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dimanche 8 mai 2016

2017: Montebourg prendra ses responsabilités, à commencer contre la loi travail...

...à défaut de dresser son bilan ministériel !

Si Montebourg était député, il ne voterait pas la loi travail

Le  très contesté texte de la loi travail est un "moins-disant social", explique l'ancien ministre Arnaud Montebourg. "La loi El Khomri a ce défaut méthodologique de n'avoir consulté personne" avant son arrivée à l'Assemblée nationale, fustige Montebourg, l'ancien avocat, devenu vice-président du conseil de surveillance d'Habitat et président du conseil de surveillance de NewWind, trublion français de l'énergie éolienne et solaire, dimanche sur France 2.

Voterait-il cette loi s'il était encore député? "Je ne voterais pas cette loi", répond l'ancien ministre de l'Economie, exhortant ses camarades frondeurs à suivre sa voie.

"S'il y a des responsabilités à prendre" en vue des échéances électorales de 2017, il les prendra"

C'est l'annonce du jour de l'ancien ministre du Travail (et du chômage) pompeusement chargé du Redressement productif (mai 2012-mars 2014), toujours sur France 2 dimanche, même si "le moment n'est pas venu".
Dans l'émission "13h15 Le dimanche", l'ancien avocat devenu entrepreneur décrit la politique comme "un système aujourd'hui bloqué, tombé dans le formol, en tout cas au plan national".

"Il va falloir certainement apporter un vent radical de transformation du monde politique", préconise l'ancien ministre.
Toujours membre du PS par "fidélité à ses convictions", Montebourg se positionne comme un recours du PS dans la déconfiture de Hollande et de la gauche en vue de la présidentielle de 2017. "S'il y a des responsabilités à prendre, dans une période où le pays s'interroge (...), je les prendrai", prévient Arnaud Montebourg. Mais, ajoute-t-il, "c'est une décision difficile à prendre, elle demande réflexion et travail. Je n'en suis pas là, nous n'en sommes pas là, le moment n'est pas venu", assure-t-il, bien qu'on le dise derrière le mouvement anarchiste et trotskiste "Nuit Debout", comme dans la mouvance des "frondeurs".

Ce renouveau, "je ne crois pas que ça passe par les appareils politiques", déclare Arnaud Montebourg. 
"La droite a trouvé une solution, la primaire. La gauche pour l'instant la refuse", regrette celui qui était arrivé troisième avec 17,19 % des voix, lors de la primaire de gauche de 2011, derrière François Hollande (39,17 %) et Martine Aubry ((30,42 %)), loin devant Manuel Valls (5,63 %). "La société n'est pas convoquée pour participer à la construction de la solution de l'année prochaine", déplore l'ex-ministre de l'Economie, alors que "les Français ont compris que la primaire est l'airbag anti-21 avril".

Dans un pays qui ne va, selon lui, pas mieux, contrairement à ce qu'affirme François Hollande, "vous avez besoin aujourd'hui d'un renouveau, avec des idées nouvelles, y compris iconoclastes", mais, regrette cet animateur de Nuit Debout, "l'ancienne génération dit non". 

Arnaud Montebourg s'en prend aussi à son successeur au ministère de l'Economie, le populaire Emmanuel Macron, qui s'est défini "ni à droite ni à gauche". "Je ne sais pas comment se définir avec une double négation, on ne se définit que positivement", lui rétorque Montebourg, même s'il y a "des solutions nouvelles à gauche et à droite". LIRE PaSiDupes: "Révélation: Montebourg, "principal défaut" du gouvernement !"

"Je serais prêt à discuter de ce qu'il (E. Macron, qui célèbrera la mémoire de Jeanne d'Arc ce dimanche, au côté du maire Les Républicains d'Orléans) propose", mais "je ne sais pas ce qu'il propose, je ne comprends pas ce qu'un ministre de l'Economie fait quand il fonde un mouvement politique: quand on est ministre de l'Economie, on a beaucoup de problème à régler", souligne Arnaud Montebourg, malgré son bilan.  LIRE PaSiDupes "Montebourg impute ses échecs à Bercy au "sarkhollandisme"
"

Si Montebourg était député, il ne voterait pas la loi travail

Toujours sur France 2, l'ancien ministre explique que s'il était encore député, il ne voterait pas la très contestée loi travail, un texte selon lui de "moins-disant social". "La loi [travail de Valls, portée par] El Khomri a ce défaut méthodologique de n'avoir consulté personne" avant son arrivée à l'Assemblée nationale, fustige Arnaud Montebourg.

