
Jacques Chirac, appelant au dialogue, a proposé lundi que les Six (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, plus l'Allemagne) "renoncent à saisir le Conseil de sécurité et que l'Iran renonce pendant la durée de la négociation à l'enrichissement de l'uranium".
Cette position française suscite l’approbation de trois présidentiables socialistes -sauf unE- , Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn et Jack Lang, qui ont approuvé la proposition lancée par Jacques Chirac pour dissuader l'Iran de se doter de l'arme nucléaire.
Laurent Fabius a déclaré mardi : "Je juge intéressante cette position,

Dominique Strauss-Kahn considère que la proposition de Jacques Chirac est "juste". Il a expliqué mardi sur Europe 1 :"Je suis d'accord avec Jacques Chirac. En matière de nucléaire iranien, il faut être clair sur les objectifs et la méthode. L'objectif doit être pas de nucléaire militaire en Iran et la méthode doit être le dialogue jusqu'au bout",
Jack Lang, approuve également. Pour lui, "la proposition du président Jacques Chirac semble ouvrir une piste ingénieuse". "Mieux vaut s'accorder un temps de négociation supplémentaire avant de saisir le Conseil de sécurité", a-t-il dit lundi à l'AFP.

"Qu'il y ait une ouverture vers l'idée de négocier, pourquoi pas", a-t-elle dit mardi sur LCI, en posant trois questions:
- "Est-ce que nos partenaires européens ont été étroitement associés à cette initiative ?
- Est-ce qu'il est bien prudent d'afficher une position de compromis, d'ouverture à l'égard de l'Iran sans maintenir aussi fermement la possibilité de sanctions ?
- Quelle est l'étape suivante ?"
"L'ouverture du dialogue n'est jamais inutile et en même temps il faut le maintien et la preuve que le retour à une très grande fermeté est possible très rapidement", a estimé la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue.
Foireuse, elle est, foireuse, elle reste ! Préservant l’avenir, elle manifeste ses doutes et ses

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