Parce que la presse hexagonale s'auto-censure, s'agit-il pour autant d'un canular ?
Un fils de Valérie Trierweiler a été arrêté par les forces de police pour consommation de drogue sur la voie publique.
Qu'est-ce qui met cette fille en joie ? |
L’info en provenance du Canada, et révélée en France par Staragora (lien), n’a été reprise par aucun journaliste français indépendant !
Et la plainte contre Valérie Trierweiler suit son cours. A la rentrée, François Hollande aura bespoin de faire beaucoup de pédagogie...
Merci aux Québécois, pour nous avoir passé l'information
Cette affaire soulève le problème des liens entre les bobos de la gauche française et la drogue. C’est à la sortie de son luxueux lycée (Claude Bernard, l’un des plus réputés de la capitale) dans le 16e arrondissement de Paris (François Hollande n’aime pas les riches, mais vit à la colle avec une sacrée bourgeoise !) que le fils branché de Valérie Trierweiler s’est fait poisser par des policiers, en train de fumer un joint, drogue "douce" que la gauche mettrait bien en vente dans les lycées.
Démagogie à tous les niveaux ?
Si Hollande reste encore dans les vaps sur ce sujet, comme sur tant d’autres, les post-soixante-huitards socialistes considèrent la dépénalisation des drogues dites douces comme une grande avancée. Les Verts en veulent, Mélenchon aussi, le PS se laissera faire violence par un 'observatoire' ou un autre machin ad hoc.
Valérie Trierweiler, héritière Massonneau, caricature de la riche héritière évaporée, a préféré sacrifier l’éducation de son enfant à sa carrière, misant sur un tocard de l'Arc de Triomphe. En mettant le grapin sur la "gauche molle", elle a gagné le cocotier: bien joué pour la prise de risque !
Du coup, le jeune paumé appelle au secours en fumant des pétards devant son lycée.
Et ce sont les flics qui ont répondu ! Dans leur vie privée comme dans leurs propositions politiques, les socialistes prouvent quotidiennement leur nihilisme et leur rejet de toute "valeur" familiale et personnelle, notion fasciste et liberticide. Au diable la prévention: interdisez d’interdire, jouissez sans entrave et laissez vos enfants faire leurs propres expériences, car on apprend, dit-on, de ses erreurs, dans la rue et au poste de police.
En un an de pouvoir, la gauche est jonchée de cadavres: Richard Descoings, le directeur socialiste de Sciences Po Paris qui formait nos politicards, "suicidé" par overdose dans une chambre d’hôtel de New York au printemps dernier et Gilles Le Blanc, directeur de cabinet de la ministre Filippetti a été retrouvé mort mystérieusement dans un café à Venise, un sachet de cocaïne dans la poche ! Des partisans des salles de shoot ?
Et c'est aussi la question de l'auto-censure et du traitement de l'information qui est soulevé ici. Pour ne pas causer de tort à Hollande, aucun journaliste insolent n'a fuité.
Les journalistes bénéficient d'une allocation forfaitaire pour frais professionnels, d'un modeste montant de 7.650 euros déduits des revenus soumis à l'impôt.
Supprimée par Sarkozy, elle a été remise en vigueur par Hollande, ce qui peut expliquer la bienveillance de la presse libre.
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