"Pour moi, c'est une loi de moins-disant social: vous ne pouvez pas construire un contrat social en disant aux uns 'vous, on vous réduit' et aux autres 'vous, vous prenez tout'", explique
"Je ne voterais pas cette loi", répond l'ancien ministre de l'Economie de Hollande.

mardi 2 décembre 2014

Déclaration de patrimoine: Montebourg fait une plus-value de 480.000 euros sur son appartement

L'ancien ministre socialiste exemplaire met son appartement en vente 480.000 euros plus cher que ce qu'il avait déclaré en 2013...

L'ex-épouse d'Arnaud Montebourg a mis en vente leur appartement acquis en 2000
Un très joli 5 pièces de 132m2 au "4ème étage avec ascenseur d'un bel immeuble Haussmanien en parfait état donnant sur un passage classé monument historique" situé dans le IIème arrondissement de Paris, indique L'Opinion, selon l'annonce mise en ligne sur SeLoger.com.

Avantages : trois chambres, deux Salles de Bains avec WC, un dressing, deux caves, parquet massif en chêne point de Hongrie, moulures, cheminées, etc. De quoifaire le bonheur de mal-logés. Et même pas de vis-à-vis. Du bel ouvrage mis en vente pour 1.370.000 euros, soit dans la fourchette haute des prix du marché.

Le tout petit problème, c'est que cet appartement avait été évalué en mars 2013 à 890.000 euros par le ministre du redressement fiscal  productif, Arnaud Montebourg, soi-même,
selon la déclaration de patrimoine qu'il avait rédigé de sa blanche main à l'attention de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, consultable ici

La valeur de l'ancien appartement d'Arnaud Montebourg a donc augmenté de 480.000 euros en un an et demi. Ce qui fait plutôt des envieux, vu l'état du marché immobilier. 

"Une augmentation de 50% de la valeur alors qu'au cours de la dernière année le marché a baissé de 10% dans ce quartier, selon les notaires parisiens...", souligne L'Opinion.

Comme précisé à la Haute autorité pour la transparence, Arnaud Montebourg était propriétaire à hauteur de 40% de cet appartement. Les 60% restant sont la propriété de son ex-épouse Hortense de Labriffe. 

Au Lab, Arnaud Montebourg assure qu'il n'est plus propriétaire de cet appartement depuis juillet 2014. Il ajoute :
"On ne peut pas me dire que j'ai sous-déclaré la valeur de l'appartement. J'ai revendu mes parts 120.000 euros, soit très en dessous de ce que j'avais déclaré.
Et c'est à ce branquignol que Hollande avait confié les intérêts de l'industrie de la France ?

mercredi 6 novembre 2013

Restructuration chez Alstom : 1.300 emplois supprimés en Europe

1.300 "postes" supprimés en Europe

Odieuse sémantique
Le point de vue du naze de l'Elysée
"Le groupe industriel français annonce une "accélération" de ses économies"
Comment l'en blamer ?...
"Avec l’objectif d’atteindre 1,5 milliard de réductions de coûts d’ici avril 2016". N'est-ce point louable ?... 

La presse participe à cette manipulation de l'opinion 
"Ce sont près 1.300 "postes" qui sont supprimés". Ce seraient des "emplois" que ce serait plus grave mais, par chance, la gauche devrait  donc (peut-être) parvenir à éviter les drames humains: puisque l'annonce est faite en "postes", depuis mai 2012, les destructions d'emplois ne sont plus à prendre au tragique. 

Et puis, de même que les statistiques ne prennent plus jamais en compte les dix dernières années plutôt que les seuls dix-huit derniers mois, de même
le nombre de postes destruits est désormais annoncé à l'échelle européenne. Faut-il en croire que les Français sont épargnés?

Odieuses excuses autrefois irrecevables

Un méli-mélo de mesures 
Confronté à un environnement morose et à une chute de ses commandes (-22 % à fin septembre), Alstom a décidé d'accélérer son plan d'économie en cédant des actifs et en supprimant près 1.300 postes
L'objectif annoncé, ce mercredi, par le Pdg Patrick Kron, est de réaliser 1,5 milliard d'euros d'économies par an à l'horizon 2016.

Le groupe, spécialisé dans les transports et la production d'énergie, table sur une croissance de certains marchés plus faible qu'attendue ...justement "il y a 18 mois" et exactement ! 

Pour autant, ce plan intervient alors que ses résultats au premier semestre (décalé de mars à septembre) sont meilleurs que ceux anticipés par les analystes, pendant la campagne présidentielle, précisément... Même si le bénéfice a reculé de 3% à 375 millions d’euros, le chiffre d’affaires est resté stable à 9,73 milliards.

