Mieux connaître ' No Border '
No Border est un réseau associatif européen fondé en 2000.
Ses activistes militent pour la liberté de circulation pour tous et la fin des frontières et des contrôles migratoires.
Entre autres soutenu par les anarcho-syndicalistes de la CNT (Confédération nationale du travail), son axe de lutte est la liberté de circulation au sein de l'Espace Schengen, mais s’oppose en fait à toute politique de contrôle de l'immigration et singulièrement extérieure à l’Espace, avec et sans papiers. No Border se présente d’ailleurs en mouvement radical contre les systèmes de contrôle qui divisent citoyens et non-citoyens.
No Border milite pour la régularisation des étrangers en situation irrégulière et la fermeture des centres de rétention administrative.
Le réseau organise chaque été des campements de plusieurs jours à proximité des frontières. En France, le réseau était représenté jusqu'en 2005 par le Collectif Anti-Expulsion (CAE), des autonomes. À partir de 2003, les extrémistes du CAE se concentrèrent sur une campagne contre la construction de nouveaux centres de rétention administrative : elle était en fait dirigée plus particulièrement contre la société Bouygues. Suite à une chute du nombre de ses participants, le CAE s'est auto-dissout en 2005.Un campement No Border a été organisé à Strasbourg en août 2002. En 2004, le réseau avait organisé la première journée internationale d'action « Europe sans frontières » pour la régularisation des « sans-papiers » et l'ouverture des frontières : cette action a été suivie dans 50 villes de 11 pays d'Europe.
Du 23 au 29 juin 2009 , le réseau No Border avait organisé un camp à Calais, dans un parc de l’Est, dans le but de mettre en lumière la situation des migrants qui s’y sont établis dans l’illégalité et vivent dans des conditions misérables, en attendant de pouvoir rejoindre l'Angleterre.
Le camp No Border de Calais était un projet mené par des militants français et belges, et des groupes de soutien français, en coopération avec le réseau No Borders britannique, dans la tradition des camps No Border organisés dans le monde entier depuis une quinzaine d'années: outre Strasbourg en 2002, en Angleterre en 2007, à la frontière américano-mexicaine ou en Ukraine, en 2007 également.
«La notion de camp est associée à Sangatte [fermé en 2002] dans l'esprit des migrants. Certains nous ont dit qu'ils espéraient obtenir des papiers en rejoignant ce campement», confiait alors Mériem.
No Border est un réseau associatif européen fondé en 2000.
Ses activistes militent pour la liberté de circulation pour tous et la fin des frontières et des contrôles migratoires.
Entre autres soutenu par les anarcho-syndicalistes de la CNT (Confédération nationale du travail), son axe de lutte est la liberté de circulation au sein de l'Espace Schengen, mais s’oppose en fait à toute politique de contrôle de l'immigration et singulièrement extérieure à l’Espace, avec et sans papiers. No Border se présente d’ailleurs en mouvement radical contre les systèmes de contrôle qui divisent citoyens et non-citoyens.
No Border milite pour la régularisation des étrangers en situation irrégulière et la fermeture des centres de rétention administrative.
Le réseau organise chaque été des campements de plusieurs jours à proximité des frontières. En France, le réseau était représenté jusqu'en 2005 par le Collectif Anti-Expulsion (CAE), des autonomes. À partir de 2003, les extrémistes du CAE se concentrèrent sur une campagne contre la construction de nouveaux centres de rétention administrative : elle était en fait dirigée plus particulièrement contre la société Bouygues. Suite à une chute du nombre de ses participants, le CAE s'est auto-dissout en 2005.Un campement No Border a été organisé à Strasbourg en août 2002. En 2004, le réseau avait organisé la première journée internationale d'action « Europe sans frontières » pour la régularisation des « sans-papiers » et l'ouverture des frontières : cette action a été suivie dans 50 villes de 11 pays d'Europe.
Du 23 au 29 juin 2009 , le réseau No Border avait organisé un camp à Calais, dans un parc de l’Est, dans le but de mettre en lumière la situation des migrants qui s’y sont établis dans l’illégalité et vivent dans des conditions misérables, en attendant de pouvoir rejoindre l'Angleterre.
Le camp No Border de Calais était un projet mené par des militants français et belges, et des groupes de soutien français, en coopération avec le réseau No Borders britannique, dans la tradition des camps No Border organisés dans le monde entier depuis une quinzaine d'années: outre Strasbourg en 2002, en Angleterre en 2007, à la frontière américano-mexicaine ou en Ukraine, en 2007 également.
«La notion de camp est associée à Sangatte [fermé en 2002] dans l'esprit des migrants. Certains nous ont dit qu'ils espéraient obtenir des papiers en rejoignant ce campement», confiait alors Mériem.
Ils auraient été une petite centaine à Calais, selon des témoins sur place, 250 selon Meriem.
Les associations d'aide aux migrants qui travaillent à Calais n'avaient pas souhaité s'associer au camp des extrémistes de No Border. «Ces militants prônent la suppression des frontières et la libre circulation des personnes. Ce sont des thématiques qui ne sont pas les nôtres», explique Vincent Lenoir, de l'association Salam (cf. lien PaSiDupes). Pourtant, le samedi 27 juin, un certain nombre d'organisations politiques et syndicales se sont associées à la manifestation, dont Terre d'errance.
Les associations d'aide aux migrants qui travaillent à Calais n'avaient pas souhaité s'associer au camp des extrémistes de No Border. «Ces militants prônent la suppression des frontières et la libre circulation des personnes. Ce sont des thématiques qui ne sont pas les nôtres», explique Vincent Lenoir, de l'association Salam (cf. lien PaSiDupes). Pourtant, le samedi 27 juin, un certain nombre d'organisations politiques et syndicales se sont associées à la manifestation, dont Terre d'errance.
Le 2 mars 2009, le ministre Éric Besson avait fait allusion à des liens entre les bénévoles et des passeurs à propos de l’affaire Monique Pouille, une militante de Terre d'errance à Norrent-Fontes.
« D'autres éléments nous font penser qu'il n'y avait pas que des recharges de téléphones portables. On ne place pas des bénévoles en garde à vue sur un abus de pouvoir », avait-il expliqué à propos de l'activité de "l'icône de l'humanitaire", selon la Voix du Nord. Avec aussi le concours de Réseau sans Frontières (RSF) et des sites de Sa Cynique Majesté Royal (cf. le 77500)
"Pour qu'une personne puisse être mise en cause par la justice, il faut qu'elle entre dans la filière d'immigration clandestine et qu'elle apporte volontairement son aide à l'entrée ou au séjour illégal". "Par exemple en apportant de l'argent au passeur pour le transport ».
qui finance cette organisation ?
RépondreSupprimerqui finance cette organisation ??
RépondreSupprimerSOROS
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