Cette définition retrouve tout son sens lorsque l’on aborde aujourd’hui la question du droit de vote des étrangers.
Voulu par la gauche, le droit de vote donné aux étrangers est absurde et dangereux.
Notre pays a, de tout temps, eu une politique d’accueil des étrangers avec la volonté de les intégrer, voire de les assimiler, ce qui est naturel, dès lors qu'ils ont choisi de demander leur naturalisation.
Mais la crise, avec ses conséquences sur l'emploi et le logement de tous, rend plus lourd l'effort de solidarité nationale et plus précaires les conditions de cet accueil. Le défi est rendu plus insupportable à relever lorsqu'il s'agit de prendre en compte des étrangers qui, non seulement imposent leur présence tout en refusant la nationalité française, mais revendiquent les mêmes droits, tout en refusant les charges. Nous ne pouvons plus garantir aux étrangers les conditions décentes d'accueil que nous peinons à maintenir pour les nationaux.
Mais la crise, avec ses conséquences sur l'emploi et le logement de tous, rend plus lourd l'effort de solidarité nationale et plus précaires les conditions de cet accueil. Le défi est rendu plus insupportable à relever lorsqu'il s'agit de prendre en compte des étrangers qui, non seulement imposent leur présence tout en refusant la nationalité française, mais revendiquent les mêmes droits, tout en refusant les charges. Nous ne pouvons plus garantir aux étrangers les conditions décentes d'accueil que nous peinons à maintenir pour les nationaux.
Comble de l'aberration, il est permis aux binationaux de faire le choix indécent d'avoir tous les avantages du pays d'origine et du pays d'adoption, sans en avoir les contraintes et les charges communes.
Aux étrangers qui vivent régulièrement sur notre sol, nous devons en revanche à la fois la protection à laquelle nous nous sommes engagés et la plus grande fermeté à l’égard de l’immigration irrégulière, dont ils sont les victimes les plus exposées. La France est parfaitement cohérente en offrant la possibilité d' acquérir la nationalité française par un acte volontaire.
Le droit de vote en France est lié à la nationalité et doit le rester
L'impôt ne confère pas le droit de vote
Ceux qui affirment que ce droit de vote est la contrepartie du paiement de l’impôt se trompent lourdement au regard de cette histoire singulière. Ils se trompent également sur la nature même de l’impôt.
Le droit de vote confère le droit de participer à la solidarité nationale
En son article 13, la déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789 est claire à cet égard.
Il stipule en effet que " pour l’entretien de la force publique et pour les dépenses de l’administration, une contribution commune est indispensable ".
L’impôt est donc bien la contrepartie au bénéfice individuel du bon fonctionnement des services publics et équipements collectifs, dont les étrangers bénéficient tout autant que les Français.
Ouvrir le droit de vote aux contribuables étrangers, c’est renier les principes de notre droit.
C’est en fait détruire la citoyenneté. Si tout le monde est éligible aux droits liés à la citoyenneté, sans en avoir les devoirs, personne n'est plus citoyen français, sauf à penser comme la gauche internationaliste et anarchiste que nous sommes tous des citoyens du monde.
Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, refusons donc d'entrer dans le processus suivi par certains pays artificiellement constitués, sans histoire propre ni culture rayonnante exemples d’autres pays qui ont une histoire et une culture différentes de la nôtre.
Seule la nationalité -exclusive de tout autre- confère le droit de vote.
Ce droit de vote est comme indiqué ci-dessus inadmissible , sans aucune justification valable , si l'on a pas donné des preuves de son attachement aux valeurs du pays qui vous accueille , vous donne du travail , soit vous met au même niveau que les français de souche,et par là d'une intégration réussie et pas seulement d'une présence juste pour profiter de tous les avantages sans rien faire en échange.
RépondreSupprimerMoi je veux bien que le droit de vote soit conditionné au fait de payer des impôts. Mais à ce moment là, qu'on ait l'honnêteté de revenir au système censitaire.
RépondreSupprimerJe crois que les socialistes auraient une drôle de surprise si seuls ceux qui payent des impôts ( sous entendu directs) qu'ils soient Français ou étrangers avaient le droit de vote.
On devrait même aller plus loin et donner aux votants un nombre de voix proportionnel au montant de leurs impôts... CHICHE?
Dommage qu'il n'y ait pas d'exemple réel pour chacun de vos arguments, cela rends rends vos propos peu solide et beaucoup moins convaincants.
RépondreSupprimerL'exemple allemand, l'article 13 ou la crise du logement, c'est quoi, si ce n'est du raisonnement étayé et du concret? Libre à vous de préférer les témoignages anonymes et la mauvaise foi.
Supprimer