"Essentiellement en Europe". Ou notamment en France?...
Quant aux coupes dans les effectifs,  le détail des sites concernés n'a pas été dévoilé: les consignes de transparence ne sont plus ce qu'elles devaient être. Le groupe va tailler dans ses effectifs dans "un certain nombre d'activités d'Alstom Thermal Power (centrales électriques, plus de 40% du chiffre d'affaires), l'informatique et les coûts centraux". Pour Patrick Kron, son PDG, ces programmes de suppression de postes sont déjà engagés depuis quelques semaines et "sont en cours de réalisation"
"Est-ce qu'il y en aura d'autres, on verra; je ne veux certainement pas vous les annoncer avant d'en parler avec les partenaires sociaux, mais nous allons ajuster notre outil industriel où et quand il faut, au rythme correspondant à nos besoins", a prévenu Patrick Kron. Fin 2012, le groupe comptait environ 93 000 salariés, dont près de 60% en Europe. 
Alstom, emploie 93.000 personnes dans le monde, dont 18.000 en France.

Le plan d’économies intègre également un plan de cession d’actifs non stratégiques
de 1 à 2 milliards d’euros d’ici fin 2014. La vente d’une participation minoritaire à des partenaires industriels ou financiers de sa branche transport. "Cela va permettre d’accroître la flexibilité financière et de renforcer la mobilité stratégique tant pour le groupe que pour Alstom Transport", explique un communiqué du groupe. Ce mercredi matin, après l'annonce de ce plan, le titre d'Alstom enregistrait des pics avec des hausses spectaculaires de plus de 7%. 

En 2003, à l'arrivée de Patrick Kron, 60 ans et major de Polytechnique, le groupe Alstom, comptant actuellement parmi les leaders énergétiques et ferroviaires européens, frôlait la faillite. Le stratège, avec l’aide de l’Etat, a concouru au sauvetage de l’entreprise.

Et où en est le redressement de la courbe de l'emploi? Montebourg se sent-il concerné et envisage-t-il d'aider à la manoeuvre avec deux sachets de croissants?

dimanche 22 septembre 2013

Montebourg n'est pas le seul défaut de Hollande: ce n'est que l'une des taches de son gouvernement

Pour Montebourg, Sarkozy reviendra peut-être... "les menottes aux poignets" 

Montebourg ne voit de fautes et de défauts que chez les autres
 

 A Florange, Montebourg pérore à ArcelorMittal,
avec la complicité de la CFDT
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a estimé lundi 16 septembre que François Fillon a "commis une faute extrêmement grave" en conseillant, en cas de duel FN-PS, de voter "pour le moins sectaire". Son explication vaut ce qu'elle vaut: "Nous en avons tous été surpris puisque finalement il a ouvert la porte à l'arrivée au pouvoir du Front national. C'est ça qu'il a laissé entendre puisqu'il a dit que finalement, on peut voter pour le Front national", a déclaré sur France Inter le ministre, dans un effort laborieux de démonstration. 
"En m'voyant coiffé ainsi
Toutes les jolies filles s'écrient :
Oh la la, quel beau chapeau"
Je passe mon temps... soir et matin
Devant les glaces des magasins
Je me regarde... je me plais bien"
(Sacha Distel)

Elle vaut en fait surtout pour l'aveu du sectarisme du PS par le troisième larron de la primaire socialiste, car s'il voit dans cette déclaration de Fillon un appel du pied aux électeurs du FN, c'est bien qu'il est conscient du risque de pied dans le train pour les candidats du PS aux municipales de 2014. 

Le sectaire Montebourg est prompt à accuser les siens
"Ségolène Royal n'a qu'un seul défaut c'est son compagnon", juge-t-il dans l'émission "Le grand journal de Canal +", diffusée le 17 janvier 2007 : lien video
"Hollande, c'est le principal défaut du Parti socialiste", affirme Nono : lien video

The New York Times, le quotidien US préféré de Obama, consacre un portrait flatteur du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg. 

Un article écrit par une journaliste visiblement démocrate, face à laquelle Montebourg s'est à nouveau a  laissé aller à sa subjectivité sur Sarkozy...

Arnaud Montebourg a lâché une phrase sur Nicolas Sarkozy qui risque de secouer les rangs de l'UMP... et lui valoir par la même occasion une plainte en diffamation...

