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samedi 30 juillet 2011

Règle d'or américaine: Obama ne convainc pas le Congrès

Aubry refuse à la majorité ce qu'aux USA Obama réclame aux Républicains

Barack Obama, lui aussi, buveur de bière

Les démocrates américains, droit au gouffre, comme les socialistes grecs !

Engagé dans un bras de fer avec les républicains pour régler la crise de la dette, le président des Etats-Unis tente d' afficher un certain optimisme. Il vit à l'inverse le refus qu'oppose le PS à Nicolas Sarkozy.
Lien PaSiDupes

Contraint à des négociations ardues pour éviter un défaut de paiement des Etats-Unis, pratique la méthode Coué, estimant que les deux parties n'étaient "pas si loin l'une de l'autre", devant micros et caméras et sur le Web .

Le président minoritaire souligne la nécessité d'un accord qui aurait "le soutien des deux partis qui ont été envoyés (au Congrès) pour représenter le peuple américain, et non pas seulement d'une fraction d'un parti". La date fatidique du 2 août se rapproche et le compromis n'est pas encore trouvé.

Pour faire pression sur les élus républicains, Barack Obama a de nouveau misé sur l'Internet ce vendredi et tenté une offensive sur Twitter, en incitant les internautes à impressionner leurs élus. Mais, affirme Daily News, cette opération lui aurait fait perdre 40 000 "followers' (abonnés à son compte Twitter).
Et la prochaine élection présidentielle américaine aura lieu le mardi 6 novembre 2012.

Aux abois: "Nous n'avons presque plus de temps"

Vendredi, le Sénat a encore nettement rejeté, par 59 voix contre 41 un texte" des républicains de la Chambre. Un amendement qui voulait relever le niveau d'endettement autorisé et pris des mesures pour pousser son propre plan. Peu avant, la Chambre des représentants américaine avait adopté le plan républicain par 218 voix contre 210.
Dans la foulée du vote de la Chambre basse, la Maison Blanche a publié un communiqué: " Maintenant que cette nouvelle manoeuvre politique est derrière nous, au moment où le temps vient à manquer, les chefs (du Congrès) doivent commencer à travailler ensemble immédiatement afin de parvenir à un compromis qui évite un défaut de paiement et établisse la base d'une réduction équilibrée des déficits ".

" Nous n'avons presque plus de temps ", a dramatisé Barack Obama lors d'une intervention télévisée, en appelant les Américains à " maintenir la pression " sur leurs élus à Washington pour qu'ils trouvent une solution rapide à la crise actuelle.

La ré-élection du président Obama en balance

Selon un nouveau sondage publié par l'institut Gallup, l'impasse budgétaire entame
la popularité du président Obama, qui est tombée à 40% contre 50% début juin.

Obama n'est pas à la hauteur

41% des personnes interrogées estiment que M. Obama a mal géré le blocage au Congrès sur le relèvement du plafond de la dette, actuellement fixé à 14.294 milliards de dollars, qui met Washington au bord du défaut de paiement, avec de possibles répercussions sur l'économie mondiale. Selon un sondage Gallup récent, la cote de popularité du Congrès ne dépasse pas 18%. Chez les démocrates, la cote de M. Obama est de 72% contre 13% chez les républicains et 34% chez les électeurs non affiliés à un parti. Le démocrate Barack Obama devint à 47 ans le 44e président américain.

Premier président 'noir' (bien que métis)
Une grande émotion traversa la planète en 2008. "La face du monde est en train de changer", assuraient les gauches... C'était le début de l' 'Obamania' et Désirdavenir Royal déclara retrouver "beaucoup de ses convictions" chez Barack Obama.Lui seul pouvait remettre l'Amérique, mais aussi le reste du monde, sur les rails. « C'est notre chance de changer le monde », a-t-il lui-même martelé pendant quelques mois.

En swahili,« Barack » veut dire « béni des dieux ».
God bless America !

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