"Crime (à connotation) politique" (dégueulasse, selon ...Mediapart), selon Valls ou Boutih et Marianne ou Mélenchon
Ces belles consciences ont-elles à se faire pardonner ?
Manifestation de "soutien" (sic) à Clément Méric, mort à Paris le 6 juin: des anarcho-révolutionnaires rendent ici hommage au terroriste italien Dax
Une hystérie collective s'est emparée de la gauche à la suite de la mort d'un activiste à Paris. Ce sursaut fugitif de moralité chez les politiques et dans les media porteurs de haine relève pour le moins de l'indécence, voire de la provocation.
Cet édifiant comportement fait évidemment monter la nausée, mais il paraîtrait que les cons osent tout, et que c'est même à ça qu'on les reconnaît. Cette débauche de sentiments d'horreur de l'Autre est inversement proportionnelle à l'énergie militante déployée depuis six ans et plus pour opposer et dresser les Français les uns contre les autres, la gauche contre la droite et les extrémistes respectifs notamment. Certains, poings serrés levés étant toutefois plus respectables que les autres puisqu'ils sont susceptibles d'apporter des voix au pot socialiste: au PS on n'est pas regardant! D'autant que le PS agit également en sous-main pour faire gagner contre l'UMP des candidats FN aujourd'hui montrés du doigt. Hollande et Valls ont accusé les Cathos d'extrémisme et en attendant de dissoudre l'Eglise, annoncent leur détermination à interdire pour l'exemple un groupuscule d'extrémistes de droite, tout en épargnant des groupes de gauche, des révolutionnaires anarchistes tout aussi violents, capable de mettre une ville à sac.
Les bonimenteurs se pressent tous au rendez-vous des micros et caméras et des pleurs coulent même sur tel plateau (LCP), sous l'oeil sec des commentateurs vertueux parisiens. Le Front de gauche avait d'ailleurs osé répondre à l'invitation du délicat Arnaud Ardoin en dépêchant l'une des fines fleurs du parti, Martine Billard, front bas, regard bovin et dialectique en rapport: elle n'est peut-être pas en effet la plus bornée du lot stalinien...
En l'entonnant, les élèves de Sciences Po ont osé salir le Chant des partisans en hommage à la victime d'une idéologie totalitaire.
Les bonimenteurs se pressent tous au rendez-vous des micros et caméras et des pleurs coulent même sur tel plateau (LCP), sous l'oeil sec des commentateurs vertueux parisiens. Le Front de gauche avait d'ailleurs osé répondre à l'invitation du délicat Arnaud Ardoin en dépêchant l'une des fines fleurs du parti, Martine Billard, front bas, regard bovin et dialectique en rapport: elle n'est peut-être pas en effet la plus bornée du lot stalinien...
En l'entonnant, les élèves de Sciences Po ont osé salir le Chant des partisans en hommage à la victime d'une idéologie totalitaire.
De sympathiques anti-républicains taguent impunément un mur de Paris dédié à Dax !
C'est dire à quel point les références historiques de l'élite supposée de la nation sont superficielles et réductrices. Ces étudiants privilégiés s'approprient un bien commun dont les cheminots ou les Justes sont des détenteurs légitimes et dignes.
Côté cour -ou cimetière de la scène de la vie- le mauvais exemple était venu d'une riche icône socialiste, malgré son sectarisme hargneux: parmi les tout premiers Pierre Bergé avait pris rang dans l'odieux en déversant ses immondices en forme d'injures et d'invectives. La sagesse ne vient pas avec l'âge quand, avec l'accès au pouvoir, l'argent cause la perte de toute mesure et respect, faisant le lit de la haine affichée sans retenue ni honte.
Les media mercantiles n'ont donc encore pas trouvé en eux les ressources qui les auraient gardés de franchir les barrières de la déontologie. Ils ont donc laissé libre cours aux acteurs indignes de la vie politique et médiatique. Tous ensemble, animés de vils sentiments, ceux à qui la notion de respect est étrangère ont rompu le délai de décence qui suit la mort d'un homme.
L'hystérie collective qui s'est emparée des media honore-t-elle la mémoire des Résistants en mêlant les motivations les plus nobles aux plus basses ? Toute violence est-elle équivalente ? Et la mort de l'activiste venimeux vaudra-t-elle jamais celle du patriote qui fait don de sa vie au pays? Les démocrates font confiance aux hommes, mais les révolutionnaires les ont en détestation: ils préfèrent les idées et les chimères.
Ce déferlement de politiquement correct est obscène.
Plus qu'à leurs actes, c'est à leurs propos et louvoiements que de longue date nous connaissons les belles âmes qui manient les mauvais sentiments avec la même allégresse que les mauvais. Ne faut-il pas être un pervers pour manipuler les esprits chaque jour sur les antennes et poursuivre la basse besogne quand les victimes sont au sol ? Ils ne pleurent pas les vies fauchées; ils en réclament d'autres encore. Au JT, le sang de l'actualité ne coupe pas l'appétit: le petit était bien frêle pour aller faire le coup de poing, pense le travailleur harassé. Si les antifas demandent plus de justice sociale, alibi entendu dans leurs rangs, est-ce pour le bien des Français ou pour la Cause ? Demorand semble plutôt satisfait d'avoir enfin trouvé là de quoi récompenser trente années de mensonge idéologique. Le journal Libération s'est une fois de plus avili, avec sa "mort d'un antifa" qui fait retourner son lectorat à la nostalgie d'un 21 avril 2002 quand France Inter se prit pour Radio Londres.