"Les menottes aux poignets"
A la question "Nicolas Sarkozy peut-il revenir en politique ?" il répond : "Peut-être... peut-être les menottes aux poignets." Il aurait répondu sur le ton de l'humour, "l'air malicieux" selon la journaliste.

Peut-être a-t-il voulu se mettre en valeur face à la journaliste tombée sous le charme ? L'article dresse en effet un portrait du ministre façon "héros romantique", grand et élégant... rappelant, au début de l'article, qu'il serait "un fantasme d'amour de vacances" selon un sondage d'un magazine, Elle, pour les femmes de 50 à 65 ans, qui appelait à voter Hollande, croyant en .

La Présidence, malgré ses échecs, il n'y renonce pas... 
...pas plus qu'une Ségolène !
A la différence de la journaliste en crise fantasmatique de la quarantaine, il faudrait passer sur sa campagne folklorique du "Made in France", l'échec de sa relation avec Audrey Pulvar et son impuissance politique dans le redressement des entreprises en difficultés, tels Florange, et ne pas nous désintéresser de ses ambitions d'avenir, puisque le présent ne lui sourit pas et que nous avons déjà donné. 
Montebourg en ringard à Solex,
avec moteur électrique assisté,
pour les ascensions délicates
Car Arnaud Montebourg semble toujours convoiter le poste du Président tout mou comme lui. Il lui est passé sous le nez après son échec à la primaire socialiste avant d'entamer sa marche ministérielle chaotique, tour à tour séducteur de cage d'escalier et aboyeur de caravanes qui passent, mais toujours grand-quignolesque. "J'ai échoué la première fois, mais cela ne signifie pas que je vais échouer la seconde", se plaît à rêver la Ségolène Montebourg à l'heure du rasage de sa barbe rare.

Matador ou schizophrénie ?
Ses coups de menton pour redresser l'industrie, ses coups médiatiques de petit mitron distributeur de croissants aux syndicats campant sous ses fenêtres, ses coups de gueule après les grands patrons de l'industrie (Mittal ou Peugeot), ses coups bas décriés jusqu'au sein du gouvernement, à l'encontre de Moscovici, par exemple... rien n'éclaire pourtant la journaliste qui le portraiture outra-atlantique en "matador, en contrastant avec la fadeur de Hollande". La dame qui n'a dû le voir qu'en photo balaie d'un trait de plume humide les coups de pute de ce dur à la chair molle: de ce procureur général à l'encre rouge, on peut citer la pitoyable lettre que le fourbe a envoyé à l'AFP en faisant croire qu'elle n'est destinée qu'au PDG de PSA: le site PSA d'Aulnay-sous-bois va fermer, éjacule-t-il précocément.
Le valet d'un vrai pied
Le coup 
dans le dos de la missive est une constante chez les métro-sexuels du PS: Valls n'a-t-il pas eu recours à cette pratique vertueuse pour torpiller la réforme pénale de sa camarade Taubira auprès du gros mou ?
Montebourg n'a qu'une maîtrise très partielle de son instrument. "Il me serait agréable en conséquence que vous précisiez [précisassiez?] rapidement votre méthode de concertation". Ce qui frustre ses relations, c'est que toute la communication autour de ce ministère du Redressement productif est conçue autour de l'image d'un Etat tout-puissant, sur lequel nombre d'entreprises françaises laissées pour compte, notamment les plus modestes, s'accrochent. Montebourg incarne la gauche qui monte dans les tours de l'idéologie ringarde pour se retrancher de la réalité et déverser la poix de ses jugements et invectives sur les combattants au sol.
Bien que, dans une vie antérieure, elle ait pu être impertinente, la journaliste se livre à une ultime courbette profonde devant ce parangon de virilité épanouie. Il faut être américaine et avoir le degré zéro de l'incompétence pour qualifier Montebourg de "champion de ceux qui attendent un Charles de Gaulle de gauche" ! Mais un article qui finira probablement photocopié, encadré dans les bureaux du troisième étage de Bercy, où se trouvent les bureaux du redresseur improductif et proposé par les écoles du journalisme indépendant... Couchés aux pieds de Ruth Elkrief, outre le quinqua paradeur, Alain Marschall, jumeau adipeux de Montebourg et chien de garde du PS sur BFMTV, les roquets Adrien Gindre, rédacteur-reporter titulaire et Jérémy Brossard ou François-Xavier Ménage sont de ces journalistes flagorneurs de la génération Hollande qui ont dû sécher les cours de déontologie professionnelle, niveau élémentaire, pour suivre ceux du bon petit cireur de pompes.

Pourquoi la contestation sociale des réformes est-elle atone? 

