Bernard Accoyer souligne que les députés ne sont pas restés les "bras ballants.
" 42 textes adoptés, dont la loi sur les violences faites au femme, la Poste, les entrepreneurs individuels, la formation professionnelle. On parle des incidents, des polémiques, mais de fait, les députés ont beaucoup travaillé..."
Les pseudos "révélations" de Claire T.
Elles ont empuanti la fin de session parlementaire, déplore-t-il. Le système parlementaire a en effet souffert de la publication par Mediapart, le site internet d'information payante dirigé par le trotskiste Edwy Plenel, qui aurait été préparée avec la complicité d'Arnaud Montebourg (PS), et publiquement "certifiées" par Eva Joly, une eurodéputée Europe Ecologie proche de Dany-le-rouge.
Bernard Accoyer a dénoncé cette nouvelle polémique politicienne construite artificiellement. "Les français sont confrontés à la crise et on leur parle d’autre chose. C’est très malsain."
Le responsable principal, selon lui, c’est l'Internet et singulièrement l'un de ses sites d'information payante (que B. Accoyer ne nomme pas, mais que tout le monde a "décrypté"...) et "la vitesse à laquelle les rumeurs y sont propagées"...
Lire PaSiDupes sur les rétractations partielles de la source de Mediapart
Concernant la requête de l’opposition d’installer une commission d’enquête parlementaire sur l'affaire Bettencourt à laquelle l'opposition a mêlé le couple Woerth. À la surprise générale, Bernard Accoyer l’avait jugée "recevable", mais il précise aujourd'hui qu'il n’y est pas pour autant "favorable".
Enfin, cette session a été marquée par l'indépendance de tel ou tel courant de la majorité face au gouvernement, reconnaît Bernard. Des divergences, qui tiennent aux hommes et aux circonstances, analyse le président de l'Assemblée. Les media saluent le "débat participatif" lorsqu'il est artificiel, tel que mis en scène par Désirdavenir Royal dans sa brillante campagne présidentielle 2007, mais ne le reconnaît pas à droite, sauf pour en souligner les dommages collatéraux.
VOIR ET ENTENDRE le président de l'Assemblée Nationale dresser un bilan de la session qui s'achevait :
Bernard accoyer, président de l'assemblée nationale, 150710.
envoyé par FranceInfo
Son accusation du 15 juillet 2010 de sites internet d'information, tel Mediapart, constitue une menace sur la blogosphère.
Concernant la requête de l’opposition d’installer une commission d’enquête parlementaire sur l'affaire Bettencourt à laquelle l'opposition a mêlé le couple Woerth. À la surprise générale, Bernard Accoyer l’avait jugée "recevable", mais il précise aujourd'hui qu'il n’y est pas pour autant "favorable".
Enfin, cette session a été marquée par l'indépendance de tel ou tel courant de la majorité face au gouvernement, reconnaît Bernard. Des divergences, qui tiennent aux hommes et aux circonstances, analyse le président de l'Assemblée. Les media saluent le "débat participatif" lorsqu'il est artificiel, tel que mis en scène par Désirdavenir Royal dans sa brillante campagne présidentielle 2007, mais ne le reconnaît pas à droite, sauf pour en souligner les dommages collatéraux.
VOIR ET ENTENDRE le président de l'Assemblée Nationale dresser un bilan de la session qui s'achevait :
Bernard accoyer, président de l'assemblée nationale, 150710.
envoyé par FranceInfo
Son accusation du 15 juillet 2010 de sites internet d'information, tel Mediapart, constitue une menace sur la blogosphère.
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