Tête à claques, François Bayrou a ses têtes
On sait que François Bayrou distribue des claques aux petits enfants. Peut-être n’en a-t-il pas reçu assez !
On sait que François Bayrou distribue des claques aux petits enfants. Peut-être n’en a-t-il pas reçu assez !
C'est ce Bayrou-là qui a déclaré jeudi qu'il n'était pas "fana" de la venue du pape Benoît XVI vendredi à l'Elysée, alors que le maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, a indiqué qu'il participerait à la réception du souverain Pontife par le Chef de l'Etat.
François Bayrou crée donc une nouvelle polémique
Le président du MoDem, croupion de la politique, s'est déclaré jeudi peu "enthousiaste" à l'idée que Nicolas Sarkozy reçoive officiellement le pape Benoît XVI à l'Elysée, jugeant qu'"il ne faut pas mélanger l'Etat et la religion".
Bayrou est ainsi pris en flagrant délit d’intolérance.
Le souci avec Bayrou, comme avec Sa Cynique Majesté Royal, c’est donc outre la courtoisie, la compétence.
Côté courtoisie, Bayrou nous la fait Nadine de Rothschild, mais courtoisie bien ordonnée commence par soi-même. De quelle divine révélation le donneur de leçons gratifie-t-il donc RTL ? "Accueillir le pape à la descente d'avion, je trouve cela normal. Il y a des gestes qui sont des gestes de courtoisie et que je ne trouve pas 'mélange des genres', mais je suis moins fana du passage de Benoît XVI à l'Elysée".
Côté compétence, maintenant, Bayrou raye l’Etat du Vatican de la carte: trop petit (ou virtuel) !
On voit mal un Bayrou chef de la diplomatie française ! A la différence du dalaï lama au Tibet, le pape est en effet Chef de l’Etat du Vatican et, à ce titre, a droit aux honneurs réservés aux chefs d’état. Or, Bayrou-le-simple conçoit un distinguo de mécréant, bien curieux chez un croyant.
"J'ai une idée assez simple qu'il ne faut pas mélanger l'Etat et la religion. Pour moi, le pape, c'est le chef d'une religion, pas le chef d'un Etat", a souligné le président du MoDem. "C'est une fiction de le regarder comme un chef d'Etat", à savoir le Vatican. Comme Staline, Bayrou méprise les petits : « le pape, combien de divisions (blindées) », a répondu le sanguinaire dictateur Staline en 1945 à Winston Churchill qui lui demandait de respecter les libertés religieuses dans l'Europe Centrale que l'Armée Rouge occupait. En 1953, quand on lui apprit la mort de Staline, Pie XII aurait dit en substance : « maintenant qu'il est face aux anges, il sait combien j'en avais ».
François Bayrou crée donc une nouvelle polémique
Le président du MoDem, croupion de la politique, s'est déclaré jeudi peu "enthousiaste" à l'idée que Nicolas Sarkozy reçoive officiellement le pape Benoît XVI à l'Elysée, jugeant qu'"il ne faut pas mélanger l'Etat et la religion".
Bayrou est ainsi pris en flagrant délit d’intolérance.
Le souci avec Bayrou, comme avec Sa Cynique Majesté Royal, c’est donc outre la courtoisie, la compétence.
Côté courtoisie, Bayrou nous la fait Nadine de Rothschild, mais courtoisie bien ordonnée commence par soi-même. De quelle divine révélation le donneur de leçons gratifie-t-il donc RTL ? "Accueillir le pape à la descente d'avion, je trouve cela normal. Il y a des gestes qui sont des gestes de courtoisie et que je ne trouve pas 'mélange des genres', mais je suis moins fana du passage de Benoît XVI à l'Elysée".
Côté compétence, maintenant, Bayrou raye l’Etat du Vatican de la carte: trop petit (ou virtuel) !
On voit mal un Bayrou chef de la diplomatie française ! A la différence du dalaï lama au Tibet, le pape est en effet Chef de l’Etat du Vatican et, à ce titre, a droit aux honneurs réservés aux chefs d’état. Or, Bayrou-le-simple conçoit un distinguo de mécréant, bien curieux chez un croyant.