La "reine d'un jour  gouvernement"
L'humoriste Gaspard Proust a exprimé le ressenti des Français face à un François Hollande éperdu et occupé à leur faire avaler des couleuvres avec la complicité des Montebourg des sournois la "gauche sociale" en embuscade et des media, telle Canal+ dans l'émission de Thierry Ardisson "Salut les Terriens !". Vaut-il mieux en rire, comme cette sénatrice PS, Marie-Noëlle Lienemann. 

Ironisant sur les usines à gaz des réformes engagées par François Hollande, il a provoqué un énorme fou rire chez plusieurs invités. 
"Si les réformes ne sont pas contestées, c'est que personne ne les comprend."

L'élue socialiste a même eu du mal à dissimuler son hilarité lorsque Gaspard Proust a lancé : "Non mais, moi, quand je l'entends parler [Hollande], je me dis : non mais là il a mis de vaseline ou pas ?"…

VOIR et ENTENDRE Gaspard Proust exprimer son ressenti aux propos de "la  la fine de clair n°6" de l'Elysée:



dimanche 8 septembre 2013

Hollande aura bientôt ses anciens combattants de Syrie à l'Arc de Triomphe

Près de 300 Français, selon des spécialistes du renseignement.

Ils combattent à l'étranger, plutôt que de redresser la production de leur pays
Français musulmans que l'islam détourne
du redressement productif de la France

On parle peu de ces Français qui combattent aux côtés des rebelles djihadistes en Syrie. 
Le service public a même pour mission de minimiser le phénomène: ils ne seraient que quelques dizaines, à en croire France 2 ! 
"Cinquante et peut-être plus sont encore sur place, selon le ministre de l'Intérieur Manuel Valls. Quarante sont en transit et une trentaine seraient revenus et, en tout cas, sous la surveillance de nos services." 

Voici deux frères Français au teint clair qui ont pris les armes au nom d'Allah et, qui sait, au nom de Hollande.
VOIR et ENTENDRE le 20h00 de France 2 du 18/07/2013:


VOIR et ENTENDRE un reportage de M6 sur la préparation au combat d ces Français qui ont pris les armes en Syrie:

Que connaissent-ils pour leur part des gaz chimiques ?

Pris en charge  par la solidarité nationale au retour 


Ou futurs braqueurs aguerris au maniement des armes ?

lundi 26 novembre 2012

Montebourg veut bouter Mittal hors de France

Comme Pulvar l'a répudié, Montebourg veut chasser Mittal 

Montebourg, guerillero de Hollande, multiplie les agressions



Le Che Montebourg
barbe et béret
"made in France"

Peu importe le "riche" milliardaire ?

A dix jours de l'expiration du délai pour trouver un repreneur à Florange, Arnaud Montebourg a haussé le ton jeudi contre Mittal en menaçant à mots couverts de nationaliser, le site mosellan au moins temporairement. Le 1er octobre, ArcelorMittal avait en effet annoncé son intention de fermer la filière liquide du site (la production d'acier brut à partir de minerai de fer et de charbon) et avait laissé 60 jours au gouvernement pour trouver un repreneur pour les installations qu'il ne souhaitait plus exploiter.

La veille, le ministre du redressement productif avait annoncé que 
le gouvernement avait reçu deux "offres et marques d'intérêts" pour le site lorrain mais sur un périmètre plus vaste que prévu initialement. Selon Le Monde et France Inter, l'un des deux repreneurs potentiel serait le russe Severstal, détenue majoritairement par le... milliardaire russe Alexeï Mordachov, rival de l'Indien Lakshmi Mittal, lorsqu'en juillet 2006 celui-ci racheta Arcelor, groupe né de la fusion, en février 2002, de trois sidérurgistes européens : Aceralia (Espagne), Arbed (Luxembourg) et Usinor (France).

Le quotidien affirme encore que l'autre est le français
Ascometal, ancienne filiale de Severstal désormais contrôlée par le fonds d'investissement américain Apollo Group. Interrogé, Severstal a refusé de commenter ces informations..




Montebourg réclamait à Mittal d'inclure dans la cession non seulement la filière liquide, qu'ArcelorMittal souhaite fermer, mais également les autres installations, notamment de traitement et finition de l'acier, dont le groupe ne souhaite pas se séparer.

Jeudi au Sénat, le ministre a même évoqué une possible nationalisation.

