La mécano Royal prête à la révision de celui « qui craint la panne »…
Il n’aura pas fallu deux jours à la présidente de la région Poitou-Charentes pour se dire n’aura pas fallu deux jours à la présidente de la région Poitou-Charentes pour se dire «disponible» pour une rencontre avec François Bayrou, à la suite de son «offre publique de dialogue» avec le PS. Ce serait une première depuis leur essai manqué de l'entre-deux-tours 2007.Si rapprochement PS-Modem il y avait, Sa Cynique Majesté Royal veut en revendiquer la maternité. La présidente socialiste de Poitou-Charentes a mis au clair sur RMC Info mardi sa position sur l'hypothèse d'une alliance avec le centre, qui divise les socialistes : elle y est favorable, sans ambiguïté.
Désireux d'obtenir des élus afin de garantir la pérennité de son parti, François Bayrou a multiplié les gestes de rapprochement avec le PS. D'abord en envoyant son lieutenant en jrans, Marielle de Sarnez, participer aux ateliers d'été du courant de Vincent Peillon, «l'Espoir à gauche».Bayrou est-il prêt à se donner à Marie-sEGO, tout en se refusant à Martine ?
Lundi, le chef de fil autocratique du MoDem a fait un pas de plus en lançant une «offre publique de dialogue» avec le PS. Il a également répondu à Martine Aubry, qui lui avait demandé de clarifier ses intentions, en lançant à son adresse : «Je n'ai aucune preuve à faire, vous n'êtes pas chargée de contrôler les papiers, de vouloir faire rentrer tout le monde dans le rang. Il n'y a pas de surveillante générale».
Cette pique a semé la confusion dans les rangs socialistes et suscité chez certains de la méfiance face à une «offre publique d'achat», selon le mot de Jean-Christophe Cambadélis.
Mais Désirdavenir Royal est prête à sauter sur tout ce qui bouge (encore)
Sa Cynique Majesté Royal désire depuis longtemps s’offrir Bayrou et faire alliance avec le centre. C'était d'ailleurs l'un des sujets de friction avec Martine Aubry, lors du congrès de Reims. Sa position, minoritaire au sein du PS, est partagée notamment par Vincent Peillon - un proche- et son courant, mais combattu par la majorité des responsables socialistes.
Rassurée sur ses charmes, la quinqua a esdtimé : «L'alternance se fait forcément avec les centristes, j'ai toujours pensé cela. Cela correspond à un mouvement de pensée dans la société française», a-t-elle avancé. «Si on veut une alternance, c'est-à-dire mettre fin au régime actuel qui fait tant de dégâts, il faut une convergence des forces progressistes».
Royal, prête à se prendre un nouveau râteau ?
Ne faut-il pas qu'elle soit cruellement en manque ?
«Pourquoi pas ? Ce n'est pas interdit de rencontrer François Bayrou», affirme-t-elle. «Cela n'a rien d'extraordinaire que des responsables politiques se parlent». Et d'ajouter : «La politique ne se règle pas par accords d'appareil, c'est très important d'avancer à la fois sur des discussions entre dirigeants et appareils politiques».
L’ "amoureux qui craint la panne" se dégonflera-t-il à nouveau ?
A suivre dans Voici ou Gala…
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