"C'est moi qui parle" ! lance le bateleur
Jean-Luc Mélenchon a encore "créé du spectacle" (sic)
Invité sur le plateau d' "On n’est pas couché" du 19 octobre pour vendre ses chaussettes son livre, le tribun du Front de gauche a d'abord essuyé le reproche de Ruquier qui ne supporte pas d'être interrompu dans la lecture des notes que le personnage découvre en même temps que les invités et l'élu extrémiste s’est ensuite heurté à sa chroniqueuse. A croire que le barbu avait limé ses dents qu'un régime végétarien laisserait se développer sans autre activité carnassière que la chasse aux contradicteurs de la gauche altermondialiste, souriant béatement et opinant discrètement de la tête comme une brêle.
Mélenchon vante son goût de la joute oratoire
"Ce n'est pas une obligation, juste une invitation. [Une vente promotionnelle ne se refuse pas!] Combien de fois m'a-t-on dit que je ne devrais pas y aller. Je n'ai jamais eu le moindre regret de m'y être trouvé. C'est toujours un temps extrême pour moi. C'est une émission dévorante. On ressort épuisé, vidé. On met des heures à faire descendre l'adrénaline et on reste sans sommeil une partie de la nuit qui suit. Encore heureux que ma séquence ait été enregistrée la première," écrit la bête de scène sur sa page Facebook, reconnaissant de la faveur qu'accorde Ruquier à celui qu'il appelle "cher Jean-Luc Mélenchon et qui fait grimper l'audimat d'une émission enregistrée qui lasse. "Les autres invités ont passé presque quatre heures sur le plateau", souligne le modeste homme de gauche pour se gonfler de son importance dans le paysage médiatique.
Léa Salamé lui a donc reproché ses attaques contre les media
Léa Salamé lui a donc reproché ses attaques contre les media
La journaliste a souligné les contradictions et revirements de l'eurodéputé, à la façon de François Hollande. "Vous en faites partie de ce système médiatique Jean-Luc Mélenchon ! Que vous le vouliez ou non [mais il le veut, à l'évidence!]. Vous êtes invité quasiment tous les jours…", s’est agacée la nouvelle chroniqueuse politique de "Laurent", comme le susurre Jean-Luc.
Irrité, Mélenchon s'est payé sa tête, moquant les propos de l’ex-journaliste de i-télé en les répétant.
Flatté par une comparse actrice, le cabot dit craindre de ..."rougir"!... De la politique spectacle pour le samedi: c'est ça ou le porno de Canal+.
VOIR et ENTENDRE (à partir de la 34e minute) Mélenchon, transpirant, pointer "ces gens-là", les banquiers, dont Macron, le ministre et non pas la caste... :
A la sortie de l’enregistrement de l’émission, le rôle principal (63 ans) avait posté un statut sur Facebook dans lequel il écrivait que l’émission de "mes amis" (d'ONPC) avait été éprouvante, sans pour autant songer à s'appliquer sa revendication d'une retraite pour tous après 40 ans de cotisation !
: "C’est une émission dévorante. On ressort épuisé, vidé. On met des heures à faire descendre l’adrénaline et on reste sans sommeil une partie de la nuit qui suit (…) Mon personnage fétiche à ONPC c’est la personne qui me maquille avant. Son humour est un puissant décontractant. Ensuite la pression monte juste avant d’aller sur le plateau. Il y a quelques mètres à marcher, des marches, des gens à saluer. Tout le corps est en spectacle !"
L'intermittent du spectacle est un bon client de Ruquier
"La pression monte juste avant d'aller sur le plateau. Il y a quelques mètres à marcher, des marches, des gens à saluer. Tout le corps est en spectacle ! [...] J'ai toujours aimé être là. Si je ne suis pas content ensuite, je ne m'en prends qu'à moi. C'est pourquoi les lendemains d'ONPC sont si durs à vivre."
Mélenchon termine en confirmant à propos de ses droits d'auteur qu'il ne connaît pas les fins de mois difficiles... Mais qu'il en parle très bien !
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