 "L'éventualité d'un contrôle public, même temporaire, doit faire l'objet d'une étude sérieuse par le gouvernement, et c'est (...) ce à quoi nous nous sommes attelés depuis plusieurs mois", a déclaré le ministre en réponse à une question du sénateur socialiste Jean-Marc Todeschini. Ce "contrôle public temporaire" fait écho à la nationalisation demandée par un certain nombre de responsables politiques et syndicaux, et jusqu'ici exclue par le gouvernement.

Dans cette hypothèse, qui "doit faire l'objet d'une étude", souligne l'entourage du ministre, il ne s'agirait que de reprendre la main pour ajuster le périmètre et le vendre
in fine, à un tiers.


Le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg ne veut plus de Mittal en France

Le matamore le clame dans un article publié dimanche sur le site internet du quotidien économique Les Echos. Il chercherait un partenaire industriel pour en prendre le contrôle temporaire.



"Nous ne voulons plus de Mittal en France parce qu'ils n'ont pas respecté la France", accuse le redresseur improductif, qui avait déjà déclaré jeudi devant le Sénat que "le problème des hauts-fourneaux de Florange, ce n'est pas les hauts-fourneaux de Florange, c'est Mittal". En 2007, Montebourg s'en prit déjà, dans le même esprit au concubin de sa candidate: " Ségolène Royal n’a qu’un seul défaut, c’est son compagnon !"

A noter que la constance du PS à "salir" ses opposants 

Dans son impuissance, le gouvernement de Hollande a déjà pratiqué la stigmatisation du "comportement" de la famille Peugeot.

"Les mensonges de Mittal depuis 2006 sont accablants", ajoute-t-il aux Echos soulignant qu'il "n'a jamais tenu ses engagements" vis-à-vis de l'Etat français. 

Le ministre a confirmé aux Echos travailler à un projet de "nationalisation transitoire" de Florange. Selon le quotidien, "l'idée serait une association avec un opérateur industriel, minoritaire dans le capital le temps de stabiliser l'activité".Dans son discours du 14 juillet, le président français s'est montré particulièrement virulent à l'égard de la direction du groupe PSA Peugeot Citroën: François Hollande l'avait déjà accusée de "mensonge".

Montebourg hausse le ton contre Mittal
A moins d'une semaine de la fin du délai, samedi 1er décembre, le redresseur improductif aurait deux offres de reprises mais qui ne cadrent pas, car sur un périmètre plus large que celui mis en vente par Mittal.


19 octobre 2012, " à ma connaissance Arcelor Mittal n'est pas un canard boiteux, c'est une grande entreprise", avait déclaré le président Hollande. Qu'en a-t-il fait depuis ?

dimanche 29 juillet 2012

Hollande et Montebourg menacent Peugeot, entreprise française

Riposte de Thierry Peugeot aux attaques de Montebourg




Montebourg, accusateur public




François Hollande a profité la malencontreuse date symbolique du 14 juillet pour tenir des propos très durs à l’encontre du Groupe français PSA Peugeot-Citroën. 

Mais ce sont surtout les critiques de l’aboyeur Arnaud Montebourg qui ont conduit la famille Peugeot à monter au créneau..
Nous sommes prêts à accepter la critique mais il y a des limites. " Le président du conseil de surveillance de PSA, Thierry Peugeot, a directement répondu au gouvernement dans une interview au quotidien " Le Figaro " publiée vendredi 20 juillet. 
François Fillon et Jean-François Copé sont eux aussi intervenus pour dénoncer le comportement du ministre-fossoyeur, dit du "redressement productif", Arnaud Montebourg.

Thierry Peugeot contre-attaque.


ENTRETIEN - Le président du conseil de surveillance de PSA Peugeot Citroën déplore la façon dont sont traités le groupe et sa famille par le gouvernement.Thierry Peugeot, 56 ans, est président du conseil de surveillance de PSA Peugeot Citroën. Quelques jours après les critiques du président de la République contre "le comportement des actionnaires" [français], amplifiées par les déclarations d’Arnaud Montebourg [contre une entreprise française], le principal représentant des Peugeot au sein du groupe défend la position de la famille.

LE FIGARO. - Comment réagissez-vous aux attaques du gouvernement contre la famille Peugeot, premier actionnaire du constructeur?
Thierry PEUGEOT. - Au-delà de ma propre réaction et de celle de ma famille, c’est tout le groupe qui vit mal ces attaques et qui se sent visé: le conseil de surveillance, le directoire, l’ensemble du personnel, les concessionnaires, les actionnaires, les fournisseurs et même nos clients. Au restaurant d’entreprise, les salariés m’arrêtent, ils sont choqués, dans l’émotion. Je reçois des messages d’anciens dirigeants. Ce qui nous choque, c’est la manière dont l’ensemble du corps social est traité. Cela crée un fort sentiment d’injustice.
Quels propos vous semblent les plus injustes?