Seule la mort est indiscutable
Appel à la haine |
Les slogans de fascisme et de résistance n'ont pas de sens dans la France d'aujourd'hui.
Ces activistes formés à l'école des professeurs syndiqués à la FSU, comme la presse en ESJ, rêvent un monde nouveau à inventer et d'exploits guerriers, affrontements virils moins rugueux et plus sérieux que la lutte pour un ballon oval ! On aime les interminables discussions visant à refaire le monde et on se querelle volontiers. On hait la guerre, mais on aime l'agit prop et la bagarre de rue, moins mortelle, d'habitude.
Méric avait sans doute la funeste habitude de se shooter à la lutte politique radicale, comme ses adversaires. Mais quels pouvoirs pensaient-ils tous avoir qui ne soient maléfiques, ces guerriers rouges aux noirs desseins et avenirs sombres ?
Le combat se situe ailleurs. L'ennemi est inaccessible et ils enragent, mais se rabattent sur la piétaille et, pour exister, livrent des batailles dérisoires qui font des dégâts.
L'arrière-garde paie les tributs les plus lourds. Leurs manipulateurs ne peuvent l'ignorer qui aujourd'hui s'indignent haut et fort.
Rassemblement de haine anarcho-révolutionnaire autorisé par Hollande, Valls et la préfecture de police, à Paris le 6 juin 2014 |
Le combat se situe ailleurs. L'ennemi est inaccessible et ils enragent, mais se rabattent sur la piétaille et, pour exister, livrent des batailles dérisoires qui font des dégâts.
L'arrière-garde paie les tributs les plus lourds. Leurs manipulateurs ne peuvent l'ignorer qui aujourd'hui s'indignent haut et fort.
Sciences pot de chambre !
RépondreSupprimeret Pierre Bergé aime lécher les raclures du pot :-)
RépondreSupprimerça le maintient en forme dans sa misogynie légendaire et sa grasse revenche...
Jeunesse désenchantée et abusée par des manipulateurs ....
RépondreSupprimer(Parodie sur une chanson de Mr BENUREAU)
Chanson Pour Mort en laisse
A toi, mon ami ,mon Blair
Que j'ai suivi dans la galère
Compagnon d'ânes
Mort comme une pute sur le trottoir
Te voila maintenant Vendu
Sur l’hôtel des pas revenus
Mort pour l'horreur des 2 couleurs
Le Rouge et le noir de malheur
Du catéchisme anarchisé
Dors, soldat Mort en laisse
Dors, dedans ta caisse
Car par delà de ta mort
Et de ses vers qui te picorent
Dans mon déni, tu brilles encore
Bourgeois, En loubard tu te déguise
De la nation tu fut idiot utile
Bébé consumériste royalisé
Tu devint vite embrigadé
Dans ta tete lobotomisée
D’éducation, endoctriné
Le mondialisme t’a utilisé
Et à Science-Po Canalisé
Sur des paroles de par moi meme
Et une musique de l'obédient chef Jean Luc
MELENCHON, Frères de 33ème rang
Chanson pour Mort en laisse
Compagnon de combat
Dans la capitale de France
J'avais t'un mignon ... Que j’ aimais,
Il était mon ami , mon blair,
Comme un tueur dans mon coeur ... Je l’aimais
Mort pour un bréviaire trotskyste ...e
Infantilisé ...é..e, médiatisé ..é ..e
Sur une pigne tu est tombé, tête embrumée
[Répétition] :
Mort en laisse, Mort en laisse,
Disparu et sans honneur
Pour sauver les deux couleurs
Mort en laisse, Mort en laisse,
Toi qui voulais te bastonner
Te voilà Martyrisé
J'ai rigolé, mon camarade
Bercé de tes illusions
Grégaire avorton
Rien ne te remplaceront
Ni la Beuh, ni les meufs,
Ni l’argent, ni les parents
Aujoud’hui Seul les fascistes
s’appellera les antifa
[Répétition]
Mort en laisse, Mort en laisse,
Toi qui as pris le pari
De mourir pour des conneries
Et je te jure sur ta tombe
Qu'un jour un monde
Où la pureté,Triompheront,
Car l'ennemi règne ici-bas,
Propriét...ée, Inéquit...ée
Et les traders, et les exploiteurs,
Les policiers et les CRS
Tous des nazis et des fascistes .... Autant pour moi
[Répétition]Mort en laisse, Mort en laisse,
Toi qui voulais battre des records
A vingt ans déjà t'es mort
désole mais vous n'avez rien compris a cette photo....
RépondreSupprimer1) DAX, rien a voir avec la ville de Dax, c'est Davide Cesare appelé DAX militant ANTIFASCISTE italien tue par des neo-nazi la nuit du 16/03/2013.
2)il s'ont pas des espagnol mais des italiens!
3) vous faites de la merde
4) l'unique fasciste bien c'est le fasciste mort!
Nous avons pris en compte les informations d'un "collabo" antifa du blog... Merci à lui !
RépondreSupprimer