Les rôles respectifs du gouvernement et des spéculateurs
Dans la semaine du 18 août, le pétrole a repassé la barre des 120 dollars le baril et le prix du super enregistra alors une baisse de 3 à 4 centimes à la pompe. C’était la troisième semaine consécutive de reflux des prix pour le super. Il était alors trop tôt pour parler de véritable repli, mais une baisse est toujours bonne pour le pouvoir d’achat et le moral, surtout en période de vacances.
Or, un sondage IFOP réalisé pour le Journal Du Dimanche (JDD) du 21 au 22 août indique que la cote de confiance de Nicolas Sarkozy a progressé de deux points en un mois pour atteindre 40% , tandis que celle de François Fillon reste supérieure à la moyenne, à 51% .
Quelle est donc l’utilité des instituts de sondages, s’il suffit de prendre connaissance du cours du pétrole brut et davantage encore de ses répercussions sur le prix de l’essence à la pompe?
Nous allons d’ailleurs pouvoir vérifier cet alignement des cotes avec le net rebond des cours du pétrole mardi 26 à la clôture des Bourses européennes, les intervenants s'inquiétant de l'ouragan Gustav qui pourrait menacer les installations pétrolières du Golfe du Mexique et de nouvelles tensions sur le dossier Russie-Georgie qui contribuent aussi à tendre les cours, après un recul en raison de la progression du dollar, la devise dans laquelle sont réglés les achats de brut.
Dans quelle mesure la politique gouvernementale influe-t-elle donc sur la cote du Président ?
Dans la semaine du 18 août, le pétrole a repassé la barre des 120 dollars le baril et le prix du super enregistra alors une baisse de 3 à 4 centimes à la pompe. C’était la troisième semaine consécutive de reflux des prix pour le super. Il était alors trop tôt pour parler de véritable repli, mais une baisse est toujours bonne pour le pouvoir d’achat et le moral, surtout en période de vacances.
Or, un sondage IFOP réalisé pour le Journal Du Dimanche (JDD) du 21 au 22 août indique que la cote de confiance de Nicolas Sarkozy a progressé de deux points en un mois pour atteindre 40% , tandis que celle de François Fillon reste supérieure à la moyenne, à 51% .
Quelle est donc l’utilité des instituts de sondages, s’il suffit de prendre connaissance du cours du pétrole brut et davantage encore de ses répercussions sur le prix de l’essence à la pompe?
Nous allons d’ailleurs pouvoir vérifier cet alignement des cotes avec le net rebond des cours du pétrole mardi 26 à la clôture des Bourses européennes, les intervenants s'inquiétant de l'ouragan Gustav qui pourrait menacer les installations pétrolières du Golfe du Mexique et de nouvelles tensions sur le dossier Russie-Georgie qui contribuent aussi à tendre les cours, après un recul en raison de la progression du dollar, la devise dans laquelle sont réglés les achats de brut.
Dans quelle mesure la politique gouvernementale influe-t-elle donc sur la cote du Président ?
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