Citroën DS5 Hybrid4 Découvrable de F. Hollande





Il y a des mots que je n’ai pas aimés et qui ont été répétés: "mensonge" et "dissimulation". Nous sommes prêts à accepter la critique, mais il y a des limites. Il existe dans ce groupe une vraie passion, une fierté, une ambition forte. PSA Peugeot Citroën est le deuxième constructeur européen: c’est un constructeur qui a un potentiel énorme, un vrai savoir-faire. Nous sommes par exemple les seuls à avoir mis sur le marché la technologie hybride diesel, un produit d’avenir. Créé au pays de Montbéliard [dont Pierre Moscovici, actuel ministre socialiste des Finances, fut un député !...] il y a deux cents ans, le groupe s’est constamment développé pour devenir ce qu’il est. Il emploie aujourd’hui 200.000 personnes dans le monde, dont la moitié en France.
Comprenez-vous l’émotion que suscitent vos annonces?
Nous sommes bien conscients de la gravité du plan de 8000 suppressions d’emplois. Ces mesures sont douloureuses, je comprends qu’elles puissent choquer au sein de l’entreprise, du gouvernement et dans l’ensemble du pays. Mais nous sommes des gens responsables, des industriels, des entrepreneurs. Nous avons des valeurs d’humanisme et de respect, sur lesquelles le groupe s’est construit durant toute son histoire. Nous ferons en sorte que ces valeurs soient appliquées dans la mise en œuvre du plan.
Comment justifiez-vous ce vaste plan de restructuration?
Le groupe traverse une crise extrêmement violente, due au fait que le marché européen s’est effondré de 25% en cinq ans. Et comme il s’agit de la zone où nous sommes le plus présents, nous souffrons, d’autant que la concurrence est très forte. Dans ce contexte, nous sommes dans l’obligation de nous adapter, nous ne pouvons pas rester sans rien faire. Tout au long de son histoire, le groupe s’est toujours adapté aux circonstances pour assurer sa pérennité.
La stratégie du groupe est remise en cause, continuez-vous à la défendre?
Je suis convaincu que nous devons devenir un groupe mondial et réussir notre montée en gamme. Il n’y a pas d’autre stratégie possible. Nous avons désormais deux coentreprises en Chine. Évidemment, nous n’y avons pas la part de marché que nous souhaiterions, mais le développement international ne peut pas se faire du jour au lendemain. Par ailleurs, la DS3, symbole du haut de gamme à la française, lancée en 2010, est un succès.
Arnaud Montebourg a reproché à la famille Peugeot d’avoir touché 78 millions de dividendes en 2011, alors que le plan de restructuration semblait en préparation, selon un document interne…
Les actionnaires sont d’abord des investisseurs. Notre priorité a toujours été de développer le groupe. PSA Peugeot Citroën n’aurait jamais existé si nous étions restés à Sochaux. Mais nous sommes aussi des gens responsables: à chaque fois que le groupe a été en difficulté, il a suspendu le versement de dividendes à ses actionnaires. Cela a été le cas en 2009 et en 2010, au titre des exercices précédents. En 2011, l’entreprise a versé des dividendes car les résultats de l’exercice 2010 étaient bénéficiaires.

L’effondrement du cours de Bourse de l’entreprise, qui a perdu les trois quarts de sa valeur en un an, vous inquiète-t-il?
Oui, cela m’inquiète. Le groupe familial a 25% du capital, mais il faut aussi se mettre à la place des actionnaires, qui détiennent les 75% restants. Si le cours a chuté autant, c’est que les attaques dont le groupe fait actuellement l’objet ont un effet immédiat sur leur perception du groupe. C’est une situation qui est dangereuse. La capitalisation boursière aujourd’hui de 2,3 milliards d’euros est extrêmement faible et n’a rien à voir avec les capitaux propres de l’entreprise.

Redoutez-vous une OPA?
Tout est possible. Il faut donc agir.

