Déjà sorti, Hollande n'arrive pas à se taire
"Il n'est pas possible de se taire" ?
"Voilà pourquoi, face à un tel risque, il n'est pas possible de se taire, pas davantage de se réfugier dans l'indifférence", a commenté le président le plus impopulaire de la Ve République et fossoyeur du Parti socialiste.
Si la France était dirigée par le Front national, qui prône notamment la sortie de l'euro, le pouvoir d'achat des Français "serait directement amputé" et "des milliers d'emplois seraient supprimés", a notamment estimé le président, bien qu'il ait renoncé à mener le combat.
"Ce qui est en cause, c'est la conception que l'on a de la France, c'est l'unité de notre Nation, c'est son appartenance à l'Europe et c'est sa place dans le monde", a insisté Monsieur Bricolage. "Tout ce à quoi j'ai scrupuleusement veillé depuis le début de mon mandat," ose prétendre celui qui a fait le lit du FN à la tête de 1,5 millions d'électeurs de plus d'une présidentielle à l'autre.
Après s'être exclu de la campagne présidentielle, le président n'hésite donc pas à distiller de multiples messages inaudibles
Après avoir appelé sans hésitation à voter contre la candidate du FN plutôt que pour Emmanuel Macron, son ancien conseiller et ministre, notamment par la voix du premier ministre Bernard Cazeneuve, le Parti socialiste a étalé ses divergences sur le second tour et les élections législatives des 11 et 18 juin.
Avant de quitter l'Elysée le 15 mai, le président des chrysanthèmes a invité Emmanuel Macron et Marine Le Pen à participer à la cérémonie organisée mardi à la préfecture de Paris à la mémoire du policier abattu par un islamiste, la semaine dernière sur les Champs-Elysées, malgré l'état d'urgence.
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