"J'ai une idée assez simple qu'il ne faut pas mélanger l'Etat et la religion. Pour moi, le pape, c'est le chef d'une religion, pas le chef d'un Etat", a souligné le président du MoDem. "C'est une fiction de le regarder comme un chef d'Etat", à savoir le Vatican. Comme Staline, Bayrou méprise les petits : « le pape, combien de divisions (blindées) », a répondu le sanguinaire dictateur Staline en 1945 à Winston Churchill qui lui demandait de respecter les libertés religieuses dans l'Europe Centrale que l'Armée Rouge occupait. En 1953, quand on lui apprit la mort de Staline, Pie XII aurait dit en substance : « maintenant qu'il est face aux anges, il sait combien j'en avais ».
Et le candidat Bayrou d’insister, pour rallier les ouailles égarées du PS : "Je suis moins enthousiaste de cet aspect officiel de la visite".
Le cavalier Bayrou fera pourtant une apparition à Lourdes
Chez la sainte petite bergère, le pape sera honoré d’une photo au côté du modeste petit propriétaire de haras.
"Pas présent dans les cérémonies officielles de Paris", François Bayrou ira par contre "à Lourdes comme un élu des Pyrénées". "Je suis un défenseur de la laïcité et je suis chrétien. Ce que nous faisons de l'ordre du symbole, on doit le peser avec beaucoup de sensibilité".
Jésuite sur les bords, Bayrou ? Et pas qu’un peu !
Le cavalier Bayrou fera pourtant une apparition à Lourdes
Chez la sainte petite bergère, le pape sera honoré d’une photo au côté du modeste petit propriétaire de haras.
"Pas présent dans les cérémonies officielles de Paris", François Bayrou ira par contre "à Lourdes comme un élu des Pyrénées". "Je suis un défenseur de la laïcité et je suis chrétien. Ce que nous faisons de l'ordre du symbole, on doit le peser avec beaucoup de sensibilité".
Jésuite sur les bords, Bayrou ? Et pas qu’un peu !
Et c'est quel commandement qui dit: "Tu ne mentiras point"? Car Bayrou ne confesse pas toute la vérité sur le mal qui le ronge.
Bayrou-la-haine et Bayrou-la-jalousie
Plus cohérent, le maire socialiste de Paris, Bertrand Delanoë, a précisé en revanche qu'il "le verra et à l'Elysée et au collège des Bernardins, mais pas aux cérémonies religieuses". En somme, il ne voit pas « une fiction de le regarder comme un chef d'Etat » et aura la courtoisie de l’honorer comme tel, sans crainte d’être pris pour un catho !
F. Bayrou, qui ne fait pas mystère de sa foi catholique, est élu des Pyrénées-Atlantique, département voisin de Lourdes. C’est donc en sa qualité d’élu républicain qu’il se montrera auprès du chef spirituel catholique romain. Mais, eu égard à sa médaille de bronze à la présidentielle 2007 et à ses prétentions, que ne le fait-il le voyage à Paris pour rencontrer le pape à l’Elysée, de conserve avec son ami président ?
C’est peut-être que Sarkozy lui ferait peur, comme le prétend le magazine Marianne. La plaie de sa défaite suinte un peu plus chaque jour et déverse son pus fétide sur le Président de la République, tout en respectant (bien sûr) les institutions… Comment, dès lors, le sado-maso psycho-maniaque pourrait-il se montrer à la face de son tourmenteur ?
En fait le craintif béarnais est rongé par la haine et la jalousie… et ne craint rien tant qu’un cours particulier de catéchisme élémentaire par Benoît XVI. Leçon du jour : le décalogue (mix juif et catholique).
Huitième commandement : « Tu ne feras pas de faux témoignage. »
Dixième commandement : « Tu ne convoiteras pas le bien du prochain.» Et son poste, alors, il peut ?
Et aussi : «Deuxième commandement : « Tu n'auras pas d'autre Dieu que moi. » Pas même toi-même…
Et encore : « Sixième commandement : Tu ne tueras point. » Même par intention?
Bébert de Paris donne une leçon de tolérance à Fanfan du MoDem, professeur agrégé.