Est-ce parce que la famille ne souhaitait pas se diluer que PSA a tant tardé à mettre en place une alliance?
Le groupe familial n’a jamais été contre une alliance. En 1974, nous avons racheté Citroën, ce qui n’était pas évident, puis en 1978 les trois filiales de Chrysler Europe. Notre participation est d’ailleurs alors tombée quelques années plus tard à près de 20 %. Nous avons aussi fait le choix d’aller chercher à l’extérieur les meilleurs dirigeants, tous à très forte personnalité. Enfin, l’actionnariat familial est un pilier de l’édifice du groupe, un véritable atout. Peugeot a besoin d’un actionnaire de référence. C’est un élément de stabilité pour les dirigeants, les salariés, les concessionnaires et même nos partenaires étrangers, car nous avons une vision à long terme. [La reine, en Angleterre]

Votre alliance avec General Motors, critiquée par le gouvernement, n’arrive-t-elle pas trop tard?
C’est toujours facile de faire ce genre de reproche. Avec le japonais Mitsubishi, en 2010, cela n’a pas abouti. L’alliance avec General Motors est une véritable opportunité, avec une part de défi, ne serait-ce qu’à cause des différences culturelles. Mais il y a un vrai potentiel, de vraies synergies possibles. C’est un excellent choix.

Seriez-vous prêt à diluer encore la participation de la famille si cela était nécessaire à la survie du groupe?
Cela n’est pas à l’ordre du jour. Il faudrait étudier la question en fonction des opportunités.

Y a-t-il des dissensions au sein de la famille au sujet de Philippe Varin, le président du directoire?
Il n’y a pas de dissension au sein de la famille. Il y a l’unanimité totale. Et le conseil de surveillance a clairement exprimé son soutien à Philippe Varin, début juin.

Certains membres de la famille sont-ils exilés fiscaux?
Comme je l’ai déjà dit, j’habite en France, et je paie mes impôts en France. Tous les membres de la famille qui siègent au conseil de surveillance de PSA ou au conseil d’administration du holding FFP, ainsi que tous ceux qui travaillent dans le groupe, vivent en France et y payent leurs impôts. Au total, plus de 90 % des actionnaires de la famille paient leurs impôts en France. [Peut-on en dire autant de l'entourage militant du président Hollande et du PS ?]
Je suis à la fois inquiet et optimiste. Ce n’est pas la première fois que nous traversons une période difficile. Le groupe s’en est toujours sorti. Je suis optimiste sur son développement international et sur son potentiel, même en Europe. Il y a sur ce continent des millions de consommateurs exigeants, or nous proposons les meilleures voitures au monde sur le créneau des petits et moyens modèles. Au milieu des années 1980, la crise était au moins aussi forte. À l’époque, nous avons été sauvés par la 205.

Pour certains, le groupe paie sa trop forte présence en France.
Tout d’abord, je n’aime pas cette expression. Nous sommes un groupe international, européen, très attaché à son ancrage en France et à ses origines. Nous avons 16 établissements industriels en France, dont 6 usines de voitures. [Et Renault ?] Mais nous avons aussi fait le choix de nous développer à l’international. Il n’y avait pas d’autre stratégie possible.

Fillon et  Copé dénoncent l'agressivité du gouvernement partisan







Cobra royal crachant



" Montebourg c’est l’arrière qui tire dans le dos !.. "
Dans le même temps, François Fillon et Jean-François Copé ont sévèrement rappelé à l'ordre le destructeur ministre du "Redressement productif". 
"Montebourg, c'est l'arrière qui tire dans le dos de ceux qui sont au premier rang du combat" économique, a lancé François Fillon vendredi matin sur Europe 1. "Quelle est cette attitude qui consiste à taper sur une entreprise, à la dénoncer, à émettre des soupçons, alors que cette entreprise est aux premières loges dans le combat de la mondialisation?" a encore lancé l'ancien Premier ministre, selon qui, l'attitude du gouvernement dans ce dossier est "irresponsable". Et dangereuse ?
" Pour l’instant Montebourg n’est pas en train de redresser grand chose !.. " Jean-François Copé s'est montré tout aussi incisif sur France 2. "Mettre à ce point en cause l'image d'une entreprise (...) pour le plaisir d'expliquer que ça ne peut être que la faute d'un patron, comme on dit au PS, c'est menacer en fait des milliers d'entreprises, des milliers d'emplois", a  mis en garde le secrétaire général de l'UMP. Qu'un "ministre de l'Industrie socialiste" considère que "son fonds de commerce, c'est taper sur les employeurs", cela revient à "fragiliser" l'économie française, a-t-il observé. 
Et de prévenir : "Je dis attention! M. Montebourg est en train de porter atteinte à notre économie", a poursuivi Jean-François Copé en raillant l'intitulé du portefeuille d'Arnaud Montebourg, ministre du "Redressement productif" : "Pour l'instant, il n'est pas en train de redresser grand chose", a-t-il affirmé.