a des infirmières, des kinés, des sages-femmes", a-t-elle souligné, "qui sont pleinement engagées et dont le rôle peut être renforcé". La ministre ne fait pas du redressement positif mais du nivellement vers le bas du secteur médical.
Avant Noël: après huit mois !
"Les premières décisions seront prises dans le cadre de la loi de financement de la Sécurité sociale à l'automne. Je proposerai ensuite que l'on expérimente cette réorganisation dans une OU deux régions pendant un an. Dans le même temps, les études de médecine devront imposer des stages dans les déserts médicaux", a-t-elle dit.
J'apprécie particulièrement leur analyse au sujet des départs en retraite, sujet sur lequel ce gouvernement revient sans cesse
RépondreSupprimerPOUR NOUS FAIRE OUBLIER TOUT CE QUI NOUS DÉRANGE
Et puis on voit surtout que les ministres et compagnie, soit tous ceux qui gagnent leur vie avec nos impôts," aux frais de la princesse ". disait-on du temps de ma grand mère,
ET BIEN CEUX-LÀ NE RACCROCHENT PAS FACILEMENT.
Bien sûr leur travail n'est pas fatiguant et apparemment pas stressant non plus.
ET PUIS PARLER, PARLER, ENFILER DES MOTS COMME LES ENFANTS DES PERLES
N'ÉTAIT-ELLE PAS LEUR QUALITÉ PREMIÈRE.
C'est tout simplement pour mieux nous enfumer et nous empêcher de voir ce qu'ils nous préparent pour mieux nous ponctionner.
a quand des decisions concrètes et efficaces au lieux des palabres actuels
RépondreSupprimerMarisol Touraine sur la photo ci-dessus :
RépondreSupprimermais, ma parole, elle a tout à fait l'air de chanter :
" AINSI FONT FONT FONT LES PETITES MARIONNETTES,
AINSI FONT FONT FONT TROIS PETITS TOURS ET PUIS ....
Seulement dans plus tout à fait 5 ans HÉLAS
MALHEUREUSEMENT, le théâtre de marionnettes C'EST LA SPÉCIALITÉ DE PATAPOUF ET SES GUIGNOLS
Prendre des décisions efficaces, cher ou chère commentateur précédent
on peut rêver, mais le réveil risque d'être plus que dur.
Parler de protection sociale : elle se moque des français
RépondreSupprimerles économies, pas difficile, supprimer les aides et avantages, de ceux qui nous " em...", faire travailler les casseurs pour qu'ils payent, remboursent, et que leurs méfaits ne soient pas encore une fois de plus à notre charge, voilà une source de financement juste et à portée de main.
Voir ci-dessous :
Émeutes à Amiens : 2 prévenus ont été condamnés à 10 et 8 mois de prison avec sursis en comparution immédiate (AFP). #émeutes #amiens
QUAND ON VOIT LES DÉGÂTS, ON NE COMPREND PAS, on est abasourdi.
CES SOCIALOCOCOS ONT TOUS LES CULOTS, ET MENTIR POUR COUVRIR LEUR INCOMPÉTENCE DEVIENT LEUR SPÉCIALITÉ, MAIS C'ÉTAIT PRÉVU.....
18 août 2012
ÉMEUTES D'AMIENS CE LÂCHE ACCUSE NICOLAS SARKOZY D'ÊTRE LE RESPONSABLE DES ÉMEUTES !!
Stop là monsieur Valls. Trop c'est trop.
Hier soir au 20 H de France 2 où il était invité à s'expliquer sur les émeutes d'Amiens, Valls a tout de suite accusé Sarkozy d'être responsable des émeutes, argumentant sur le manque d'effectifs causé par l'ancienne majorité.
Un bon point pour le journaliste Julian Bugier, le remplaçant de Pujadas, qui n'a pas "gobé" cette absurdité et qui a mis Valls en difficulté.
On a vu hier soir à quel point la vie et les biens des français sont en danger avec un ministre incompétent, sans vision, sans idée et pire que tout : lâche au point d'accuser NS d'avoir organisé les conditions d'émeutes urbaines.
É D I F I A N T mais c'est ça le gouvernement au pouvoir :
" Plus nul que nul "
ET CE N'EST PAS TOUT
Hier, " contre François Hollande" (dans la vidéo), paroles des "lions" quand ils n'étaient pas ministres
RépondreSupprimerEt maintenant...
http://www.dailymotion.com/video/x8f6tf_544-manuel-valls-a-bouffe-du-lion_news?ralg=meta2-only#from=playrelon-1
http://www.youtube.com/watch?v=93Ajwp_wD-g
Maintenant :
RépondreSupprimerhttp://www.lexpress.fr/actualite/montebourg-prend-le-defense-de-hollande-face-a-melenchon_1150682.html
Et il faudra bien cinq ans !
Tartuffe, va !