"J'ai une conception de la laïcité qui est basée sur la liberté, qui ne peut pas être indifférence ou ignorance, mais pas de vérité religieuse officielle, respect égal pour toutes les convictions religieuses et pour les non-croyants". Il n’a pas oublié en effet qu’il avait cédé à la pression médiatique en recevant le chef spirituel tibétain sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. "Nous devons rester dans la courtoisie et l'esprit de la République laïque", a minaudé Bertrand Delanoë. Un socialiste qui fait ce qu’il dit…
Pour le béarnais, aussi inconscient que courtois, recevoir le chef spirituel tibétain, mais ignorer le pape, c’est le « respect égal pour toutes les convictions religieuses ».
Bayrou-la-haine et Bayrou-la-jalousie
Plus cohérent, le maire socialiste de Paris, Bertrand Delanoë, a précisé en revanche qu'il "le verra et à l'Elysée et au collège des Bernardins, mais pas aux cérémonies religieuses". En somme, il ne voit pas « une fiction de le regarder comme un chef d'Etat » et aura la courtoisie de l’honorer comme tel, sans crainte d’être pris pour un catho !
F. Bayrou, qui ne fait pas mystère de sa foi catholique, est élu des Pyrénées-Atlantique, département voisin de Lourdes. C’est donc en sa qualité d’élu républicain qu’il se montrera auprès du chef spirituel catholique romain. Mais, eu égard à sa médaille de bronze à la présidentielle 2007 et à ses prétentions, que ne le fait-il le voyage à Paris pour rencontrer le pape à l’Elysée, de conserve avec son ami président ?
C’est peut-être que Sarkozy lui ferait peur, comme le prétend le magazine Marianne. La plaie de sa défaite suinte un peu plus chaque jour et déverse son pus fétide sur le Président de la République, tout en respectant (bien sûr) les institutions… Comment, dès lors, le sado-maso psycho-maniaque pourrait-il se montrer à la face de son tourmenteur ?
En fait le craintif béarnais est rongé par la haine et la jalousie… et ne craint rien tant qu’un cours particulier de catéchisme élémentaire par Benoît XVI. Leçon du jour : le décalogue (mix juif et catholique).
Huitième commandement : « Tu ne feras pas de faux témoignage. »
Dixième commandement : « Tu ne convoiteras pas le bien du prochain.» Et son poste, alors, il peut ?
Et aussi : «Deuxième commandement : « Tu n'auras pas d'autre Dieu que moi. » Pas même toi-même…
Et encore : « Sixième commandement : Tu ne tueras point. » Même par intention?
Bébert de Paris donne une leçon de tolérance à Fanfan du MoDem, professeur agrégé.
"J'ai une conception de la laïcité qui est basée sur la liberté, qui ne peut pas être indifférence ou ignorance, mais pas de vérité religieuse officielle, respect égal pour toutes les convictions religieuses et pour les non-croyants". Il n’a pas oublié en effet qu’il avait cédé à la pression médiatique en recevant le chef spirituel tibétain sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. "Nous devons rester dans la courtoisie et l'esprit de la République laïque", a minaudé Bertrand Delanoë. Un socialiste qui fait ce qu’il dit…
Pour le béarnais, aussi inconscient que courtois, recevoir le chef spirituel tibétain, mais ignorer le pape, c’est le « respect égal pour toutes les convictions religieuses ».
Fanfan, vous me direz deux ‘Pater’ et un ‘Ave’.
Et Désirdavenir Royal, la socialiste qui va en Italie prier Dieu en cachette, aura-t-elle la courtoisie d'aller saluer son humble représentant sur terre, ou considère-t-elle que son rang et sa dignité intrinsèque la condamnent à s'adresser directement à Dieu, plutôt qu'à ses saints ?...
Sa Cynique Majesté Royal n'a toujours pas fait connaître ses intentions: n'était-elle pas plus réactive envers le dalaï lama, sous la pression de Robert Ménard et RSF?
Benoit XVI peut très bien être reçu à l'Elysée en tant que Chef d'un Etat souverrain : le Vatican.
RépondreSupprimerPour créer la polémique sur tout et sur rien, le Béarnais va-il prendre le relai de la " Dinde ?"
Tout porte à le croire...