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lundi 21 décembre 2009

Trois socialistes en faveur d'une loi contre la burqa

Faut-il ouvrir un débat sur l'identité socialiste ?

SOS Racisme a peur du débat sur l'identité nationale

L'identité socialiste fait débat

Un avatar du débat sur l'identité nationale lancé par l'ex-socialiste Eric Besson a surgi.
Alors que les analystes tout terrain s'accordaient en effet à penser d'un même coeur que la majorité pourrait bien faire les frais de ce débat aux Régionales de mars prochain, il appert en réalité qu'il commence à créer de graves remous parmi les suppôts du mouvement citoyen. Certains supputtent déjà une intention maligne de mettre un peu plus le souk Rue de Solférino.

Le chantier du PS en pleine rénovation va-t-il bloquer ?

SOS Racisme, une association connue, bien que sans réélle représentativité, lance une pétition, déjà signée par plus de 140 pétitionnaires professionnels, demandant au président de la République de "mettre fin aux réunions publiques" lancées par Eric Besson sur l'identité nationale.
L'association a le sentiment que "les débats sur l'identité nationale sont apparus comme des espaces de libération d'une parole raciste, prompte à remettre en cause, de façon insidieuse ou explicite, la légitimité de la présence sur le sol national de catégories entières de la population". C'est dire que la diversité de pensée est mal vécue à gauche. Les « débats participatifs » de la campagne présidentielle socialiste n'ont donc pas fait progresser les notions de tolérance et de diversité d'opinion. Le poids de l'idéologie dominante bloque toujours autant les cerveaux et les coeurs.
Les totalitaires de SOS Racisme dénoncent toujours ceux qui ne partagent pas ses options.
Leurs opinions sont aussitôt stigmatisées et frappées de l'anathème du racisme.
"Les propos racistes tenus dans des réunions organisées par les préfectures sont d'autant plus graves que l'Etat vient apposer sa légitimité à l'expression de pensées qui n'ont pas lieu d'être dans l'espace public", ajoute l'ONG. Autant que cet organisme qui tente de battre en brèche le pouvoir légitime des élus -et singulièrement des membres du gouvernement- rétablisse aussi la censure sans délais.

Poursuivant dans le procès d'intention à l'encontre de quiconque piétine leurs plate-bandes, les potes de SOS Racisme se déclarent plus que jamais citoyens -sans mandats- au-dessus du lot et garants de la bien pensance: "Dans notre pays comme dans toutes les grandes démocraties, le racisme n'est pas une opinion, c'est un délit". Le jugement est tombé: nul n'est présumé innocent qui ne pense comme SOS Racisme.

SOS Racisme s'arrogent le droit de se substituer aux représentants démocratiquement élus du peuple et les enverraient bien à la campagne. Ils prennent donc la parole, sans que nul ne sache vraiment ce qui les y autorise: "C'est pourquoi nous vous demandons, Monsieur le président de la République, de mettre un terme à ces réunions, sans quoi la République que vous représentez aura fait le choix de laisser se tenir en son sein et avec son assentiment un débat de nature à briser durablement les fondements de notre vivre ensemble". Et pourquoi l'association des gauchers de France ne demanderait-elle pas aussi au Président de combattre l'oppression des droitiers en interdisant la dextralité, qui humilie ses membres ! Il faut imposer aux droitiers d'écrire de la main gauche.
Ce texte a été signé des deux mains notamment par des désoeuvrés du PS comme Martine Aubry, Laurent Fabius, François Hollande ou Lionel Jospin, ainsi que par des signataires compulsifs, tant qu'il ne s'agit pas de chèques pour le Téléthon: Isabelle Adjani, Pierre Arditi, Josiane Balasko, Jane Birkin, Daniel Cohn-Bendit, Bernard-Henri Levy ou ...Geneviève de Fontenay.


L'identité nationale divise le PS

Catastrophe: le PS a en son sein ces racistes que SOS Racisme conspue !

Les socialistes Manuel Valls, Aurélie Filippetti et Philippe Esnol se disent en faveur d'une loi pour "bannir" le voile intégral de "l'espace public": ils le disent et signent en effet, lundi 21 décembre, une tribune dans Libération.
"Nous sommes favorables au bannissement pur et simple de ce vêtement dans l'espace public et ses services (mairies, écoles, préfectures, sécurité sociale) mais aussi sur l'ensemble de la voie publique", écrivent-t-ils.

Le débat sur l'identité nationale fait plus de dégâts au PS que la grippe A-H1NI

Les mécréants de la citoyenneté estiment qu'"une loi est nécessaire car cette question essentielle ne peut être laissée aux seules interprétations éparses des maires, sauf à transformer la République, indivisible, en une fédération de collectivités".
"Elle est d'autant plus nécessaire qu'elle est une réponse symbolique forte à la montée du fondamentalisme", insistent également les trois élus.
Car, poursuivent-t-ils, "volontaire ou non, le port du voile intégral nuit à la société et à l'ordre public dans la mesure où il soustrait au regard d'autrui les femmes".
La burqa est aussi "une atteinte à la dignité humaine", et elle "place la femme à un rang de subalterne". Nous avons pour notre part encore observé cette semaine en France que des femmes voilées sont toujours reléguées sur les banquettes arrières des véhicules avec les enfants mineurs de leurs maris.

En France, seul le sexe se dissimule.
"Une femme dont on ne peut lire les expressions du visage perd de son humanité. Car une femme qui se voit interdire le port de certains vêtements perd, aussi, de sa liberté. La République française, qui porte en son sein l'égalité homme-femme, ne peut l'accepter", estiment-ils.

Ainsi, le PS tient-il en son sein des racistes qui ont pour noms Manuel Valls, un soutien acerbe de Sa Cynique Majesté Royal à Reims, Philippe Esnol et Aurélie Filippetti, une ex-proche de Désirdavenir Royal.

Martine Aubry n'en aura-t-elle donc jamais fini avec la "pétainiste" Royal et ses amis ?

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