POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mardi 27 juillet 2010

Représailles à Grenoble: nos policiers menacés de mort

La racaille défie la loi et l'ordre public

Fatwa des malfaiteurs contre la police

Les policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC), qui ont intercepté le braqueur tué en tentant de forcer un contrôle de police le 16 juillet dernier,
ont reçu des menaces de mort "totalement indignes et bien réelles", a fait savoir le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux. Ils ont été mis au repos.
Les barbares en sont restés à la loi du Talion: lire PaSiDupes
Des mesures ont été prises pour protéger les familles des policiers de Grenoble menacés de mort après la fusillade dans le quartier de La Villeneuve, ainsi que pour retrouver les auteurs de ces menaces, déclare François Fillon.

Conséquences de la politique de prévention socialiste

Invité sur Europe 1, le Premier ministre a estimé que ces menaces montrent "le caractère très vain des polémiques sur les affaires de police de proximité". Le décès du braqueur n'est donc pas seulement à l'origine de plusieurs nuits d'émeutes dans le quartier de La Villeneuve à Grenoble, dont le maire socialiste est Michel Destot.
Lire PaSiDupes sur la satisfaction du PS et du FN
Karim Boudouda, âgé de 27 ans et déjà condamné trois fois en Assises pour vol à main armée, a trouvé la mort dans la course-poursuite à la suite de l'attaque du casino d'Uriage-les-Bains, près de Grenoble. Avec son complice, il s'était fait remettre, sous la menace d'armes lourdes, le contenu de la caisse alors que l'établissement était bondé.
Grenoble, déjà en avril 2010: lire PaSiDupes

Tel est aussi le bilan de l'Education nationale

Les mauvaises habitudes se prennent dans l'enfance et à l'adolescence, en période de scolarisation.
L'école joue-t-elle pleinement son rôle ?
En se massifiant, elle a donc dû renoncer à instruire pour se consacrer, on le sait, à l'éducation des jeunes issus de la diversité. A force de cultiver leur différence, l'idéologie dominante n'a pas réussi à les intégrer.

Les voyous s'en prennent aux familles


François Fillon a affirmé qu'il ne s'agissait pas de protéger les policiers mais leurs familles.
"On est en face de gens extrêmement dangereux, extrêmement violents, et donc nous allons donc devoir répondre avec une extrême détermination", a-t-il dit.

Hors-la-loi à mettre hors d'état de nuire
"On met les familles qui sont menacées à l'abri mais on met en même temps beaucoup de moyens pour retrouver les auteurs de ces menaces", a-t-il ajouté.
“Nous avons décidé, avec le directeur général de la police nationale (Frédéric Péchenard) et le directeur central de la Sécurité publique (Jacques Fournier) de mettre en place des dispositifs particuliers pour les mettre en sécurité ainsi que leurs familles”, explique le ministre.
“A partir du moment où c’est un bandit chevronné qui est mort sur cette intervention, le milieu du grand banditisme et les bandes veulent venger sa mort”, raconte un syndicaliste policier. Soit !

Des syndicats de police banalisent
Comme si cet état de fait était acceptable, des syndicalistes ont souligné récemment que ce type de menaces était courant dans les banlieues sensibles, raison pour laquelle les organisations recommandent aux fonctionnaires de ne pas vivre à proximité de leur lieu de travail.
Merveilleux, au moment où la CGT-Pénitentiaire s'agite sur la question de la proximité des prisons avec les familles de détenus. Lire PaSiDupes: article précédent

1 commentaire:

  1. Vous n'avez pas remarqué que tous ces petits caïds des quartiers ne se permettent pas de déconner en Corse? Ils ne se hasardent pas non plus à se rendre au Pays basque?!
    Pauvre Sarko si tu savais où tu conduit notre France!

    RépondreSupprimer

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):